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Elle crée une tiny-house française et démontre que rien n’est impossible

Construire une « Tiny-House » en France, impossible vous dites ? trop compliqué ? trop risqué ? Le projet de Laëtitia risque de pulvériser vos préjugés en la matière ! En effet, cette jeune française a réalisé sa propre micro-maison et la résultat est bluffant… Baluchon, c’est le surnom mignon de cette petite maison réalisée par Laëtitia, une toute jeune française de 27 ans qui ne s’est pas laissée démotiver par les nombreux sceptiques qui ne croyaient pas en son projet. En respectant scrupuleusement certaines règles d’urbanisme, Laëtitia a érigé une Tiny House de 14m2 au sol et de 6m2 en étage. « Je pense que cet habitat, de par sa taille, ne peut pas convenir à tout le monde (du moins en maison principale), en revanche, c’est une alternative intéressante pour des personnes souhaitant vivre simplement, plus proches de la nature et à moindre frais. » nous livre-t-elle en privé. Tout a commencé il y a un an et demi, alors que Laëtitia vivait et travaillait encore à Paris. Related:  Ville collective

Walk Your City : l'open source qui vous fait marcher L’information ouverte et participative pour promouvoir la marche à pied peut redonner à la ville un charme qui, en plus de servir la santé et le moral des habitants, constitue une belle affaire sur le plan économique. Les marques et les pouvoirs publics construisent ensemble la smart city de demain, mais le citoyen connecté est devenu un acteur de changement tellement primordial que l’open source se démocratise dans les fondations de la Cité de demain. En Amérique du Nord, une association veut utiliser le pouvoir du partage ouvert pour rendre les villes plus piétonnes et convaincre ses habitants de marcher pour se déplacer. Créée par Matt Tomasulo, Walk Your City part d’un principe a priori et malheureusement contestable : si dans son quotidien l’Homme est mieux informé sur certaines courtes distances à parcourir, il laissera sa voiture au garage. Un investissement bénéfique pour les villes Les signaux utilisés par Walk Your City sont très peu couteux, facile à concevoir, rapide à lire.

S'approprier la rue, prise 2 - Contact L’émergence de plusieurs manifestations citoyennes ou de projets d’art public urbain m’avait inspiré un billet sur ce sujet l’été dernier. Pensons, entre autres, au stationnement pour piétons de la 3e Avenue à Limoilou, aux cabanes à bouquins dans les escaliers reliant la haute et la basse-ville ou aux œuvres éphémères des passages insolites dans le Vieux-Port. De nouveaux projets aussi inspirants prennent actuellement d’assaut plusieurs espaces publics et m’incitent à récidiver sur ce thème, tellement ils apportent un vent de fraîcheur dans la ville. Cet engouement pour l’appropriation des espaces urbains est un phénomène international qu’on peut voir aussi à Montréal, à New York et à Berlin. Les vire-vent du SPOT. La plaza LimoilouFort du succès du stationnement pour piétons aménagé l’an dernier, les Limoulois ont sauté à pieds joints dans l’aventure d’une nouvelle place publique au cœur de leur quartier. La plaza Limoilou. Le SPOT aménagé sous le thème du jeu. Haut de page

Simone & Lucien Kroll Petite présentation du couple d'architectes-paysagistes belges, pionniers de la participation, dans le cadre de leur exposition rétrospective à voir au Lieu Unique à Nantes jusqu'au 1er décembre. Les expositions d'architectures semblent souvent s'adresser à un public d'experts ; professionnels ou étudiants. Les rares occasions où j'ai pu en visiter (Portzamparc à la Cité de l'Archi ou Rogers à Beaubourg, ça date déjà pas mal…), il ne me reste en tête qu'une vague image, en gros une sorte de fascination facile de celui qui aura la plus grosse maquette, ce qui faisait de l'ombre à tout le reste. En tout cas, l'idée de l'architecte/essayiste Patrick Bouchain — commissaire de cette exposition Simone et Lucien Kroll: une architecure habitée — prône un certain décloisonnement pour «rendre hommage à ses maîtres à penser». L'écologie est, depuis Ernst Haeckel (1866), la science des relations. M.

