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Psychologie cognitive

Psychologie cognitive
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plus généralement la cognition se définit comme l'ensemble des activités mentales et des processus qui se rapportent à la connaissance et à la fonction qui la réalise. La psychologie cognitive part du principe que l'on peut inférer des représentations, des structures et des processus mentaux à partir de l'étude du comportement. Historique[modifier | modifier le code] La psychologie cognitive est véritablement née dans les années 1950, en même temps que l'intelligence artificielle. Notions de base[modifier | modifier le code] D'autres chercheurs s'emploient à décrire les stratégies mises en place par les individus pour traiter les tâches de la vie quotidienne, tâches de résolution de problème, prise de décision, ou même tâches professionnelles (diagnostic médical, contrôle aérien, mémorisation chez les garçons de café, etc.). Bibliographie (manuels et textes introductifs)[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Related:  Psychologie cognitive

Associationnisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne pas confondre avec le shirk, qui consiste selon l'islam à associer fautivement à Dieu d'autres dieux ou d'autres êtres. Histoire[modifier | modifier le code] Pour Aristote, les conséquents suivent leurs antécédents, soit par une consécution nécessaire, soit par habitude, ce qui a lieu le plus souvent. Dans la consécution qui naît de l'habitude, le conséquent est ou bien 1) semblable à son antécédent, ou 2) contraire (loi de contraste), ou 3) il a été perçu en contiguïté avec lui. Les stoïciens expliquent la formation des idées générales, des anticipations, éléments et principes du raisonnement, sont des lois d'association. « Parmi les concepts, les uns sont conçus par contact, d'autres par similitude, d'autres par analogie, d'autres par transfert, d'autres par composition, d'autres par opposition. Hartley explique l'esprit par l'association et celle-ci par les vibrations. Concept[modifier | modifier le code] Les critiques [Qui ?]

Psychothérapie cognitivo-comportementale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans l'histoire de la psychologie clinique, les courants dits comportementalistes (visant d'abord à intervenir sur le comportement) et cognitifs (cherchant à intervenir sur les croyances, les représentations, et leurs processus de construction) sont apparus parallèlement au milieu du XXe siècle, parfois en compétition l'un avec l'autre. Depuis les années 1980, ce clivage historique entre comportementalisme et cognitivisme tend à disparaître dans la pratique thérapeutique[2]. Histoire[modifier | modifier le code] L'approche cognitive : influence du stoïcisme[modifier | modifier le code] Plusieurs auteurs montrent la filiation entre les idées des philosophe stoïciens et les postulats de l'approche cognitive[3],[4]. Du comportementalisme aux thérapies[modifier | modifier le code] Apparition[modifier | modifier le code] Fusion cognitivo-comportementale[modifier | modifier le code] Nouveaux modèles[modifier | modifier le code]

Psychologie de l'apprentissage Préambule[modifier | modifier le code] À la différence de la psychologie de l'éducation qui s'intéresse essentiellement aux enfants et aux jeunes (- de 16 ans) en activité scolaire, la psychologie de l'apprentissage s'adresse autant aux enfants qu'aux adultes et ne cible ni un public ni une activité d'apprentissage en particulier. D'autres types de psychologie proches de la psychologie de l'éducation reste en lien avec la psychologie de l'apprentissage comme la psychologie scolaire (liée entre autres à la prévention de l'échec scolaire) ou la psychologie de l'orientation (liée à l'adéquation entre le profil d'une personne et le métier ou la profession à exercer). La psychologie de l'apprentissage ou les psychologies de l’apprentissage en fonction des auteurs intègrent les psychologies suivantes[1] : la psychologie behavioriste ou comportementaliste ; elle est basée sur les comportements observables. Théories psychologiques de l'apprentissage[modifier | modifier le code] (S') Intéresser

