background preloader

J’ai trouvé le steak parfait, et il ne contient pas de viande

J’ai trouvé le steak parfait, et il ne contient pas de viande
Alors que l’industrie de la viande est en perte de vitesse, une start-up californienne a mis au point un steak végétal qui pourrait tout changer. J’ai laissé tombé la viande il y a quelques semaines. Autant dire que la rupture ne s’est pas faite en douceur. J’ai passé certains de mes plus beaux souvenirs sur une terrasse, une bière et un cheeseburger à la main. Mais j’ai fait tout cela, et tout a changé. Cette image ne contient pas un gramme de viande animaleCrédits : Beyond Meat Après la viande J’ai longuement marché, la mine basse, sur les sentiers du Vermont – où je vis. Et pourtant, je l’ai fait. Des Beast Burgers sur le grill Crédits : Beyond Meat À l’intérieur se trouvaient quatre steaks dorés de 115 grammes chacun. Cela s’appelait un Beast Burger, et il m’avait été envoyé par la société Beyond Meat, basée dans le sud de la Californie, à deux pas de l’océan. J’ai demandé : « Comment faites-vous pour lui donner ce goût de viande ? Le QG californien de Beyond MeatCrédits : Beyond Meat Related:  Agriculture/Alimentation/Pesticides/OGM

Chers agriculteurs en colère, de quoi vous étonnez-vous ? Tribune Je ne suis inscrit dans aucun parti ni syndicat, je ne suis pas un électeur bobo-écolo EELV, je ne travaille pas dans le secteur agricole ; je suis travailleur social. Rien à voir. Je suis un Mayennais qui a emménagé en Bretagne, dans le Coglais voisin. Depuis plusieurs semaines, je lis dans les journaux locaux que des actions quasi simultanées sont organisées par les éleveurs devant des grandes surfaces de villes que je connais bien, comme Laval ou Fougères. Je tenais à vous dire que vos actions ne suscitent absolument pas l’empathie d’un citoyen comme moi. Je m’explique. Making of Notre riverain Tibokaya est travailleur social, issu d’une famille paysanne. C’est souvent la forme de vos actions qu’on vous reproche. Cependant, si la violence ne se justifie pas dans un contexte quelconque, elle peut toujours s’expliquer. L’incohérence de vos positions C’est donc sur le fond que je porte ma critique de vos positions. Dans le Coglais, je connais deux adresses de paysans.

Combien faudrait-il de producteurs en France pour manger bio et local C’est une question qui revient régulièrement : combien de paysans devrait-on avoir à proximité de nos villes ou communes, si l’ensemble des citoyens décidait de relocaliser leur alimentation, en plus de passer au tout bio ? L’association Terre de Liens nous apporte des éléments de réponse. On parle régulièrement des bons conseils à appliquer pour adopter un rythme de vie sain, afin d’optimiser son propre bien-être et garantir une bonne santé pour la planète. Les vraies bonnes idées sont intéressantes surtout lorsqu'elles se concrétisent. L’association Terre de Liens Normandie a lancé un outil sur internet qui évalue le nombre de producteurs nécessaires pour que les français puissent consommer à la fois bio et local. Le convertisseur Terre de Liens évalue la relocalisation pour les communes, écoles, maisons de retraite, hôpitaux, restaurants d’entreprises et autres quartiers ou hameaux. Pour en savoir plus : www.terredeliens.org

Un dossier complet sur les dangers du micro-onde Présents dans plus de 70 % des cuisines Françaises et presque dans tous les foyers en Amérique du Nord, le four à micro-ondes jouit d’une très populaire, due à son aspect pratique et peu onéreux. Mais que se cache-t-il derrière cette apparence d’aide au bien-être? L’histoire du four à micro-ondes Lors de la guerre 1940-1945 on a constaté, dans les usines fabriquant les radars, que ceux-ci réchauffaient les mains des ouvriers y travaillant aux essais. Certains esprits astucieux utilisèrent ces propriétés des micro-ondes pour chauffer leur thé. La guerre s’achevant, les fabricants US de magnétrons destinés à la fabrication de radars, se sont trouvés face à un important stock dont ils n’avaient plus besoin… L’ingénieur américain Percy Spencer emballa ces ondes dans une boîte, en utilisant les magnétrons inutiles, et le four à micro-ondes était né, puis breveté en 1945. L’avenir des fours à micro-ondes semble bien incertain, en particulier aux USA et au Japon où ils seraient passés de mode.

