Dossier Ecriture numérique : 7 dispositifs pour apprendre et 36 outils créatifs L’écriture numérique bouleverse notre quotidien, nos apprentissages, nos lectures, notre façon de concevoir, réfléchir, d’organiser l’information et les savoirs… Le portail Savoirs CDI du réseau Canopé a publié en janvier 2016, un dossier complet sur l’Ecriture numérique (signé Stéphanie Tricard, Professeur Documentaliste). Il est question de comprendre l’écriture numérique pour mieux l’appréhender afin de mettre en place des dispositifs pédagogiques. Ce dossier délivre donc des éléments théoriques, aborde la question des langages numériques au sens large (apprentissage du code…) et présente des exemples de séquences d’écriture numérique menées avec des adolescents. 36 outils pour l’écriture numérique En fin de dossier, on retrouve une sélection de 36 outils pour l’écriture numérique classées en 6 catégories : Qu’est-ce que l’écriture numérique ? L’auteure du dossier définit ainsi l’écriture numérique : Sommaire du dossier : l’Ecriture numérique
L'écriture numérique L'entrée du numérique dans les apprentissages scolaires est une des manières de penser l'école d'aujourd'hui mais encore plus de demain. Le développement des technologies numériques dans tous les domaines de production de biens et de services fait peser sur le système scolaire une série d'enjeux qu'il est nécessaire de prendre en compte. Donner à chacun les habiletés nécessaires aux usages efficaces des outils, mais surtout - et c'est bien plus complexe - construire la capacité pour chaque usager de comprendre comment traiter et produire de l'information, telles doivent être nos ambitions d'enseignants et de formateurs. La présence invasive de données de toutes natures a d'ores et déjà rendu nécessaires des apprentissages méthodologiques pour les transformer en information. Comment les professeurs documentalistes s’emparent-ils de l’écriture numérique avec leurs élèves ? Qu’en est-il dans leur pratique de diffusion et de communication de l’information ?
Découvrez la puissance des applications de tableau blanc pour faire vos cours en présentiel, en distanciel ou en hybride | Ralentir travaux : le blog Cet article est la traduction d’un billet publié sur Medium en anglais et écrit dans le cadre de mon travail au lycée Winston-Churchill. Vous avez un iPad ? Un stylet ? Pourquoi ? Les notes écrites sont belles et colorées, mais je suis sûr que vous avez un nombre limité de deux ou trois couleurs si vous utilisez le tableau de votre classe alors que vous disposez d’une quantité à peu près infinie de couleurs si vous utilisez les apps susmentionnées. Enfin, et ce n’est pas la moindre des choses, si vous êtes en ligne, vous pouvez partager votre tableau facilement. De plus En utilisant votre iPad (ou n’importe quelle tablette d’ailleurs), Vous n’avez plus à tourner le dos à vos élèves.Vous pouvez écrire tout en déambulant dans la classe (attention tout de même).Vous n’aurez plus à effacer votre leçon à la fin de la classe (et réfléchissez-y : pourquoi devrait-on effacer tout le travail qu’on a accompli ?) Comment faire cela ? Les applications de tableau blanc Ce que j’aime dans ces apps Ziteboard
PomDoc. Travailler un texte à plusieurs mains – Les Outils Tice PomDoc est un outil en ligne qui facilite le travail collaboratif autour d’un document. Que ce soit entre ou avec des étudiants ou encore sur un travail de recherche entre collègues, PomDoc se pose en solution idéale pour travailler à plusieurs en temps réel et de manière sécurisée sur un document. PomDoc, dont j’ai dit tout le bien que je pensais ici sur le site Outils Collaboratifs, se prête aussi parfaitement bien à un usage dans le monde de l’éducation. Il est particulièrement pratique dès qu’il s’agit de travailler sur un document long. PomDoc va vous permettre de gagner un temps considérable. Tous les coauteurs peuvent intervenir ensemble d’où qu’ils se trouvent sans rien avoir à installer sur leur ordinateur. Une fois votre document terminé, vous pourrez l’exporter en .PDF ou .DOC. À tester sans tarder. Lien : PomDoc
Les 20 meilleurs outils et services pour créer des cartes mentales en 2021 Dernière mise à jour le 8 mars 2023 Créer une carte mentale reste un excellent moyen d’organiser vos pensées et vos idées. Elles sont faciles à créer et vous permettent d’organiser vos pensées visuellement. Retrouvez dans cet article une sélection des sites et services en ligne qui vous permettent de créer des cartes mentales pour vos élèves ou pour vous-même. Qu’est-ce qu’une carte mentale ou mindmap ? Les cartes mentales existent depuis des siècles. Quel que soit le nom que vous leur donnez, créer des cartes mentales est un moyen efficace d’obtenir une représentation visuelle des différentes parties d’un concept. Pour Wikipédia : “c’est un schéma, supposé refléter le fonctionnement de la pensée, qui permet de représenter visuellement et de suivre le cheminement associatif de la pensée. Pourquoi utiliser des cartes mentales à l’école ? Les usages à l’école sont nombreux. Les cartes mentales comme outil de mémorisation Voici une liste des principaux outils et services en Mindmeister. Mind42.
