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Scénario & Ecriture

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How To Write An Awesome Movie, According To Some Of Hollywood's Best Writers. 30 Things About Screenwriting. Movie Story Types. BEGINNiNGS: Setting a Story in Motion. Comment créer un bon antagoniste – OSTRAMUS. Emotional Logic in the Hero's Journey - The Story DepartmentThe Story Department. I started blogging when I realized the greatest weakness in Australian screenplays was structure.

Emotional Logic in the Hero's Journey - The Story DepartmentThe Story Department

Since then I have studied story structure to the point some people now call me “Structure Man” and others call me ‘Cookie Cutter’. by Karel Segers. 36 situations dramatiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 36 situations dramatiques est le nom d’une théorie proposée par le français Georges Polti (15 décembre 1867 - Juin 1946) dans Les 36 situations dramatiques et selon laquelle il existe, pour tout type de scénario, 36 situations dramatiques de base.

36 situations dramatiques

Les travaux de Polti sont inspirés de ceux de l’Italien Carlo Gozzi (1720-1806) et de l’Allemand Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832). Contenu de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Le livre présente trente-six situations dramatiques avec, pour chacune, les rôles ou « éléments dynamiques indispensables » qu'elle implique. Ainsi par exemple, la situation Implorer demande un Persécuteur, un Suppliant et une Puissance indécise. Les Situations ne sont cependant pas des catégories bien tranchées puisque certaines nuances d'une Situation peuvent toucher à une autre Situation.

Postérité de la théorie[modifier | modifier le code] Les situations[modifier | modifier le code] How to Write About Characters Who Are Smarter Than You. My least favorite moment in all of cinema is a relatively common one.

How to Write About Characters Who Are Smarter Than You

Writing better action. Analyse d'une scène d'ouverture : Independence Day (Roland Emmerich, 1996) - L'Empire du spectacle. Vendredi 23 avril 5 23 /04 /Avr 00:07 Le début du film Independence Day va nous servir à illustrer quelques principes de l'utilisation de l'univers du récit comme soutien à l'intrigue, aux personnages, au thème, etc.

Analyse d'une scène d'ouverture : Independence Day (Roland Emmerich, 1996) - L'Empire du spectacle

Dans un film, l'univers apparaît évidemment sous forme visuelle. Il est composé d'objets, de paysages, de couleurs, de textures, de matières, etc. Tout ce qui entoure les personnages et qui apparaît à l'écran peut-être considéré comme faisant partie de l'univers. On comprendra qu'il est donc impossible de le maîtriser entièrement. Autant parler concrètement, lançons-nous dans l'analyse du début du film. Générique du début. Writing better scene description. Comment écrire une bonne chute ? – OSTRAMUS. L’erreur habituelle de l’écrivain est de croire que la nouvelle est facile à traiter.

Comment écrire une bonne chute ? – OSTRAMUS

Les difficultés sont présentes et sont très conséquentes. Les pièges Premier piège : c’est court, donc c’est plus accessible. Faux. Si l’auteur fait une faute dans un roman, cet accroc sera noyé dans le récit puis oublié ou pardonné par le lecteur. Comment écrire un bon début d’histoire ? – OSTRAMUS. L’écriture est le plus ingrat des arts.

Comment écrire un bon début d’histoire ? – OSTRAMUS

Si le temps de production d’un texte s’apparente à celui d’un dessin, d’une sculpture ou d’un film, le temps d’appréciation est le plus long et le plus fastidieux. Lire demande un effort pour qui s’investit dans un texte : du temps, car contrairement à une image, une statue, une musique qui s’apprécient en quelques secondes, un texte demande en moyenne une heure pour 50 pages, et de la concentration, car le texte est le vaisseau de l’imagination de l’auteur, et c’est au lecteur de faire tout le travail de création visuelle dans son esprit pour profiter pleinement de l’histoire.

Si ses critiques peuvent être acerbes, le lecteur est avant tout un explorateur qui s’engage dans un terrain qu’il ne connaît pas, et l’effort qu’il produit est un investissement quant au divertissement escompté. Les règles d’écriture de scénario du studio Pixar. Si l’on peut reprocher à l’écriture de scénario « à l’américaine » d’être parfois trop formatée et de manquer d’âme, notamment lorsque les films émanent de grands studios, il existe de merveilleux contre-exemples, à l’instar des productions Pixar.

Les règles d’écriture de scénario du studio Pixar

Outre leur magie technologique, leurs films ont tous en commun l’excellence de leur écriture. Non seulement leurs structures sont irréprochables, mais leurs personnages sont extrêmement bien caractérisés. Leurs histoires sont pleine d’humour et d’émotion et véhiculent des thèmes universels, elles s’adressent à un public sans âge, bref, qu’un scénariste écrive pour le secteur de l’animation ou du cinéma live, il a beaucoup à apprendre des productions Pixar. Découvrons quelques unes des règles d’écriture de cette géniale compagnie, voulez-vous? Elles ont été récemment communiquées par la story-boardeuse Emma Coats sur son compte Twitter. 1. 2. Andrew Stanton: The clues to a great story. Une carte anti writer’s block. Robert McKee: 10 Problems To Avoid With Dialogue In Screenplays. By Ken Levine: Great advice for all writers (not just young ones) This quote from Oscar, Tony, and probably Heisman Trophy winner, Mike Nichols:Every scene is either a fight, seduction, or negotiation.

By Ken Levine: Great advice for all writers (not just young ones)

Now you could say he’s stretching it, and you could argue that at times seductions are negotiations, but the real point here is that every effective scene needs some dynamic. Two baseball fans in the stands just talking about the weather isn’t interesting. Umpires trying to decide whether the rain is coming down hard enough to stop a World Series game is. A couple agreeing on what color to paint the house is boring. A couple throwing paint at each other is not. Watch One of the Clearest, Most Helpful Explanations of Story Structure Ever. There are countless voices out there explaining various methods for unpacking your narrative.

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Plot points, acts, and Hero's Journeys -- so many concepts. Which one do you choose? That's actually a bit of a trick question, because there's no one structural paradigm that wins out over the others. When it comes to screenwriting, rules and rigidity don't really translate well -- I suppose not even when it comes to structure. However, unless you're working on an avant-garde or experimental piece of cinema, having a clear structure is ideal in order to help your audience understand what's going on in your story. And if spending another day with your nose inside a screenwriting book bums you out, take a look at this fantastic video by Darius Britt, who is quickly becoming my go-to guy when it comes to screenwriting advice.

The #1 Most Important Element In Developing Character by John Truby. Entering a scene. Three Guidelines for Writing Villains. Héros, adversaire principal et univers du récit - L'Empire du spectacle. Le héros, son adversaire principal et l'univers du récit sont étroitement connectés.

Héros, adversaire principal et univers du récit - L'Empire du spectacle

Pour expliquer cela, une fois n'est pas coutume, commençons par des exemples. Le héros et l'adversaire principal : opposition psychologique et morale Exemple : The Girl Next Door (Luke Greenfield, 2003) Héros : Le geek Adversaire principal : L'actrice porno Le héros a pour adversaire principal la personne qui attaque le plus sa faiblesse principale, qui est la plus à l'aise dans les domaines où il est mal à l'aise.