Thierry Paquot, L'espace public 1 Habermas, 1978. L'Espace public, Paris : Payot. 1Fréquemment utilisé dans des domaines très divers, mais rarement défini par ceux qui l'emploient : la fortune du concept d'espace public a deux facettes qui en rendent le maniement délicat. Aussi faut-il saluer l'initiative consistant à proposer, dans une collection de référence, un ouvrage synthétique sur la question. 2De cette opposition de principe découle la structure du livre. 3Audacieux pari que celui qui consiste, en 128 pages, à séparer tout en les réunissant des dimensions aussi différentes que la philosophie politique et l'évolution urbaine. 4Il arrive certes à Paquot d'employer le singulier pour désigner un lieu urbain de circulation ouvert au public - comment faire autrement ? 2 Negt, 2007. 5Le versant philosophique du livre est lui aussi contrasté. 4 Miège, 2004.

POC 21 Open Sourcing Sustainability Fabriquer des produits en open source, une révolution prometteuse Temps de lecture: 6 min Des plans à télécharger gratuitement sur Internet, une fraiseuse à commande numérique pour découper les différentes pièces et un lieu de fabrication pour les assembler. Voilà le principe de la maison WikiHouse, l'un des produits emblématiques du matériel libre («l'open source hardware»), mouvement qui regroupe tous les produits physiques développés selon les principes de l'open source[1] –c'est-à-dire dont les savoirs sont partagés sous licence libre. Lancé en 2011 par, entre autres, Alastair Parvin et Nick Ierodiaconou, architectes au studio d'architecture collaboratif 00 basé à Londres, la WikiHouse n'est pas qu'une technologie en kit bon marché –68.000 euros pour une maison de 68 mètres carrés, soit la moitié du prix standard, hors coûts d'isolation, de revêtement, etc. C'est avant tout une philosophie de partage et de mutualisation des savoirs de l'humanité. Copycats Et c'est bien cela l'une des forces de l'open source. Démocratisation Industrie

La participation citoyenne dans les projets urbains, enjeux et débats | Regards sur la ville En cette période où est en discussion au Parlement le projet de loi de « refondation de la politique de la ville », il paraissait nécessaire de faire le point sur la notion de participation, devenue aujourd’hui centrale dans tout projet urbain. I. Concepts et enjeux La participation est un processus au cours duquel les individus vont être sollicités dans la prise de décisions politiques dans n’importe quelle démarche susceptible de les affecter. Elle constitue l’outil le plus complet de démocratie participative. Cette participation peut prendre plusieurs formes à savoir la consultation, la concertation, la co-élaboration ou le référendum. La démocratie participative va émerger en France en réaction aux insuffisances de la démocratie représentative. La participation se présente donc comme : – une solution au désengagement citoyen en réassociant la population aux projets politiques – une nécessité pour le bon déroulement des projets par une appropriation habitante II. III. IV. V. Sources

Présentation Un média pour les bricodeurs, de l’info plein pot sur les labs, ceux de l’open bidouille comme ceux des fablabs d’universités. Un site tout nouveau, basé sur l’expérimentation. Makery est un projet sur le mode du Do it Yourself, une brique après l’autre. Le média de tous les labs Makery est un média d’information en ligne (newsletter, site web, réseaux sociaux) fondé par Digital Art International en juin 2014. C’est un média en mode DiY: Makery se construit progressivement en mode ouvert, transparent et participatif, suivant les principes d’éthique numérique portés par la vague des labs. L’équipe Le projet Makery est porté par une petite équipe (qui a vocation à s’agrandir !) Anne-Cécile Worms, directrice Aurélien Fache, développeur – @mathemagie Aurélien Fache est un personnage clé dans l’histoire de l’internet français. Annick Rivoire, rédactrice en chef – @poptronicsfr Ada Fizir, directrice marketing et communication VNBC, directeurs artistiques Carine Claude, journaliste – @carine_claude

Future Architecture Night : bousculer les idéologies classiques Profondément modifiée par les nouvelles technologies et les changements sociétaux, l’architecture est constamment mise à l’épreuve de l’innovation, des tendances, à la recherche d’ancrage et de performance environnementale… La Future Architecture Night (ou FAN pour les intimes) propose d’échanger le temps d’une soirée sur l’avenir de la profession, au carrefour entre nouvelles technologies et culture collaborative. Les thèmes suivants seront abordés : COLLABORATE : Urbanisme open-source, conception collaborative, architectures en réseaux…DESIGN : Architecture Computationelle, BIM, Réalité Virtuelle…BUILD : Imprimantes 3D, robots, nouveaux matériaux….SMART : Big Data, Smart Cities, Smart Home…GREEN : HQE, bio-mimétisme, architecture végétale… >>> Retrouvez le programme complet en cliquant ici Un monde hybride entre architecture et culture collaborative Brickell City Center conçu avec Climate Ribbon, par Swire Properties, Arquitectonica et Hugh Dutton Associates J’espère !

