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Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs »

Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs »
Plus d’un millier de personnes, parmi lesquelles de nombreux chercheurs en intelligence artificielle, ont signé un appel pour faire interdire les armes autonomes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual C’est une nouvelle charge portée contre les dangers potentiels de l’intelligence artificielle (IA). Dans une lettre ouverte publiée lundi 27 juillet, plus d’un millier de personnalités, dont une majorité de chercheurs en IA et en robotique, ont réclamé l’interdiction des armes autonomes, capables « de sélectionner et de combattre des cibles sans intervention humaine ». Parmi les signataires, on retrouve Elon Musk, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Tesla et de SpaceX, et l’astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui avaient déjà fait part publiquement de leurs inquiétudes concernant l’IA. « Une course à l’armement » L’IA pourrait en pâtir Mais ce texte ne se veut pas une charge contre l’intelligence artificielle. Related:  `test 1014`test 1014

Stephen Hawking: 'Transcendence looks at the implications of artificial intelligence - but are we taking AI seriously enough?' - Science - News Artificial-intelligence (AI) research is now progressing rapidly. Recent landmarks such as self-driving cars, a computer winning at Jeopardy! and the digital personal assistants Siri, Google Now and Cortana are merely symptoms of an IT arms race fuelled by unprecedented investments and building on an increasingly mature theoretical foundation. Such achievements will probably pale against what the coming decades will bring. The potential benefits are huge; everything that civilisation has to offer is a product of human intelligence; we cannot predict what we might achieve when this intelligence is magnified by the tools that AI may provide, but the eradication of war, disease, and poverty would be high on anyone's list. Loading gallery In pictures: Landmarks in AI development 1 of 4 Unfortunately, it might also be the last, unless we learn how to avoid the risks. Johnny Depp plays a scientist who is shot by Luddites in 'Transcendence' (Alcon)

Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle Le patron de Telsa et de SpaceX a donné près de 7 millions de dollars à des organismes de recherche pour prévenir les risques de l’intelligence artificielle. Avec Bill Gates et Stephen Hawking, le milliardaire américain Elon Musk fait partie des grandes figures qui ont exprimé, ces derniers mois, leur inquiétude vis-à-vis des progrès de l’intelligence artificielle (IA). En guise de passage à l’acte, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Telsa et de SpaceX a attribué la semaine dernière des millions de dollars dans 37 projets de recherche destinés à prévenir les risques liés à l’IA. Lire : Des scientifiques américains s’inquiètent de l’évolution de l’intelligence artificielle Berkeley, Stanford, Oxford Sept mois plus tard, 37 équipes de recherche ont été sélectionnées, parmi près de 300 candidates, pour recevoir une partie de cette somme. Lire aussi Elon Musk, le capitaine d’industrie qui veut mourir sur Mars « Scénario Terminator »

[blog] {sciences²} Site francophone sur l'intelligence artificielle Hawking : « L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à l'humanité » Dans un entretien à la BBC, l'astrophysicien britannique Stephen Hawking craint que les humains, limités par une lente évolution biologique, ne puissent rivaliser avec l'intelligence artificielle. L'astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui s'exprime par l'intermédiaire d'un ordinateur en raison d'une maladie, met en garde contre le développement de l'intelligence artificielle. Dans un entretien à la BBC, le scientifique affirme que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator. « Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. Il reste en faveur des nouvelles technologies de communication et a déclaré avoir été un des premiers à être « connecté » aux débuts d'Internet. M.

Science et vie Un algorithme a réussi à percer un mystère concernant le ver planaire (ci-dessus) et son étonnante capacité à régénérer sa tête et sa queue quand il est sectionné (Ph. Eduard Solà via Wikicommons CC BY-SA 3.0) Une découverte en Biologie moléculaire ou un nouvel exploit de l’Intelligence artificielle ? Un peu des deux ! Des chercheurs de l’Université Tufts (Massachusetts), ont permis à un algorithme “évolutionniste” de résoudre une énigme qui résistait aux biologistes depuis un siècle, à savoir : comment fait le Planaire, un ver plat d’eau douce, pour réussir à régénérer son corps (tête et queue comprises) quand il est sectionné en plusieurs fragments ? Ce résultat issu de la Bioinformatique intéresse surtout un domaine de pointe, la Médecine régénérative, qui vise à soigner via la régénération d’organes et de tissus… Et selon les chercheurs, leur algorithme peut traiter toute une classe de problèmes biologiques, voire plus. La biologie comme moteur de l’intelligence artificielle