Analogies et correspondances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’homme et le macrocosme : planche tirée du De utriusque cosmi maioris et minoris historia de Robert Fludd (1619). La théorie des analogies et correspondances est une doctrine propre aux occultistes et aux ésotéristes. Ainsi est défendue « l’idée d’un univers vivant, fait de correspondances secrètes, de sympathies occultes, où partout souffle l’esprit, où s’entrecroisent de toutes parts des signes ayant une signification cachée[5]. » Définitions[modifier | modifier le code] Papus (1865-1916), Traité méthodique de science occulte (1891), t. Robert Amadou : « L’occultisme est l’ensemble des théories et des pratiques fondées sur la théorie des correspondances selon laquelle tout objet appartient à l’ensemble unique et possède avec tout autre élément de cet ensemble des rapports nécessaires, intentionnels, non temporels et non spatiaux. »[6] Pierre A. Les analogies et correspondances en Chine[modifier | modifier le code]

Programmation neuro-linguistique Techniques variées issues de la Modélisation PNL. Leurs usages coordonnés et intégrés permettent d'explorer le « vécu subjectif », objet de la PNL. La programmation neuro-linguistique (abrégée « PNL » en français, et « NLP » en anglais) est un outil pseudo-scientifique de médecine alternative de communication verbale et non verbale, de développement personnel et d'accompagnement au changement. La PNL se présente comme l'étude des processus comportementaux acquis, considérés comme une Programmation Neurologique représentée par la Linguistique[3]. Principe fondamental de la PNL, cette méthode nommée modélisation se décline en une grande variété de techniques élaborées au fil de l'histoire de la discipline. Divers domaines d'application de la PNL ont été explorés depuis 1980 : créativité, sport, management, pédagogie et communication. L'apprentissage de la PNL est ouvert à tous et sa pratique n'est pas réglementée. Parmi les critiques de la PNL, on trouve les affirmations suivantes :

Psychologie positive La psychologie positive est une discipline de la psychologie fondée officiellement en 1998 lors du congrès annuel de l'Association américaine de psychologie par son président de l'époque, Martin E. P. Seligman (cf. son discours publié en 1999 dans le journal de l'APA, The American Psychologist). Cependant, la psychologie positive a des racines plus anciennes. Ce domaine de la psychologie s'inscrit ainsi dans la tradition de la psychologie expérimentale dont elle utilise les méthodes, basées sur la validation d'hypothèses, et elle se rapproche dans ses concepts de la psychologie humaniste (dont elle diffère surtout par ses méthodes). La psychologie positive a rapidement connu un franc succès auprès du grand public. Cependant, la discipline est dénoncée par de nombreux chercheurs comme une pseudo-science[4] et fait l'objet de divers critiques. Histoire[modifier | modifier le code] Cependant, la psychologie positive a des racines plus anciennes. - Émotions positives et gratitude Martin E.

Neurone formel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation d'un neurone formel (ou logique) Le neurone formel est l'unité élémentaire des réseaux de neurones artificiels dans lesquels il est associé à ses semblables pour calculer des fonctions arbitrairement complexes, utilisées pour diverses applications en intelligence artificielle. Le neurone formel de McCulloch et Pitts[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Le premier modèle mathématique et informatique du neurone biologique est proposé par Warren McCulloch et Walter Pitts en 1943[1]. McCulloch et Pitts étudiaient en fait l'analogie entre le cerveau humain et les machines informatiques universelles. Malgré la simplicité de cette modélisation, ou peut-être grâce à elle, le neurone formel dit de McCulloch et Pitts reste aujourd’hui un élément de base des réseaux de neurones artificiels. Formulation mathématique[modifier | modifier le code] On considère le cas général d'un neurone formel à à . pour l'entrée .

Analyse transactionnelle Cet article présente des problèmes multiples. En psychologie, l'analyse transactionnelle, appelée aussi AT, est une théorie de la personnalité, des rapports sociaux[1] et de la communication. Créée dans les années 1950 par le médecin psychiatre et psychanalyste Éric Berne[2], elle postule des « états du Moi » (Parent, Adulte, Enfant), et étudie les phénomènes intrapsychiques à travers les échanges relationnels de deux personnes ou plus, appelés « transactions ». L'analyse transactionnelle vise à permettre une prise de conscience ainsi qu'une meilleure compréhension de « ce qui se joue ici et maintenant » dans les relations entre deux personnes et dans les groupes. L'analyse transactionnelle part du principe que chaque personne est fondamentalement positive et que ce sont les décisions prises dans notre enfance qui influent sur notre comportement ; son but est d'aider à reprendre le contrôle vers l'épanouissement[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Dans l'exemple de M. Exemple :

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