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36 situations dramatiques

36 situations dramatiques
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 36 situations dramatiques est le nom d’une théorie proposée par le français Georges Polti (15 décembre 1867 - Juin 1946) dans Les 36 situations dramatiques et selon laquelle il existe, pour tout type de scénario, 36 situations dramatiques de base. Les travaux de Polti sont inspirés de ceux de l’Italien Carlo Gozzi (1720-1806) et de l’Allemand Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832). Contenu de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Le livre présente trente-six situations dramatiques avec, pour chacune, les rôles ou « éléments dynamiques indispensables » qu'elle implique. Les Situations ne sont cependant pas des catégories bien tranchées puisque certaines nuances d'une Situation peuvent toucher à une autre Situation. Postérité de la théorie[modifier | modifier le code] La théorie des 36 situations dramatiques inspirera notamment les manifestes de l'Oulipo[1] et les travaux d'Étienne Souriau. Les situations[modifier | modifier le code] Related:  Scénario & Ecriture

Les 36 situations dramatiques de base : Scénario Tout ce que je mets sur le site sont des infos glanées à droite et à gauche lors de conférences, cours ou recherches sur Internet. Je ne me souviens généralement pas qui en est l'auteur. Désolé pour eux... Pour tous ceux, nombreux apparemment, qui cherchent une base solide pour commencer un travail d'écriture... Les 36 situations dramatiques de base : 1. Les axes dramatiques : Gozzi, Schiller et Goethe savaient ! Rien de neuf sous le soleil de l’inspiration dramatique, C’est peut-être l’enseignement des 36 axes dramatiques répertoriés ici. Un buffet de gare sinistre, quelques habitués du café crème, des bruits de trains qui entrent en gare dans des crissements d’essieux... Donc, rien n’aurait changé depuis le théâtre grec ? S’émanciper, même dans un soap, c’est dire non, c’est dire « les Américains, comme les autres, ne font en réalité que reproduire des situations archétypales, qui se répètent à l’infini depuis la nuit des temps jusqu’aux téléfilms, en passant par le cinéma hollywoodien.

By Ken Levine: Great advice for all writers (not just young ones) This quote from Oscar, Tony, and probably Heisman Trophy winner, Mike Nichols:Every scene is either a fight, seduction, or negotiation. Now you could say he’s stretching it, and you could argue that at times seductions are negotiations, but the real point here is that every effective scene needs some dynamic. Two baseball fans in the stands just talking about the weather isn’t interesting. Umpires trying to decide whether the rain is coming down hard enough to stop a World Series game is. A couple agreeing on what color to paint the house is boring. Your scene needs some conflict, or one of the characters has a specific goal. It may be subtle. Rule of thumb: if you can just lift a scene out of a screenplay or TV show, or whatever without anyone missing it then it didn’t belong in the first place. A fight, seduction, or negotiation may be a little simplistic. Use Nichols’ quote as a guide. A scene has to have… stuff. And that’s why he is who he is and I am who I am.

Hollywood in a nutshell Est-il possible de construire toutes les histoires du monde (romans, pièces de théâtre, films, témoignages...) à partir d’un ensemble fini de situations type que l’on combinerait entre elles ? Une approche très pragmatique de cette question consiste à extirper les intrigues d’un nombre croissant d’histoires et à regarder si on finit par toujours tomber sur les mêmes « générateurs ». Telle est en substance la voie choisie par Georges Polti (1867-1946) vers la fin du XIXe siècle. Il a plus particulièrement porté son attention sur un millier de pièces de théâtre et 200 œuvres empruntées au roman, à l’épopée, à l’histoire... Si tant est que cela soit significatif pour le lecteur d’aujourd’hui, les titres étudiés vont de L’Abbé Constantin à Zulime et les auteurs de Abeille à Zorrilla. Au final, Polti trouve que oui, toute histoire se ramène à la combinaison d’un nombre fini de situations type. Ses travaux sont exposés dans Les trente-six situations dramatiques (Paris, 1895, rééd. 1912 et 1924).

How to Write About Characters Who Are Smarter Than You My least favorite moment in all of cinema is a relatively common one. You will recognize it, I’m sure, from dozens of movies and TV shows that prominently feature scientists. You may even have laughed at it once or twice. Our character is a scientist of some kind. But then, after our scientist has finished, the camera turns to a second character. “WHOA, Doc. You know exactly what I’m talking about. It’s a moment of casually cynical anti-intellectualism. I would suggest that the reason moments like this keep popping up on screens small and large is quite simply that writing about an exceptionally brilliant character is terribly difficult. As a writer, how do you write about characters who are smarter than you are? I spent a lot of highly caffeinated nights grappling with these questions when I started writing the script for The Imitation Game. One approach would be to render his dialogue as highly technical jargon. Now, four years ago, I published a novel about Conan Doyle. “No doubt!”

The art of inventing characters : Polti, Georges, 1868- Analyse d'une scène d'ouverture : Independence Day (Roland Emmerich, 1996) - L'Empire du spectacle Vendredi 23 avril 5 23 /04 /Avr 00:07 Le début du film Independence Day va nous servir à illustrer quelques principes de l'utilisation de l'univers du récit comme soutien à l'intrigue, aux personnages, au thème, etc. Dans un film, l'univers apparaît évidemment sous forme visuelle. Autant parler concrètement, lançons-nous dans l'analyse du début du film. Générique du début Dès que le logo 20th Century Fox disparaît, l'univers est posé et définit le genre. Je ne sais pas pour vous, mais ça me rappelle quelque chose : Si le générique avait été écrit avec des lettres manuscrites du style XVIIIème siècle, on conviendra que l'effet eût été différent et quelque peu incongru. Première scène La première scène a lieu sur la Lune. La caméra descend, et montre, sous le drapeau, la plaque que les astronautes ont apportée avec eux et qui "décrit" l'humanité entière et ses intentions pacifiques. Je ne vais pas faire tout le film comme ça, il y aurait trop à dire.

The thirty-six dramatic situations : Polti, Georges, 1868- Héros, adversaire principal et univers du récit - L'Empire du spectacle Le héros, son adversaire principal et l'univers du récit sont étroitement connectés. Pour expliquer cela, une fois n'est pas coutume, commençons par des exemples. Le héros et l'adversaire principal : opposition psychologique et morale Exemple : The Girl Next Door (Luke Greenfield, 2003) Héros : Le geek Adversaire principal : L'actrice porno Le héros a pour adversaire principal la personne qui attaque le plus sa faiblesse principale, qui est la plus à l'aise dans les domaines où il est mal à l'aise. Pour des précisions et plus d'exemples sur cette opposition basique, voir L'opposition héros/adversaire (Die Hard, The Girl Next Door, Toy Story, Star Wars...) Héros, adversaire principal et mélange des genres Exemple : Lucky You (Curtis Hanson, 2006) Huck Cheever, joueur professionnel de Las Vegas, est connu pour être un flambeur aux tables de Texas Hold'em, se laissant souvent emporter par ses émotions. Le dernier tiers du film met en scène la table finale des World Series of Poker.

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