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Ls Archives nationales d’outre-mer mettent à votre disposition la base Ulysse qui permet d’avoir accès aux images numérisées des documents appartenant à l’iconothèque et à la cartothèque du Centre. Commencée en 2002, cette base a pour objectif de rendre progressivement accessibles les photographies isolées ou en albums, les cartes postales, les affiches, les dessins et gravures, les cartes et plans. Cet ensemble, d’une richesse exceptionnelle pour l’histoire des premier et deuxième empires coloniaux français, provient d’archives publiques (secrétariats d’Etat et ministères qui ont géré les colonies du XVIIe siècle jusqu’au milieu du XXe siècle, gouvernements généraux, etc.) et d’archives privées, entrées par voie de don, acquisition, legs ou dation. Une notice descriptive simplifiée et une notice détaillée donnent les éléments d’information nécessaires à la compréhension des documents. Les titres ou légendes des documents proviennent de leurs auteurs ou de l’administration coloniale. Related:  L'ailleurs dans l'artRessources Histoire

Tristan Tzara, révolté perpétuel au coeur du XXe siècle L'exposition "Tristan Tzara, l'homme approximatif. Poète, écrivain d'art, collectionneur", qui tire son nom d'une oeuvre de l'écrivain d'origine roumaine, se tient du 24 septembre au 17 janvier au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg (MAMCS). Cette exposition en propose une lecture chronologique à travers un ensemble de 450 d’œuvres d’artistes amis de Tzara, d’une sélection de pièces d'art extra-occidental (Afrique, Océanie, méso-Amérique) et d’art brut et d’une importante sélection documentaire sur Tristan Tzara.Reportage : I. Tzara à Strasbourg, en toute logique Il s'agit de la "première exposition mondiale sur Tristan Tzara", se réjouit Alain Fontanel, adjoint au maire en charge de l'action culturelle, soulignant que l'artiste était lié à la capitale alsacienne par son amitié avec le sculpteur Hans Arp. Tzara et Dada Au début du parcours, un portrait de Francis Picabia donne à voir un Tristan Tzara au teint bleuté, son célèbre monocle vissé sur l'oeil. Double embargo

Page d'accueil de la Bibliothèque numérique mondiale Le désir des lointains ou les écritures musicales de l'ailleurs 104 Michelle Biget va nulle part, elle procède moins de la modalité à référence folklorique que d'une volonté de brouiller la piste tonale. Quant aux fantômes et aux masques de Turandot, ils préfèrent le polytonal au modal pour déclarer leur étrangeté. L'affirmation la plus radicale des particularismes ethniques se fit au sein de l'opéra russe. Au début du xrx* siècle, les nationalités d'Europe de l'Est commençaient à peine à se constituer un patrimoine musical indépendant. Moussorgsky fait se chevaucher deux types anciens de mélismes : la cantilène populaire et la psalmodie liturgique. Exemple musical n° 1 Demeuré seul à la fin du dernier acte, l'Innocent annonce dans un accès de lucidité fataliste les calamités à venir : « Coulez, larmes amères, pleure, mon âme chrétienne.

Laetus diaconus | Un espace d'échanges autour de l'écrit et du visuel au Moyen Âge Perennité du gothique Les œuvres qui procèdent de la représentation des formes connues de l’art gothique sont nombreuses dans la première moitié du xixe siècle : on connaît l’immense répertoire de dessins et de gravures qui se constitue depuis la période romantique, et qui alimente le style troubadour. Ensuite, le renouvellement de l’information par l’approche archéologique et historique a des effets puissants sur les projets d’une architecture néo-gothique : on connaît en France ce fameux dessin de la cathédrale idéale, par Viollet-le-Duc, moins celui de Cuypers (1827-1921) aux Pays-Bas. Les historiens d’aujourd’hui ont analysé cette formidable métamorphose qui conduit les architectes, depuis une inspiration pittoresque et romantique, à substituer dans les références le Moyen-Âge à l’Antiquité [2][2] Claude Mignot, L’Architecture au xixe siècle, Fribourg,.... Partout les architectes du néo-gothique se consacrent à la fois à des chantiers de restauration et à des projets de constructions nouvelles. Ill. 1

