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Aristote

Aristote
Portrait d'après un original en bronze de Lysippe. La nature (physis) tient une place importante dans la philosophie d'Aristote. Selon lui, les matières naturelles possèdent en elles-mêmes un principe de mouvement (en telos echeïn). Par suite, la physique est consacrée à l'étude des mouvements naturels provoqués par les principes propres de la matière. Pour sa métaphysique, il défend l'idée d'un premier moteur qui met en mouvement le cosmos sans être lui-même mû. Après sa mort, sa pensée connaît plusieurs siècles d'oubli. Anthroponymie[modifier | modifier le code] Le nom français Aristote dérive du nom grec Aristotélês (en grec ancien : Ἀριστοτέλης [aristotelɛːs][1])[2]. Il est composé de aristos « le meilleur » et telos « achèvement, accomplissement, réalisation »[2]. Biographie[modifier | modifier le code] La vie d'Aristote n’est connue que dans ses grandes lignes[3],[4],[5]. Années de jeunesse[modifier | modifier le code] Aristote a probablement participé aux Mystères d'Éleusis[17]. Related:  Philosophie et psychologieGrecsGrecsPhilosophie

Pascal : Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point Cette sentence de Pascal, philosophe du XVIIème siècle, est la plus connue des Pensées pascaliennes. Elle est aujourd’hui utilisée à tort et à travers, pour justifier toutes les irrationalités humaines, tous les comportements injustifiables. Ceci est un contresens total de l’esprit de cette citation de Blaise Pascal. En effet, Pascal traite de la croyance religieuse : la croyance, selon lui, ne peut se justifier par la connaissance de Dieu. Le coeur et la raison : Quels rapports ? Pour Pascal, la vérité est accessible par deux moyens : le coeur et l’esprit. C’est donc par le coeur et non par la raison que nous devons appréhender les vérités religieuses. La phrase “Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point” reflète la théorie de Pascal sur la croyance religieuse, donc, selon laquelle le coeur est une meilleure voie d’accès à Dieu que la raison, elle-même limitée.

Platon (-400) Platon (en grec ancien Πλάτων / plátôn /plá.tɔːn/[1]), né en 428 / 427 av. J.-C. et mort en 348 / 347 av. J.-C. à Athènes, est un philosophe antique de la Grèce classique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée. Il est généralement considéré comme l'un des premiers philosophes occidentaux, sinon comme l'inventeur de la philosophie, au point que Whitehead a pu dire : « La philosophie occidentale n'est qu’une suite de notes de bas de page aux dialogues de Platon »[3]. Biographie[modifier | modifier le code] La vie de Platon est mal connue[4]. Jeunesse[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Il a durant sa formation pour condisciple Isocrate, qui selon Diogène Laërce a six ans de plus que lui[17]. — Lettre VII, 324. En 403 av.

Andromède - Mythologie grecque et mythes grec La belle Andromède Andromède est la fille de Céphée, le roi d'Ethiopie, et de Cassiopée. Sa mère prétendait être plus belle que les Néréides à elles toutes. Interrogé par le roi, l'oracle d'Ammon prédit que l'Ethiopie serait délivrée de ce fléau si la fille de Cassiopée était exposée comme victime expiatoire. Persée, au retour de son expédition contre Gorgo, la vit, en devint amoureux, et promit à Céphée de délivrer sa fille s'il consentait à la lui donner comme femme. Lorsqu'il repartit d'Ethiopie, Persée emmena Andromède à Argos, puis à Tirynthe. Il existe une interprétation rationaliste de la légende, rapportée par Conon. Son royaume s'étendait depuis la Méditerranée jusqu'au pays des Arabes et à la Mer Rouge. Après bien des tergiversations, Céphée décida de donner sa fille à Phoenix, mais ne voulut pas avoir l'air de la refuser à son frère, aussi simulât-elle un enlèvement. On enlèverait Andromède dans un îlot où elle avait coutume de sacrifier à Aphrodite.

Socrate : le premier philosophe grec Classement : Reportage Thématique : Philosophie - Idées Media : France Inter Avec la série de podcast “Les Odyssées” (pensée et produite par Laure Grandbesançon) , France Inter invite les enfants de 7 à 12 ans à se plonger dans les aventures des grandes figures de l’histoire. Un numéro est consacré à Socrate : Au Ve siècle av J.C, à Athènes, durant la Grèce antique, un jeune tailleur de pierre modeste et curieux devient le premier philosophe de l’Histoire. Ecouter / réécouter le podcast : Related Posts None found Martin Heidegger Heidegger en 1960. signature Martin Heidegger [ˈmaɐ̯tiːn ˈhaɪdɛɡɐ][1], né le 26 septembre 1889 à Meßkirch et mort le 26 mai 1976 à Fribourg-en-Brisgau, est un philosophe allemand. Dans les années 1930 a lieu ce qu'il appelle le « tournant » de sa pensée au moment de l'écriture de l'Introduction à la métaphysique. L'influence de Heidegger sur la philosophie française a été particulièrement importante[4]. Il est également l'un des philosophes dont la personnalité et l'œuvre sont les plus controversées en raison de son attitude durant la période 1933-1934, où il fut recteur de l'université de Fribourg après l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler, puis de 1933 à 1944 où il est resté adhérent au parti national-socialiste. Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code] La maison natale de Heidegger. Il prononce en 1915 la conférence Le concept de vérité dans la philosophie moderne. Marbourg et Fribourg (1923-1933)[modifier | modifier le code] (en) W.J. Généralités

Le vide métaphysique du personnalisme Et nous pouvons faire suivre la liste avec le Danois Kierkegaard et la personne concrète au singulier, par opposition à l’humanité qui n’a ni mains ni pieds. Nous en trouvons aussi quelque traces chez don Miguel de Unamuno. Dreuz a besoin de votre soutien financier. Mais le véritable fondateur du personnalisme est le Français Emmanuel Mounier (1905-1950) qui, avec ses idées de l’incarnation, de la communion, de la dialectique de l’amour, de la vie et de l’aventure, en partant de soi-même, en prenant sur soi-même, a déployé l’idée de la personne. La lecture de ces auteurs et de beaucoup d’autres nous a cependant toujours laissé l’impression d’un vide métaphysique qui ne pouvait pas être comblé. Le caractère personnel est présenté comme dépourvu de sens structurel métaphysique. Il est compréhensible que le monde chrétien voit cela avec de bons yeux et valorise ce type de philosophie. La personne est le centre métaphysique de nos expériences et de nos actes.

Démocrite (-350) portrait d'après original grec copie romaine Il a été un disciple de Leucippe, le fondateur de l'atomisme ; Diogène Laërce attribue injustement l'ouvrage de Démocrite à propos de l'atomisme à Épicure[1]. Strabon, qui se base sur l'opinion de Posidonius, dit que l'atomisme doit être attribué à Mochus, proto-philosophe de Sidon, qui fut antérieur à la guerre de Troie (qui vécut donc bien avant Leucippe et Démocrite). « Aristoxène rapporte, dans les Commentaires historiques, que Platon avait eu l'intention de brûler tous les écrits de Démocrite qu'il avait pu rassembler, mais que les pythagoriciens Amyclas et Clinias l'en détournèrent en lui représentant qu'il n'y gagnerait rien, puisqu'ils étaient très répandus. Ce qui confirme ce récit, c'est que Platon, qui a parlé de presque tous les anciens philosophes, ne cite pas une fois Démocrite, pas même lorsqu'il serait en droit de le combattre, sans doute parce qu'il savait bien à quel redoutable adversaire il aurait affaire. « [...]

Anaximandre Anaximandre de Milet (en grec ancien : Ἀναξίμανδρος / Anaxímandros) (vers 610 av. J.-C. – vers 546) est un philosophe et savant grec présocratique. On suppose qu'il succéda à Thalès comme maître de l'école milésienne, et il aurait eu Xénophane, Pythagore et Anaximène parmi ses élèves. Anaximandre est le premier Grec connu à avoir tenté de décrire et expliquer l'origine et l'organisation de tous les aspects du monde d'un point de vue que l'on qualifie rétrospectivement de scientifique[1]. Anaximandre passe également pour le premier philosophe à avoir consigné ses travaux par écrit, mais seules quelques phrases sont parvenues jusqu'à nous. Biographie[modifier | modifier le code] Anaximandre, fils de Praxiadès, est né à Milet durant la troisième année de la 42e olympiade (610 av. D’après Élien, les Milésiens l’auraient chargé de diriger une colonie vers Apollonie du Pont, sur la côte thrace du Pont-Euxin, ce qui laisse penser qu’il fut un citoyen d’une certaine notoriété.

Polybe, historien grec (IIe siècle av. J-C) Historien grec, Polybe est pris en otage par Rome et exilé de sa terre natale. Il devient toutefois un proche de Paul-Emile et Scipion Emilien, et effectue une grande carrière. On lui doit des textes majeurs sur le fonctionnement de la République et la Guerre Punique, et il constitue donc une source incontournable pour l’histoire romaine. Il meurt d’une chute de cheval à plus de quatre-vingts ans, et laisse derrière lui une œuvre considérable. Polybe, otage au service de Rome Né en Arcadie vers 200 (la date la plus partagée est aujourd’hui 203), à Mégalopolis, Polybe est issu d’une grande famille de sa cité. A cause de l’attitude des Achéens dans la guerre contre Persée (qui s’achève à Pydna, en 168), les Romains décident de prendre en otage certains notables en 167. Le Grec devient, après sa libération, un proche de ceux qui l’avaient pourtant pris en otage. Sa proximité avec certaines élites romaines l’amène à se rapprocher du jeune Scipion Emilien, dont il devient le mentor. A lire