Synapse artificielle : le memristor, chaînon manquant vers le cerveau électronique MICROPROCESSEUR. Le 3 avril 2017, une équipe française (CNRS, Thales, Universités de Bordeaux, Paris-Sud et Evry) publiait dans Nature Communications un article décrivant une synapse artificielle (élément électronique appelé memristor) qui pourrait bien révolutionner l'apprentissage machine profond (deep learning). Afin de mieux comprendre la portée de la découverte, Sciences et Avenir s'est entretenu avec Vincent Garcia, chercheur en nanosciences et co-auteur de l'étude. Sciences et Avenir : Pouvez-vous préciser ce qu'est un memristor (contraction de "memory" et "resistor") ? Vincent Garcia : C'est une résistance analogique variable qui garde en mémoire les tensions électriques qui lui ont été appliquées. Techniquement, une fine couche ferroélectrique est intercalée entre deux conducteurs, et se comporte comme un dipôle électrique. Pourquoi ce composant peut-il révolutionner l'état de l'art du deep learning ? En quoi est-ce un bond pour la micro-électronique ?

Le jeu de go, paroxysme de la guerre entre Facebook et Google sur l’intelligence artificielle Facebook et Google travaillent tous deux sur des technologies capables de battre l’humain au go. Avec le succès de son programme AlphaGo, Google porte un coup dur à son rival. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual En annonçant mercredi 27 janvier la première victoire d’un programme informatique contre un joueur professionnel de go, Google a marqué une étape dans l’histoire de l’intelligence artificielle (IA). Lire aussi Fan Hui, champion européen de go : « L’ordinateur joue comme un humain » Mark Zuckerberg tente d’occuper le terrain Cependant, l’annonce de mercredi représente déjà une immense victoire pour Google sur ses rivaux, et notamment sur Facebook, qui a tenté, tout au long de la journée, d’exister sur le plan médiatique en communiquant abondamment sur ses progrès en intelligence artificielle. « L’année dernière, l’équipe de recherche en IA de Facebook a commencé à créer une IA qui apprenne à jouer au go. Des avancées compréhensibles du grand public

Singularité technologique Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supraintelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine[1],[2],[3]. Le risque serait que l'humanité perde le contrôle de son destin[4]. L'auteur de science fiction Vernor Vinge est même convaincu, dans son essai La venue de la singularité technologique, que la singularité signifierait la fin de l'ère humaine[3], la nouvelle superintelligence continuant de s'améliorer et d'évoluer technologiquement à une vitesse incompréhensible pour les humains[5]. Cette notion de singularité technologique aurait été envisagée par John von Neumann dès les années 1950[6] et ses conséquences ont été débattues dans les années 1960 par I. Loi de Moore[modifier | modifier le code]

Quelles technologies pour apprendre à apprendre Il n'y a pas de questions plus récurrentes (et plus lassante, il faut bien le dire) que celle de l’introduction des nouvelles technologies au sein de l'école. Quel peut être leur apport, et surtout, leur valeur pédagogique ? Nous permettront-elles d'apprendre différemment ? Dans les lignes qui vont suivre, on s'éloignera toutefois des débats - souvent rageurs - qui agitent les pédagogues ces temps-ci : on n'évoquera pas l'introduction des tablettes, de l'internet, des smartphones. On n'abordera même pas la question de l'apprentissage du code, du moins sous sa forme classique. Ni le bilan de l'apport des nouvelles technologies sur l'éducation (si ce n'est pour rappeler, qu'il n'est pas très brillant, comme nous le soulignons déjà ou comme le soulignait récemment un rapport Pisa et dans les classement de John Hattie sur les facteurs qui favorisent la réussite scolaire, aucun n'évoque des questions technologiques). La réalité virtuelle pour comprendre les systèmes complexes Rémi Sussan

Selon le MIT, chaque robot introduit sur le marché du travail détruit 6 emplois Alors que Barack Obama évoquait le sujet à la fin de son mandat et qu'en France, Benoit Hamon en a fait un pilier de sa campagne, la question de la raréfaction du travail à cause des robots reste un débat épineux pour les économistes. Une nouvelle étude américaine basée sur une période de 17 ans révèle des chiffres inquiétants. Objet prisé de science-fiction comme de politique fiction, la raréfaction du travail est un sujet plus que jamais d’actualité. Mais comme toutes questions profondément liées au progrès technologique, elles opposent les croyants et les autres. Dans l’Hexagone, depuis que Benoît Hamon a porté le sujet sur la table, l’hypothèse d’un monde sans travail semble être devenue un sujet aussi farfelu qu’une utopie communiste alors même que les promesses de la fin du travail émergent autour de nous, et que Bill Gates suggère lui aussi de taxer les robots. Robots et travail : les preuves de l’impact Une perte comprise entre 0,25 et 0,50 % du salaire moyen

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