« L’histoire de France » fétiche de la nation. Par Suzanne Citron. La litanie des grands personnages Déjà dans les années 1979-80, Alain Decaux s’y exclamait : « On n’enseigne plus l’histoire à nos enfants ! » Aujourd’hui, les enquêteurs qui se penchent sur cet « assassinat » dénoncent, avec le procureur Dimitri Casali, la disparition dans les classes de 6e et de 5e de Clovis, Charles Martel, Hugues Capet, Louis IX dit Saint Louis, François Ier, Louis XIII, la relégation de Louis XIV en fin de programme, la réduction du premier empire en question optionnelle. Aucune distanciation historiographique ne sous-tend cette didactique à l’emporte-pièce. Manquent curieusement à l’appel les Gaulois et Vercingétorix désormais sans doute trop disqualifiés comme « ancêtres ». Un interlude de 800 ans Max Gallo évoque le baptême de Clovis mais se garde bien de rappeler le légendaire inventé au IXe siècle par l’évêque de Reims, Hincmar, pour légitimer les usurpateurs carolingiens – la colombe apportant la Sainte ampoule (3) . Chronologie, repères, programmes

« C’est de l’art ! » : Le peuple, le primitif, l’enfant À la mémoire de Daniel Arasse Depuis, mon amour de la littérature des Nègres dans toutes ses manifestations ne s’est jamais apaisé, pas plus que ne s’apaisa jamais jusqu’à ce jour cette titillation intime que je ressens à la vue d’une statuette ou d’un masque nègres, rappel lancinant de l’idole (... cubique et millénaire dans la solitude...) qui me terrorisait dans mon enfance et me possédait la nuit. 1 Citation extraite et « remontée » par Jean Jamin dans La Création du monde, montage audiovisuel iné (...) Blaise Cendrars 1949 (IIIe partie, chap. 9)1 2 Maria Luisa Ciminelli (2008 : 13-135) donne une synthèse de cette conception dans laquelle Gauguin, (...) 1Une fois éteint l’ultime éclat de la « curiosité », mère des « cabinets » du même nom et des éclectiques « chambres des merveilles », jusqu’à la découverte effarée de l’art nègre, entre le milieu du xviiie siècle et 1905, l’histoire du primitivisme ne retrouve plus ses traces. 4Chaque détail de cette évocation compte, j’y reviendrai.

Pourquoi il faut enseigner l’histoire ancienne de l’Afrique subsaharienne. Rédacteur : Catherine Coquery-Vidrovitch On ne peut comprendre la situation actuelle du continent africain sans l’analyser à la lumière des héritages complexes du continent. Celui-ci n’est « né » ni avec les indépendances il y a une cinquantaine d’années, ni avec la colonisation près d’un siècle auparavant, ni avec la « découverte » par les Portugais à la fin du XVè siècle : les Européens n’ont découvert et construit que « leur » Afrique, alors qu’ils étaient, sans le savoir, les derniers arrivés dans une histoire longue de mondialisation. Car les Africains n’ont jamais vécu dans l’isolement, ne serait-ce que parce que l’humanité y est née. Une construction négative du continent a été conçue au moment où se développait du côté européen la traite atlantique des esclaves noirs. Ce mépris envers les noirs, qui a une longue histoire[1], va être repris par la colonisation. Ce que le monde doit à l’Afrique L’Afrique a donc fourni au reste du monde un instrument monétaire majeur : l’or. [1] Cf.

Images numérisées sur les empires coloniaux français. Photographies, affiches, cartes et plans conservés aux Archives nationales d'outre-mer. 5.000 images by mebae Feb 9

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