Les villes de France en chemin vers le zéro phyto - Versailles, reportage A première vue, aucune différence : les abords de la gare de Versailles n’ont rien d’exceptionnel. Pourtant, la ville de Louis XIV figure parmi les pionnières du Zéro-phyto. Après quelques instants d’observation, les intrus se révèlent. Malgré la grisaille hivernale, des narcisses déploient leurs pétales jaunes au milieu des avenues. Depuis 2005, la ville de 90 000 habitants a peu à peu banni les produits phytosanitaires des parcs, des routes, des voiries puis des cimetières. Cathy Biass-Morin Ingénieure horticole de formation, elle se rend à Rennes, où des expérimentations sont en cours, rencontre des jardiniers bio, puis se charge de convaincre les élus. « Nous ne voulions pas de cancers, et la municipalité nous a fait confiance. » Impliquer les jardiniers Car les alternatives aux herbicides sont légion. A Courdimanche, dans le Val d’Oise, moutons et chèvres assistent les jardiniers dans le débroussaillage. Pas touche au cimetière ! Les politiques se rattrapent

Pain bio ou pétri de chimie, pâtisserie industrielle ou artisanale : comment reconnaître une bonne boulangerie Des terminaux de cuisson qui ont pignon sur rue ; des grandes surfaces qui vendent du pain chaud toute la journée, une baguette à 39 centimes d’euros ou du pain artisanal ; des entreprises industrielles qui abreuvent le marché de produits parfois standardisés ; des franchises qui connaissent un véritable âge d’or ... et de petites boulangeries artisanales subissant de plein fouet la concurrence. La boulangerie française est en pleine mutation. Que certains qualifient de crise. On compte actuellement 32 000 entreprises de boulangerie-pâtisserie, auxquelles il faut ajouter les grandes surfaces qui vendent du pain « frais ». Certaines ont ouvert plusieurs points de vente. Une concentration des enseignes dans un secteur qui continue, malgré tout, à employer plus de 160 000 personnes. Dans ce contexte, le consommateur est placé devant des choix multiples. Question n°1 : Comment savoir si le pain, les pâtisseries et les viennoiseries sont faits maison ou dans une usine agroalimentaire ?

La malédiction des phosphates : dans les coulisses polluées et désertifiées de l'agriculture chimique Pour profiter de ce reportage en grand format, c’est ici. Sur les plages du Finistère, les algues vertes prolifèrent de nouveau depuis fin mai. A presque 3000 kilomètres de là, sur le littoral tunisien, les habitants de la ville de Gabès sont confrontés à une grave pollution de l’eau, de l’air et de leurs terres, et redoutent la disparition de leur oasis côtière. Le point commun entre ces maux ? Les phosphates. En Europe, les phosphates sont abondamment utilisés dans l’agriculture comme engrais, en tant que source de phosphore, mais aussi d’azote, de calcium et d’aluminium. Si les conséquences de la sur-utilisation d’engrais phosphatés sont déjà visibles en France et en Europe [2], qu’en est-il en amont de la filière ? Mais où est passée l’eau de l’oasis ? Pour mieux comprendre l’impact du phosphate sur l’environnement, il faut se rendre à Gabès, à 450 kilomètres au sud de Tunis. Mais où est passée l’eau qui faisait autrefois de cet oasis un petit paradis sur terre ? « La mer est malade »

La face cachée de l’industrie laitière : un coût de 7,1 milliards d’euros pour la société En France, les produits laitiers sont partout. Ils façonnent les territoires, du bocage normand aux alpages de Savoie, en passant par les causses du Massif Central et les estives des Pyrénées. Ils s’imposent dans les rayons des grandes surfaces : lait, yaourts, fromages, crème fraîche s’offrent en grande variété au caddie du consommateur. C’est que les Français en raffolent. En plus de la richesse qu’ils créent, les produits laitiers sont parés de toutes les vertus. Un coût ignoré par le monde économique : 7,1 milliards d’euros Et pourtant. C’est l’élevage qui génère le plus d’impacts. 3,8 millions de vaches laitières, ça pollue beaucoup ! 3,8 millions de vaches : cela pollue forcément l’eau. « Nous ne mettons pas en cause les agriculteurs, souligne Christophe Alliot, co-fondateur du Basic. Lait bio et fromages AOC : des alternatives bien moins coûteuses Tous les coûts cachés ne peuvent être estimés en euros, en particulier la détresse de nombreux éleveurs laitiers. Photo : source

