background preloader

Réussir vos examens

Réussir vos examens
Related:  neurosciences

relaxation - Inspirer par les deux narines (bouche fermée) Expirer doucement par la bouche (comme pour souffler une bougie) ou par le nez. 3 à 4 fois. - Contracter 5 secondes tout le corps en respirant. Décontracter en expirant par la bouche pour relâcher les tensions. 3 fois Procéder de même avec différentes parties du corps : les poings, le visage, le haut ou le bas du corps… Décontracter le haut du corps Les Mouvements se font lentement, au rythme de la respiration, sans forcer pour ne pas se faire mal. - Tourner la tête à droite, à gauche, puis en haut, en bas. Faire un tour entier avec la tête, arrivé en bas, on change de sens. - Faire quelques roulements d'épaules (vers l’avant / vers l’arrière). - Respirer en coordonnant les bras avec le souffle : Inspirer : amener les bras au-dessus de la tête et bien s’étirer. Expirer : ramener les bras le long du corps. - Baisser l’oreille droite vers l’épaule, masser les trapèzes à gauche avec la main droite. Respirer A l'inspiration, le ventre se gonfle légèrement,

Magazine Science&Santé L’autisme toucherait 700 000 personnes en France. Ce trouble du développement entraîne, dès la petite enfance, un spectre de manifestations variées qui lui donnent son nom : "trouble du spectre de l’autisme", ou TSA. Destinés à évoluer tout au long de la vie selon une "trajectoire développementale" qui diffère d’un individu à l’autre, les signes du TSA, quand ils sont gênants, sont susceptibles d’être influencés positivement par des programmes d’éducation et de rééducation, ou des thérapies innovantes.

apprendre-cerveau-complet Apprendre, mémoriser, être attentif ? Valerie Rambaud Lycée Claude de France RomorantinIllustrations génially et Pixabay Que se passe t’il quand on est confronté à un nouveau problème ? Avant de rencontrer le problème on ne sait pas que l'on ne sait pas. Quand on rencontre un nouveau problème, on se trouve alors dans un inconfort psychologique, on sait que l'on ne sait pas ! On peut alors faire le choix de renoncer ou d'essayer ... Quand on a dépassé la peur de l'échec on va alors essayer, faire des erreurs, des choix, recommencer … Et enfin on sait que l'on sait ! Avec le temps, le cerveau a tendance à oublier donc au bout de quelques temps, on sait que l'on ne sait plus ... Mais on sait que l'on peut retrouver ce que l'on savait. Quelle est votre façon d'apprendre ? Comment fonctionne la mémoire ? Le cerveau fonctionne par association ! La mémoire de travail. Chaque jour, des milliers d’informations (= futures connaissances) envahissent notre cerveau. L'importance de l'oubli. Lecture Audition Verre

La classe de 6ème Memento : Les sciences cognitives au collège | sciences cognitives La totalité d’une équipe pédagogique pratique 7 axes pédagogiques inspirés par les sciences cognitives, dans une classe de 6ème d’un collège non favorisé de l’Ile de France. Le résultat est encourageant et l’équipe poursuit son expérience en 2016-2017. Collège Saint Exupéry, 95 ERMONT – L’établissement se situe en région parisienne et accueille des élèves de milieux sociaux contrastés, dont un assez grand nombre en difficulté. Cette expérimentation s’inscrit dans le nouveau socle commun, en particulier dans le deuxième domaine « Les méthodes et outils pour apprendre ». Elle fait partie des 10 expérimentations de « Classes Orientées Sciences Cognitives » conduites par notre équipe dans 10 établissements différents. Comment est né le projet ? A la suite d’une intervention de sensibilisation sur les apports des sciences cognitives dans l’apprentissage, une équipe d’enseignants a eu envie de mettre en place une classe de 6ème « Mémento ». Les techniques utilisées Les constats qualitatifs

DOCUMENTS POUR UNE RENTREE REUSSIE Voici tous les documents utiles pour organiser votre rentrée en tant que professeur principal. La plupart sont modifiables, vous pouvez donc les adapter à votre guise. Vous trouverez également des documents pour les parents: powerpoint pour La Réunion de rentrée, informations à connaitre… N’hésitez pas à laisser un commentaire ci-dessous pour des remarques, vous pouvez également m’envoyer vos documents afin que je les partage à cette adresse mail: valeriane.galan@gmail.com J’aime ça : J’aime chargement… Articles similaires La rentrée approche! 6 janvier 2018 Dans "La Rentrée" Tous les documents nécessaires pour une rentrée réussie: trame de déroulement, powerpoint de rentrée, fiche de renseignements... 28 août 2019