Omnibook Pro. Écrire un livre à plusieurs mains Dernière mise à jour le 26 juin 2019 Omnibook Pro est une application en ligne qui permet d’écrire un livre à plusieurs mains. Très simple à utiliser, cet outil permet de s’initier à l’écriture collaborative dans le cadre d’un exercice ou pour travailler sur un projet de livre à part entière. Omnibook Pro permet de travailler à distance à plusieurs sur un récit ou un projet éditorial. Travailler en équipe sur un projet de livre Orienté écriture collaborative, Omnibook vous demandera dès la mise en place de votre premier projet de livre d’identifier les personnes appelées à participer à l’aventure. Une fois l’équipe en place, la plateforme vous proposera de réfléchir et de définir la structure du livre. L’interface de création et de rédaction est très simple. Exporter votre travail pour créer un ebook ou un livre imprimé Votre livre peut-être public ou privé sur la plateforme. Lien : Omnibook Pro
Le rapport du Cnesco : intérêt et limites, une approche critique. – Veille et analyse TICE, partage, approche critique Le rapport du CNESCO « Numérique et apprentissages scolaires » publié ce 15 octobre va alimenter dans les prochains jours et jusqu’aux EGN le débat public sur le numérique en éducation. C’est un excellent document que nous invitons à lire attentivement. Malheureusement, ce rapport est partiellement incomplet et limité. En effet la seconde hypothèse proposée dès l’introduction du rapport révèle que le prisme par lequel la question est abordée est limité et que les conclusions qu’il propose demandent à être mises en question. Avant de revenir au rapport lui-même et d’en signaler les qualités « hic et nunc », il me semble nécessaire d’élargir le cadre d’analyse de la question du numérique dans le développement de nos sociétés et donc dans la place qu’il prend dans les « systèmes de transmission » dont l’école semble trop souvent être l’unique modèle possible, tant il semble évident à tous. A suivre et à débattre BD
Qu'est-ce que Tribu ? À destination du personnel de l’Éducation nationale, le service Tribu facilite les échanges, la consultation de documents et la production collaborative. Tribu est un service numérique qui permet à un groupe d’utilisateurs de collaborer et partager en toute sécurité des contenus. Elle est en conformité avec la législation en vigueur, notamment le Règlement général sur la protection des données (RGPD). Les grandes fonctionnalités : Tribu permet à une communauté de partager : un agenda, un espace de stockage de documents, une suite bureautique permettant la co-rédaction (OnlyOffice est un logiciel libre), un forum, une galerie d’images, un gestionnaire de droits d’accès aux documents... un notepad collaboratif qui permet à plusieurs utilisateurs distants de modifier des documents directement depuis la plateforme avec une validation visible du travail en cours. La capture des documents se fait via un copier-coller, import de fichiers. Comment accéder la plateforme TRIBU ?
Usages pédagogiques des TIC : de la consommation à la cocréation participative Margarida ROMERO et Thérèse LAFERRIÈRE du Centre de recherche et d'intervention sur la réussite scolaire (CRIRES) de l'Université Laval analysent les limites des approches techno-centrées. L’intégration des technologies de l’information et de la communication (TIC) en éducation a engendré des espoirs infondés et donné lieu à certaines innovations technologiques sans fondement pédagogique. Si certains usages pédagogiques des TIC permettent un apprentissage amélioré par la technologie (Laferrière et al, 2014), d’autres placent la personne apprenante dans une situation de consommation passive ou guère interactive. Dans cet article, nous analysons les limites des approches techno-centrées dans le processus d’intégration des TIC et introduisons une démarche réflexive basée sur une approche qui vise l’amélioration des apprentissages. Cinq niveaux d'usage des TIC (Romero, 2015) Introduction Ni les TIC (ni la craie, ni les crayons) ne sont des révolutions éducatives Discussion