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RMN - Grand Palais Elisabeth Louise Vigée Le Brun

Élisabeth Louise Vigée Le Brun est l’une des grandes portraitistes de son temps, à l’égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze. Issue de la petite bourgeoisie, elle va trouver sa place au milieu des grands du royaume, et notamment auprès du roi et de sa famille. Elle devient ainsi le peintre officiel de la reine Marie-Antoinette. Commissaires : Joseph Baillio, historien de l’art, Xavier Salmon, directeur du Département des Arts Graphiques du Musée du Louvre Exposition organisée par la Rmn-GP, le Metropolitan Museum of Art de New York et le Musée des Beaux-Arts du Canada à Ottawa. L'exposition bénéficie du généreux soutien de La Vallée Village. Découvrez l'offre adultes et familles pour groupes et individuels autour de l'exposition Related:  Musées et exposElisabeth Louise Vigée Le brun [1755-1842]

Musée d'Art Classique de Mougins Elisabeth Louise Vigée Lebrun, selfie addict Celle qui fut la portraitiste de Marie-Antoinette s'est également beaucoup représentée. Aujourd'hui, elle serait sur Instagram, elle twitterait et disputerait le titre de "Reine du selfie" à Rihanna, Kim Kardashian ou Rania de Jordanie... De toutes les femmes artistes qui s’illustrèrent dans la France du XVIIIe siècle, seule Élisabeth Louise Vigée Le Brun est aujourd’hui encore un peu connue du grand public. Non seulement, on associe son nom aux portraits de Marie-Antoinette, et peut-être aussi au célèbre tableau du Louvre où elle s'est représentée avec sa fille, mais l’artiste est également restée dans les esprits comme une femme d’une grande beauté. © Paris, musée du Louvre, département des Sculptures - 1783 Tout au long de sa carrière, Élisabeth Louise Vigée Le Brun n'a pas hésité à se peindre. Vigée Le Brun utilise l’autoportrait pour affirmer son statut, diffuser son image et mais aussi rappeler la mère qu’elle est parvenue à devenir malgré les servitudes d’une carrière. L'exposition

Picasso.mania | Grand Palais Cent chefs d’œuvre de Picasso, dont certains jamais montrés, confrontés aux plus grands maitres de l’art contemporain, David Hockney, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat… À la fois chronologique et thématique, le propos retrace les différents moments de la réception critique et artistique de l’œuvre de Picasso, les étapes de la formation du mythe associé à son nom. Aux grandes phases stylistiques, à certaines œuvres emblématiques de Pablo Picasso, telles que Les Demoiselles d’Avignon et Guernica, répondent les œuvres contemporaines de Hockney, Johns, Lichtenstein, Kippenberger, Warhol, Basquiat ou encore Jeff Koons. Commissaire général : Didier Ottinger, directeur adjoint du Musée national d'Art moderne - Centre PompidouCommissaires : Diana Widmaier-Picasso, historienne de l'art ; Emilie Bouvard, conservatrice au Musée national Picasso-ParisScénographie : agence bGc Studio

Musée Lénine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le musée Lénine, musée de France au sens de la loi no 2002-5 du 4 janvier 2002[1], était situé 4, rue Marie-Rose dans le 14e arrondissement de Paris. Il occupait l'appartement dans lequel ont vécu Lénine, sa sœur, sa femme et sa belle-mère de juillet 1909 à juin 1912[2]. Le musée Lénine est actuellement fermé[1], depuis une date non déterminée de l'année 2007[3]. Description[modifier | modifier le code] Le musée comporte une reconstitution de l'appartement où vécu Lénine, avec son épouse Nadejda Kroupskaïa et sa belle-mère, de 1909 à 1912. En 1985, lors d'une visite en France, Mikhaïl Gorbatchev a visité ce musée accompagné de Paul Amar et des caméras d'Antenne 2[7]. Références[modifier | modifier le code]

Élisabeth Vigée Le Brun : retour en grâce pour la portraitiste de Marie-Antoinette - Sortir Les monarques d'Europe s'arrachaient son pinceau flatteur et délicat. Le Grand Palais consacre une captivante rétrospective à Élisabeth Vigée Le Brun, artiste rebelle et consensuelle à la fois. « Peindre et vivre n'a jamais été qu'un seul et même mot pour moi », affirma Elisabeth Louise Vigée Le Brun. “Tu seras peintre, mon enfant, ou jamais il n'en sera” Le talent précoce de Mlle Vigée reçut le soutien d'un père avisé, honorable pastelliste. Mais, au contact de celui-ci, le puissant comte de Vaudreuil entame une collection de ses toiles, et confirme une réputation déjà bien lancée dans le grand monde. Dans sa position, Mme Vigée Le Brun aurait pu obtenir pension et titre nobiliaire. Heureusement, toutes les académies européennes s'ouvriront à elle.

WARHOL Unlimited - Musée d'Art Moderne Conservée à la Dia Art Foundation, les Shadows, étonnant ensemble de 102 toiles sérigraphiées de 17 couleurs différentes se déploient sur une longueur de plus de 130 mètres. Elles rappellent de façon magistrale la capacité de Warhol à ébranler les conventions de l'art, depuis la conception des oeuvres jusqu'à leur mise en scène. A la question de savoir si elles étaient de l’art, Warhol répondait non : « ... on passait de la disco durant le vernissage, je suppose que ça en fait un décor disco ». L’art de Warhol se présente comme un défi que l’exposition du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris étend à plusieurs séries comme les Electric Chairs (1964-1971), les Jackies (1964), les Flowers (1964-1965), les Maos (1972-1973). La manière souvent controversée avec laquelle l'artiste mettait en scène son propre travail est au centre de toutes les interrogations qui légitiment cette exposition. Commissaires de l’exposition : Sébastien Gokalp Hervé Vanel Avec le soutien de : Partenaires médias:

Florence Henri Voir le portrait filmé de l'exposition : Florence Henri (New York, 1893-Compiègne, 1982), artiste protéiforme, est d’abord connue pour sa peinture, avant de se faire une place incontestable dans le domaine de la photographie des avant-gardes entre la fin des années 1920 et le début des années 1940. Après avoir vécu en Silésie, à Munich, Vienne, Rome et surtout Berlin, elle se fixe définitivement à Paris au milieu des années 1920, où elle se consacre pleinement à la photographie. Ce médium lui permet d’expérimenter de nouvelles relations à l’espace, notamment par l’introduction de miroirs et autres objets dans ses compositions. Le Jeu de Paume présente un vaste panorama de la production photographique de Florence Henri, développée entre 1927 et 1940, qui comprend aussi bien ses autoportraits, compositions abstraites, portraits d’artistes, nus, photomontages, photocollages, que des photographies documentaires prises à Rome, à Paris et en Bretagne. Remerciements à l’Hôtel Castille de Paris

Élisabeth Vigée-Lebrun Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire de la peinture ». Peintre français (Paris 1755 – id. 1842). Elle a laissé la source la plus précieuse qui soit pour une biographie : ses Souvenirs (1835-1837), qui racontent sa vie année par année. Take Me (I'm Yours) | EXPOSITION | Monnaie de Paris Après s’être transformée, à l’occasion de sa réouverture en octobre 2014, en usine de chocolat avec la Chocolate Factory de Paul McCarthy, puis en Musée d’Art Moderne – Département des Aigles de Marcel Broodthaers, la Monnaie de Paris invite, une nouvelle fois, les visiteurs à redécouvrir ses espaces grâce à un projet artistique hors norme : Take Me (I’m Yours) transforme ses salons XVIIIe siècle en un lieu d’échange libre et inventif, destiné à bouleverser les rapports traditionnels entre l’art et son public. Vingt ans après son immense succès à la Serpentine Gallery, l’exposition conçue par Christian Boltanski et Hans Ulrich Obrist, Take Me (I’m Yours) est récréée. Ainsi chaque visiteur sera invité, pour ne pas dire encouragé, à toucher, utiliser ou emporter avec lui les projets et les idées des artistes invités. Les commissaires de l’exposition Christian Boltanski et Hans Ulrich Obrist reprennent ce principe fondateur tout en le renouvelant.

Splendeurs et misères. Images de la prostitution, 1850-1910 Henri de Toulouse-LautrecAu Moulin Rouge© The Art Institute of Chicago Première grande manifestation consacrée au thème de la prostitution, cette exposition tente de retracer la façon dont les artistes français et étrangers, fascinés par les acteurs et les lieux de ce fait social, n'ont cessé de rechercher de nouveaux moyens picturaux pour en représenter réalités et fantasmes. De L'Olympia de Manet à L'Absinthe de Degas, des incursions dans les maisons closes de Toulouse-Lautrec et Munch aux figures audacieuses de Vlaminck, Van Dongen ou Picasso, l'exposition s'attache à montrer la place centrale occupée par ce monde interlope dans le développement de la peinture moderne. Le phénomène est également appréhendé dans ses dimensions sociales et culturelles à travers la peinture de Salon, la sculpture, les arts décoratifs et la photographie. Commissariat Scénographie Robert Carsen, scénographe et directeur artistique Publications Production

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