La malédiction des phosphates : dans les coulisses polluées et désertifiées de l'agriculture chimique Pour profiter de ce reportage en grand format, c’est ici. Sur les plages du Finistère, les algues vertes prolifèrent de nouveau depuis fin mai. A presque 3000 kilomètres de là, sur le littoral tunisien, les habitants de la ville de Gabès sont confrontés à une grave pollution de l’eau, de l’air et de leurs terres, et redoutent la disparition de leur oasis côtière. Le point commun entre ces maux ? Les phosphates. En Europe, les phosphates sont abondamment utilisés dans l’agriculture comme engrais, en tant que source de phosphore, mais aussi d’azote, de calcium et d’aluminium. Si les conséquences de la sur-utilisation d’engrais phosphatés sont déjà visibles en France et en Europe [2], qu’en est-il en amont de la filière ? Mais où est passée l’eau de l’oasis ? Pour mieux comprendre l’impact du phosphate sur l’environnement, il faut se rendre à Gabès, à 450 kilomètres au sud de Tunis. Mais où est passée l’eau qui faisait autrefois de cet oasis un petit paradis sur terre ? « La mer est malade »

Ce que révèle notre haine des yaourts à la cerise C’est un phénomène souvent constaté dans les frigos, ceux des grandes familles ou des colocations. On pourrait l’appeler la constante du yaourt maudit. Quand un paquet de yaourts est entamé, certains pots sont vite dévorés, d’autres sont délaissés et restent abandonnés parfois bien longtemps après que leur date limite de consommation conseillée soit dépassée. On avait cette simple impression : le goût cerise semble être le plus souvent mal-aimé. Capture d’écran d’une recherche de pages Facebook concernant les yaourts à la cerise (DR) Première confirmation après un tour rapide sur un moteur de recherche. Nouvelle confirmation en interrogeant Isabelle Kaiffer, responsable des études au cabinet Nielsen : « Le parfum des yaourts à la cerise est très segmentant. Haters de la cerise Viens alors LA question qui tourmente les haters du produit lacté goût cerise : Pourquoi les marques continuent-elles à glisser ces yaourts que tant de gens détestent dans leurs paquets de 8 ou de 16 ? Liste flippante

Crime environnemental : sur la piste de l'huile de palme Quel est le point commun entre un résident de Port-la-Nouvelle, petite ville méditerranéenne à proximité de Narbonne (Aude), et un villageois du comté de Grand Cape Mount, au Liberia ? Réponse : une matière première très controversée, l’huile de palme, et une multinationale malaisienne, Sime Darby. D’un côté, des habitants de Port-la-Nouvelle voient d’un mauvais œil la création d’« une usine clés en main de fabrication d’huile de palme » par Sime Darby, en partie financée par le conseil régional du Languedoc-Roussillon. Le petit port de l’Aude devrait donc accueillir une raffinerie d’huile de palme. Du Languedoc-Roussillon au Liberia Une perspective loin de réjouir plusieurs habitants réunis au sein du collectif No Palme [2]. L’opérateur du projet, Sime Darby, est un immense conglomérat malaisien, se présentant comme « le plus grand producteur mondial d’huile de palme ». De Monrovia, la capitale, elle mène à Medina, une ville de Grand Cape Mount. Agriculture familiale menacée

Pesticides : ces pommes qui laissent un goût amer | Greenpeace France Dans plusieurs pays européens, Greenpeace publie aujourd’hui un rapport intitulé « Pommes empoisonnées – Mettre fin à la contamination des vergers par les pesticides grâce à l’agriculture écologique ». L’Europe est l’un des premiers bassins de production et consommation de pommes au monde, et la pomme est le fruit le plus apprécié dans les 27 pays membres de l’Union européenne. Des tests ont été effectués sur 85 échantillons prélevés dans des vergers en agriculture conventionnelle de 12 pays en Europe. Coup de projecteur sur la France La pomme est le fruit qui rencontre le plus de succès auprès des Français. En France, les prélèvements ont été effectués dans les vergers de pommes fournissant les principales enseignes de la grande distribution (Auchan, Carrefour, Casino, Leclerc, Intermarché et les Magasins U). Ces tests révèlent notamment la présence de chlorpyrifos dans 4 échantillons de sol sur 6 prélevés. Gagner la course zéro pesticide Les solutions sont à portée de mains.

Related: