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Chers agriculteurs en colère, de quoi vous étonnez-vous ?

Chers agriculteurs en colère, de quoi vous étonnez-vous ?
Tribune Je ne suis inscrit dans aucun parti ni syndicat, je ne suis pas un électeur bobo-écolo EELV, je ne travaille pas dans le secteur agricole ; je suis travailleur social. Rien à voir. Je suis un Mayennais qui a emménagé en Bretagne, dans le Coglais voisin. Depuis plusieurs semaines, je lis dans les journaux locaux que des actions quasi simultanées sont organisées par les éleveurs devant des grandes surfaces de villes que je connais bien, comme Laval ou Fougères. Je m’explique. Making of Notre riverain Tibokaya est travailleur social, issu d’une famille paysanne. C’est souvent la forme de vos actions qu’on vous reproche. Cependant, si la violence ne se justifie pas dans un contexte quelconque, elle peut toujours s’expliquer. L’incohérence de vos positions C’est donc sur le fond que je porte ma critique de vos positions. Aujourd’hui, vous vous plaignez des prix auxquels la grande distribution et ses intermédiaires vous achètent vos produits. Vivre de l’agriculture hors de ce système Related:  Agriculture/Alimentation/Pesticides/OGM

Hackez votre supermarché : Voici 11 fruits et légumes que vous ne devriez acheter qu'une seule fois dans votre vie, si vous connaissez ces astuces ! Si vous pensez que faire pousser vos propres légumes, c’est compliqué et que ça demande d’avoir un jardin, voici quelques trucs et astuces qui pourraient bien changer votre perception des choses. Et peu importe que vous vivez en ville, dans un petit T2 sans balcon, ou que vous ayez une ferme avec 120 hectares de terres : n’importe qui peut le faire chez soi et très facilement ! Faire pousser de la salade, des carottes, même un ananas (!), ce n’est pas aussi compliqué que vous ne le pensez : il suffit de manger vos légumes comme vous le faites d’habitude, d'utiliser les restes pour les recycler… pour en faire pousser d’autres ! Du coup, plus besoin d’acheter une nouvelle fois ces aliments, ni même de vous en occuper constamment. @Via Upsocl Pas besoin d’être un pro du jardinage, il faut juste suivre ces quelques étapes et prendre en compte certains facteurs pour que ça marche. 1. @via upsocl Après avoir acheté un ananas, en général, on retire la peau et les feuilles, puis on le mange. 2.

J’ai trouvé le steak parfait, et il ne contient pas de viande Alors que l’industrie de la viande est en perte de vitesse, une start-up californienne a mis au point un steak végétal qui pourrait tout changer. J’ai laissé tombé la viande il y a quelques semaines. Autant dire que la rupture ne s’est pas faite en douceur. J’ai passé certains de mes plus beaux souvenirs sur une terrasse, une bière et un cheeseburger à la main. Mais plus j’en apprenais sur elle et plus j’ai compris que cette relation était toxique pour nous deux. Il y a certaines choses qu’il faut à tout prix éviter de faire si l’on veut pouvoir manger de la viande industrielle tout en étant en paix avec soi-même. Mais j’ai fait tout cela, et tout a changé. Cette image ne contient pas un gramme de viande animaleCrédits : Beyond Meat Après la viande J’ai longuement marché, la mine basse, sur les sentiers du Vermont – où je vis. Et pourtant, je l’ai fait. Des Beast Burgers sur le grill Crédits : Beyond Meat À l’intérieur se trouvaient quatre steaks dorés de 115 grammes chacun. Le tofu par KO

Agriculture : de la liberté au servage Leur ministre de tutelle, Stephane Le Foll, l’affirme sans ambages, « je me refuse à désigner les coupables ». En qualité de petit-fils d’agriculteur, il semblerait que les différents strapontins politiques qu’il a occupés ont sérieusement altéré sa mémoire. La crise agricole, telle que le perçoit le Français de la ville serait dû à la simple cupidité des intermédiaires entre eux et le consommateur. S’il fallait remonter à la source du mal, c’est sans aucun doute vers le traité de Rome de 1958 qu’il faudrait tourner les yeux. De facto, les technocrates décidèrent de ce que le monde agricole devait être depuis leurs bureaux et ce dans des domaines aussi vastes que l’élevage, les productions céréalières, la viticulture, l’agriculture, le maraîchage, la pêche, en fait, tout ce qui concerne la production alimentaire. La mécanisation a permis de multiplier la productivité par deux, trois, voire quatre selon les secteurs avec deux à trois fois moins de besoins en main d’œuvre.

Combien faudrait-il de producteurs en France pour manger bio et local C’est une question qui revient régulièrement : combien de paysans devrait-on avoir à proximité de nos villes ou communes, si l’ensemble des citoyens décidait de relocaliser leur alimentation, en plus de passer au tout bio ? L’association Terre de Liens nous apporte des éléments de réponse. On parle régulièrement des bons conseils à appliquer pour adopter un rythme de vie sain, afin d’optimiser son propre bien-être et garantir une bonne santé pour la planète. Les vraies bonnes idées sont intéressantes surtout lorsqu'elles se concrétisent. Avant de voir chaque Français se rendre directement à la ferme pour y cueillir ses légumes et discuter avec l’agriculteur, il faut connaitre les conséquences que peuvent avoir la mise en place d'une agriculture bio généralisée et une relocalisation de l’alimentation. L’association Terre de Liens Normandie a lancé un outil sur internet qui évalue le nombre de producteurs nécessaires pour que les français puissent consommer à la fois bio et local.

Au coeur de la « vallée de la mort », une ferme bio s'installe sur un site industriel Depuis janvier, Joseph Robert est le premier paysan installé sur une ferme longtemps abandonnée, située sur les terres d’un ancien site industriel, dans l’Orne. Les salariés de l’équipementier automobile Faurecia, ses voisins, seront bientôt ses premiers clients. D’autres paysans sont attendus à ses côtés, au cœur de celle que l’on surnomme la vallée de la mort, pour ses anciennes usines d’amiante. Au début, il y a le Ciriam (Campus industriel de recherche et d’innovation appliquées aux matériaux), implanté à Caligny, au Nord-Ouest de l’Orne, sur une superficie de 61 hectares. Particularité : une ancienne exploitation laitière se trouve sur l’une des trois tranches. Favoriser l’agriculture bio périurbaine C’est ainsi que le Ciriam, en lien avec le Conseil régional de Basse-Normandie, lance un appel à projet le 1er mai 2014 intitulé : « Création d’une exploitation agricole périurbaine bio ». L’appel reçoit une vingtaine de réponses. Une production diversifiée et de proximité

Un dossier complet sur les dangers du micro-onde Présents dans plus de 70 % des cuisines Françaises et presque dans tous les foyers en Amérique du Nord, le four à micro-ondes jouit d’une très populaire, due à son aspect pratique et peu onéreux. Mais que se cache-t-il derrière cette apparence d’aide au bien-être? L’histoire du four à micro-ondes Lors de la guerre 1940-1945 on a constaté, dans les usines fabriquant les radars, que ceux-ci réchauffaient les mains des ouvriers y travaillant aux essais. Lorsque les premiers fours à micro-ondes sont arrivés sur le marché, il y a eu au début, quelques sceptiques quand à la sécurité des machines. C’est ce qui explique pourquoi nous nous sommes tellement habitués à utiliser ces appareils sur une base quotidienne pour se réchauffer notre nourriture qu’il est presque inconcevable de revenir à l’ancienne méthode du four de la cuisinière. L’avenir des fours à micro-ondes semble bien incertain, en particulier aux USA et au Japon où ils seraient passés de mode. 1. 2. 3. 4. 5. On constate en effet :

Crise de l'élevage : Lidl fustige les industriels Michel Biero est en charge des achats au sein de l'enseigne de distribution Lidl France. Alors que ses magasins sont régulièrement pris pour cible par les éleveurs, il réaffirme son soutien auprès d'une profession en crise, tout en pointant du doigt la responsabilité des industriels qui ne joueraient pas le jeu. À quelques minutes de regagner le chemin du ministère pour une nouvelle réunion, Michel Biero a répondu aux questions de Challenges.fr. Réaffirmez-vous votre soutien aux éleveurs en cette période de crise ? Depuis le 17 juin, date à laquelle nous avions tenu cette réunion avec le Ministre, nous réaffirmons notre soutien aux éleveurs. Qu'avez-vous à répondre face à la colère des éleveurs qui s'en prennent à vos enseignes et plus largement aux distributeurs ? On est une cible assez facile. Pourriez-vous revenir sur cette réunion du 17 juin à laquelle vous étiez présent ? Tout le monde était présent, que ce soient les distributeurs, les industriels et les éleveurs.

Les villes de France en chemin vers le zéro phyto - Versailles, reportage A première vue, aucune différence : les abords de la gare de Versailles n’ont rien d’exceptionnel. Pourtant, la ville de Louis XIV figure parmi les pionnières du Zéro-phyto. Le paradis des abeilles ressemble donc à cela ? Après quelques instants d’observation, les intrus se révèlent. Malgré la grisaille hivernale, des narcisses déploient leurs pétales jaunes au milieu des avenues. Depuis 2005, la ville de 90 000 habitants a peu à peu banni les produits phytosanitaires des parcs, des routes, des voiries puis des cimetières. Cathy Biass-Morin Ingénieure horticole de formation, elle se rend à Rennes, où des expérimentations sont en cours, rencontre des jardiniers bio, puis se charge de convaincre les élus. « Nous ne voulions pas de cancers, et la municipalité nous a fait confiance. » Impliquer les jardiniers Car les alternatives aux herbicides sont légion. A Courdimanche, dans le Val d’Oise, moutons et chèvres assistent les jardiniers dans le débroussaillage.

À Paris, les habitants vont pouvoir cultiver sur la voie publique La Mairie de Paris lance le permis de végétaliser. Une autorisation qui permettra aux habitants de la capitale de verdir l'espace public en s'appropriant jardinières, façades et carrés de terre. Il semble que Paris veuille voire la vie en vert. Le 2 juillet, la Mairie annonçait l’ouverture 24h/24 de quatre parcs municipaux parisiens plusieurs jours par semaine jusqu’à la fin du mois d’août. Une semaine plus tôt, Anne Hidalgo lançait le permis de végétaliser pour les habitants de la capitale. Délivré par le Conseil de Paris, ce permis permettra à ses détenteurs de verdir leur environnement urbain. La création du permis de végétaliser s’inscrit dans la démarche de verdissement de la ville souhaitée par Anne Hidalgo et ses équipes. Seul impératif : s’engager via la signature d’une charte à utiliser des espèces locales et des plantes mellifères (dont le nectar est récolté par les abeilles) afin de promouvoir la biodiversité et de protéger les abeilles.

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