Jacques Derrida L'article doit être débarrassé d'une partie de son jargon(mai 2017). Sa qualité peut être largement améliorée en utilisant un vocabulaire plus directement compréhensible. Discutez des points à améliorer en page de discussion. Jacques Derrida (de son vrai nom Jackie Élie Derrida) est un philosophe français né le 15 juillet 1930 à El Biar (Algérie Française) et mort le 9 octobre 2004 à Paris. Le point de départ de son œuvre est une critique de la linguistique et de la place dominante qu'elle occupe dans le champ des sciences humaines. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance algéroise[modifier | modifier le code] Jacques Derrida est le troisième fils d’Aimé Derrida, juif d'origine séfarade, et de Georgette Sultana Esther Safar[6], issue d'une famille juive d'Algérie dont les ancêtres, établis depuis plusieurs générations dans ce pays, avaient reçu la nationalité française lors de la promulgation du décret Crémieux en 1870[7]. Années de formation en France[modifier | modifier le code]

Nietzsche : L'éternel Retour “Et si un jour ou une nuit, un démon se glissait furtivement dans ta plus solitaire solitude et te disait : ” Cette vie, telle que tu la vis et l’a vécue, il te faudra la vivre encore une fois et encore d’innombrables fois; et elle ne comportera rien de nouveau, au contraire, chaque douleur et chaque plaisir et chaque pensée et soupir et tout ce qu’il y a dans ta vie d’indiciblement petit et grand doit pour toi revenir, et tout suivant la même succession et le même enchaînement – et également cette araignée et ce clair de lune entre les arbres, et également cet instant et moi-même. Un éternel sablier de l’existence est sans cesse renversé, et toi avec lui, poussière des poussières !” Friedrich Nietzsche, Le Gai Savoir L’éternel retour : Une idée morale ? Le concept de «l’éternel retour» est central dans la philosophie de Friedrich Nietzsche. Cet extrait du Gai Savoir n’est pas sans rappeler l‘impératif catégorique de Kant (n’agis que si la maxime de ton acte puisse devenir universel).

Europe dans la mythologie grecque Offre spéciale de notre partenaire Europe, dans la mythologie grecque, est une princesse phénicienne, fille du roi de Tyr Agénor et amante du roi des dieux : Zeus / Jupiter. Cette figure de la culture classique mise à l’honneur dans les Métamorphoses du poète Ovide, est peu connue du grand public et des médias qui la qualifient abusivement de « déesse », ce qui reflète plus leur culte de l’argent que la tradition mythologique. À l’aube de notre ère, le poète romain Ovide arrivant sur ses quarante ans délaisse la poésie érotique pour se lancer dans l’écriture de ses fameuses Métamorphoses, quinze chapitres en vers voguant dans les mythologies grecques et romaines. Europe, une princesse mythique Dans le poème d’Ovide, Europe est la fille d’Agénor, le roi de Tyr. Bramant, se pavanant, mettant en valeur sa blancheur immaculée et sa massive musculature animale, il attire l’attention des jeunes filles étonnées de voir un si bel animal si peu farouche. …devenue reine crétoise

Mythologie égyptienne - Dieux de l’Égypte antique La mythologie égyptienne a occupé une place centrale dans l'histoire de l'Egypte antique, exerçant une forte influence sur la société et la vie quotidienne au pays des pharaons. Très sophistiqué, le panthéon égyptien est l’une des mythologies comprenant le plus de dieux. Pendant plus 3000 ans, les égyptiens s’évertuèrent à les honorer, érigeant des temples et faisant des offrandes aux pieds des statues. Ces derniers font partie de leur quotidien et peuvent interférer sur les événements naturels. Atoum aussi connu sous le nom de Rê est le tout premier dieu, le dieu solaire qui créa le monde et les humains... Mythologie égyptienne et origine du monde A l’origine, il y avait le Noun, le chaos liquide : la crue du Nil mélangée avec de la boue. D’après le point de vue Héliopolitain, la vie est née à Héliopolis, la cité du soleil grâce à l’Ennéade : le groupe des neuf dieux. L’humanité face aux dieux egyptiens Vexée de s’être fait prendre au piège, Sekhmet s’exila au fin fond de la Nubie.

Arthur Schopenhauer Signature Arthur Schopenhauer (/aʁtyʁ ʃɔpɛn‿awœʁ[2] ; en allemand : /ˈʔaʁtʊʁ ˈʃɔpn̩ˌhaʊ̯ɐ/[3] Écouter) est un philosophe allemand, né le 22 février 1788 à Dantzig, aujourd'hui Gdańsk,[n 2] et mort le 21 septembre 1860 à Francfort-sur-le-Main[n 3]. La philosophie de Schopenhauer a eu une influence importante sur de nombreux écrivains, philosophes ou artistes du XIXe siècle et du XXe siècle, notamment à travers son œuvre principale publiée pour la première fois en 1819, Le Monde comme volonté et comme représentation. Biographie[modifier | modifier le code] Après ses études classiques, qui l’ont familiarisé avec l’Antiquité, il s’inscrit en 1809 à l’université de Goettingue (Göttingen). En 1813, il soutient donc sa grande thèse, dont le titre exact est De la quadruple racine du principe de raison suffisante à l'université d'Iéna. Il fait une dépression en 1823. En 1825, il arrive à vivre de ses rentes, retourne à Berlin et tente de relancer sa carrière universitaire.

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