La Mise en scène de la vie quotidienne La Mise en scène de la vie quotidienne est la traduction française en deux tomes, en 1973, de deux ouvrages indépendants du sociologue Erving Goffman. Le premier, La présentation de soi, publié en 1956 en Écosse puis en 1959 aux États-Unis[1], développe une sociologie originale des interactions ordinaires. Le second ouvrage, Les relations en public, a été publié initialement en 1971 et propose différents schémas d'analyse des interactions interindividuelles. La présentation de soi est le premier et plus connu des ouvrages du sociologue, grâce auquel il a remporté un McIver Award de l'association américaine de sociologie[2]. La Présentation de soi[modifier | modifier le code] Chapitre I : Les représentations[modifier | modifier le code] La Conviction de l’Acteur : L’acteur qui joue un rôle exige du public qu’il le prenne au sérieux. L’idéalisation revêt par ailleurs un autre caractère : celui de donner au public une impression idéalisée de la relation que l’acteur entretient avec lui.

Quand l’architecture open source convoque le «modèle Ikea» Sont-ils tombés sur la tête ? Ne voient-ils dans la référence à Ikea qu’un seul et unique référent à un modèle qui aurait montré son efficacité économique ? Le 20 mars dernier, WoMa (pour Working et Making), «fabrique de quartier» et coworking space situé dans le 19e arrondissement de Paris, organisait un meet-up sur le thème de l’architecture open source, placé sous la houlette de la WikiHouse Foundation. Deux jeunes architectes, Julien Vaissières et Clément Langelin, y présentaient leurs travaux de diplôme. Initiée en 2011 lors de la Biennale de design de Gwangju et fondée en 2014, l’initiative également soutenue par la P2P Foundation, cherche à développer, selon son fondateur Alastair Parvin, « un set de construction open source, pour permettre à n’importe qui de designer, télécharger et d’imprimer des maisons et composants découpés à la CNC et qui peuvent être assemblés avec des compétences et une formation formelle minimale ». Du besoin du maker de se comparer à Ikea Vive OpenDesk !

Le Baugruppe, art berlinois du bâtir ensemble Un samedi soir dans le quartier de Pankow, dans le nord de Berlin. Matthias Kolbeck surveille la cuisson des brochettes et des poissons en papillote dans le grand barbecue au gaz installé depuis quelques mois sur l’élégant toit-terrasse de son immeuble. À ses côtés, une dizaine d’enfants se jouent des frimas rigoureux de l’hiver allemand. D’un œil, il surveille Emilia, sa fille aînée, lovée dans un hamac avec ses deux meilleures amies qui résident, comme elle, au rez-de- chaussée. Dans l’après-midi, Matthias a bricolé dans la chambre de son fils, Konrad, en empruntant les outils du voisin du troisième étage. « Nous sommes treize familles à habiter ici. Retrouvez la suite de cet article dans We Demain n°9 Patricia Coignard Retrouvez aussi la chronique de We Demain sur Radio Nova sur l'habitat participatif !

Un village écolo 100 % open source va pousser cet été dans les Yvelines Le projet POC21, qu'est ce que c'est ? Depuis plusieurs années on voit passer des projets durables très inspirants dans le domaine de l'écologie portés par les mondes de l'innovation open-source, des fablabs et des makers. Par exemple dans l'habitat, avec Wikihouse, cette maison en bois facile à construire et dont les plans sont librement accessibles. Dans les transports, avec Wikispeed, une voiture électrique conçue de manière collaborative par des passionnés du monde entier. Ou encore l'énergie (OpenEnergyMonitor), l'alimentation (Peer-to-peer Food Lab) ou l'agriculture (Open Source Ecology). Un projet de panneau solaire transportable porté par POC21 © POC21 Quand pourra-t-on voir le résultat ? Journaliste à We Demain @Come_Bastin

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