Stratégies pédagogiques et développement des stratégies d’apprentissage des étudiants Cet atelier est conçu pour former les enseignants de niveau universitaire. Les buts de cet atelier sont: Sensibiliser et informer sur les stratégies d’apprentissage. Ces différents outils constituent des documents de travail et les suggestions permettant de les améliorer sont les bienvenues! Quatre documents sont disponibles: Aide mémoire Cahier du participant Présentation Scénario pédagogique Ces ressources ont été élaborées dans le cadre d’un projet du Fonds de développement académique du réseau (FODAR) de l’Université du Québec avec la participation de l’ETS, l’UQAC, l’UQAR et l’UQAT. Merci à tous ceux qui ont contribué et aux membres du groupe ECEM : Hélène Bilodeau et Claude Boucher de l’UQAT, Sylvie Doré et Daniel Oliva de l’ETS, Claude Galaise de l’UQAR et Damien Hallegatte de l’UQAC. Merci à tous les professeurs et chargés de cours qui ont participé à la mise à l’essai de ces ateliers, leurs commentaires ont permis de bonifier ce matériel.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene

La pédagogie peut-elle être « scientifique » ? Comment ne pas répondre par la négative à cette question ? Bien entendu, comme par exemple la médecine, la pédagogie reste une pratique qui fait appel à beaucoup de pragmatisme et a quelque chose à voir avec l’art (mais plutôt celui de l’artisan que de l’artiste), avec le bricolage. En revanche, posons autrement la question : la pédagogie peut-elle, doit-elle se passer de la science, des sciences ? Faire à l’excès l’éloge de l’expérience par exemple mène à l’impasse, comme si apprendre de sa pratique revenait à n’apprendre que de sa pratique. Et on dérive vite vers la détestable apologie du « bon sens », un terme que je bannis de mon vocabulaire d’ailleurs. Comme toujours, la réalité est complexe et ne doit surtout pas être traitée sous un mode binaire (scientisme ou humanisme ; rigueur conceptuelle ou pragmatisme, etc.). bout de la lorgnette. Mais je voudrais m’intéresser dans ce billet à l’importance grandissante que peuvent avoir les neurosciences dans la réflexion

Comment apprenons-nous ? Le paradoxe de la créativité Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.

Métacognition et réussite des élèves Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés. Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation. Les objectifs de cette réflexion sont : Pour avancer ensemble sur ce chemin, il semble fondamental que les activités pour la classe soient déterminées par des objectifs qui seraient de permettre à l’élève de construire des outils mentaux pour apprendre. La définition du concept d’activité

Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. Nous ne gardons en mémoire les informations de cette dernière que durant quelques millisecondes. La deuxième mémoire est la mémoire à court terme. Nous abordons maintenant la mémoire « durable ». Mémoriser sur le long terme demande aussi de la répétition. Les graphique proviennent de ce blog et la carte mentale de là.

MEMOIRE ou MEMOIRES, comment s'en servir ? •ParcoursduLoupBlanc.com La Mémoire ? Un territoire où les neurosciences frôlent la géographie ; le monde des mémoires est vaste avec des terres encore inconnues, des explorateurs, des frontières de plus en plus précises et des voies de communication nombreuses et variées. Le terme « mémoire » nous vient de la déesse Mnémosyne, aux charmes certains puisque Zeus y succomba pendant 9 nuits, laissant la belle Mnémosyne engendrer les 9 Muses de la connaissance. Les nouveaux soupirants de Mnémosyne arriveront avec la révolution informatique des années 50 ; l’étude des mécanismes qui permettent le codage, le stockage et la récupération des informations attirent ingénieurs, psychologues, neurobiologistes et neurologues. Sœur incontournable de l’oubli, fondement de l’identité personnelle, la mémoire s’appuie sur notre passé, organise notre présent, usurpe notre futur. On a tous en nous quelque chose de Mnémosyne… Prof. La mémoire court-terme Cette mémoire court terme est de durée extrêmement brève. La mémoire à long terme

Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit 1) Parler de nos mémoires plutôt que de la mémoire La mémoire est ce qui reste de nos apprentissages. C'est la trace concrète qui en est conservé dans nos réseaux de neurones. La mémoire n'est pas pour autant un concept unifié. Notre cerveau possède différents systèmes de mémoire spécialisés. On a par exemple des circuits nerveux spécialisés dans le souvenir des événements que nous avons vécus durant notre vie passée (mémoire épisodique) qui ne sont pas les mêmes que ceux qui permettent la mémoire du sens des mots, de la fonction des choses, de leur couleur ou de leur odeur (mémoire sémantique). Traditionnellement, les études se sont concentrées sur les mémoires dites explicites, c'est-à-dire celles dont on peut exprimer verbalement le contenu (comme les deux premiers exemples précédents). 2) Répéter au bon moment pour contrer l'oubli La mémoire est " une faculté qui oublie ", et c'est tant mieux !

Related: