background preloader

La face cachée du web

La face cachée du web
Related:  culture numérique - document numérique

Barthes Vision Quel est le projet ? “Barthes/Vision”, c'est une grande collecte d'images à l'échelle internationale. L'idée est simple : photographier le monde qui nous entoure à partir des mots de Barthes. Pour ce faire, l'Institut français vous propose 15 citations, 15 manières d'interroger les images, les émotions qu'elles suscitent, leur statut dans la société de consommation. Le but est de faire résonner “l'empire des signes” d'aujourd'hui avec les analyses pionnières de Barthes. Qui peut y participer ? Comment participer ? Sélectionnez la citation de votre choix parmi ces 15 citations Associez à cette phrase une photographie que vous prendrez au gré de votre inspiration. Associez des mots-clefs à votre image et partagez votre expérience sur Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Et après ? Participer à l'expérience

Biblioemplois | les offres d'emploi contractuel en bibliothèque Splendeur et misère des “mèmes” Le terme « mème » fait aujourd’hui partie du folklore internet, et peu s’interrogent sur la véritable signification de cette notion. A ses débuts, pourtant, la théorie mémétique se voulait une nouvelle approche des phénomènes mentaux, et ne présentait guère de rapport avec les images ou les « jokes » qui font le buzz aujourd’hui sur le net. Dans son article « The meme as meme » publié dans la revue Nautilus, Abby Rabinowitz s’interroge sur l’évolution du terme depuis ses débuts très académiques jusqu’à son accès à la culture populaire. Pour ces derniers, pas de doute, la signification du mot a complètement changé. Du gène au mème Rappelons la thèse de base de la mémétique, comme l’a formulé Dawkins. Dans cette première version de la mémétique, pas question donc des effets de buzz sur le réseau. Toujours selon Rabinowitz, cette entreprise utilise une formule nommée « Big Seed Marketing » basée sur une équation mesurant le développement d’un virus ou l’expansion d’une épidémie. Rémi Sussan

Doc à bord | Professeure documentaliste Comment Google modifie les frontières selon le pays de connexion Vous pensiez obtenir des données objectives lors de vos recherches sur Google ? Détrompez-vous ! Dans de nombreux cas, Google s’adapte au contexte politique, et donne au lecteur ce qui est conforme à la vision de son pays. Sur cet exemple repéré par l’excellent compte Twitter @Amazing_Maps, le résultat d’une recherche de cartes n’est pas le même selon que l’on se connecte à Google d’Allemagne, d’Inde ou de Chine. How Google keeps everyone happy / Comment Google fait plaisir à tout le monde (Amazing_Maps) Les conflits frontaliers sont ainsi gommés pour se mettre en conformité avec l’opinion du pays. 1) La zone contestée en pointillés dans la connexion allemande (capture) Prenons la frontière sino-indienne, un vieux conflit jamais résolu, objet d’une guerre entre les deux pays en 1965. Elle apparaît dans la carte Google visible à partir d’une connexion allemande avec la zone contestée en pointillés. 2) La carte indienne vue d’une connexion en Inde (capture)

Paul Otlet Paul OTLET L'homme qui voulait classer le monde Paul Otlet a beaucoup écrit (en particulier à chaque moment décisif de sa vie, la mort de son père, de son fils, victime de la guerre…), beaucoup créé et beaucoup agi, poussé toujours par le même élan d’humanisme et de partage.Sa vie entière est menée par une espérance : permettre aux hommes de mieux se connaître, de ne plus avoir peur les uns des autres et donc de vivre en paix. Le document joue un rôle déterminant pour ce Pacifiste. Par ailleurs, en mettant en avant l’idée de réseau et de coopération internationale entre bibliothécaires et bibliothèques, il œuvre, avec ses amis, en précurseur et en visionnaire.Aux professionnels de l’information, il laisse en héritage le Traité de documentation : le livre sur le livre : théorie et pratique [1] qui synthétise la somme des savoirs fondamentaux nécessaires pour comprendre l’essence de la documentation. Une biographie, 1882 : Il a 14 ans et publie l’Ile du Levant. 1888 : L’Afrique aux Noirs.

Christian Fauré — Hypomnemata : supports de mémoire « Les métamorphoses du livre et de la lecture à l’heure du numérique » | Celsa-Misc Le Blog Mercredi 24 novembre, à la Bibliothèque Nationale de France, a eu lieu la troisième journée du séminaire national «Les métamorphoses du livre et de la lecture à l’heure du numérique ». La dernière table-ronde s’intitulait « la « lettrure » : renaissance de l’écriture-lecture dans l’espace du numérique». Y participaient Milad Doueihi, fellow de l’Université de Glasgow, Valérie Jeanne-Perrier, Maître de conférences au CELSA, Julia Bonaccorsi, Maître de conférences à l’Université Paris-Est et enfin Emmanuël Souchier, Professeur en sciences de l’information et de la communication au CELSA, chargé d’un cours sur «Les transformations et pouvoirs de l’écriture» en section MISC (et modérateur de la table-ronde). Je reprends ici quelques grands points de son intervention. La lettrure renaissante E. Souchier est revenu sur la notion de « lettrure » qui, au Moyen-âge, désignait de manière interdéterminée les activités de lecture et d’écriture perçues comme une seule et même activité. Like this:

mrg | lettrure(s) | lire / écrire / numérique(s) | Page 2 Du lisible au visible / Ivan ILLICH.- Paris : Cerf, 1991. (Report du billet publié le 13 février 2005 sur « Cercamon ») INTRODUCTION Le livre n’est plus aujourd’hui la métaphore clef de l’époque : l’écran a pris sa place. Le texte alphabétique n’est plus que l’une des nombreuses manière d’encoder quelque chose que l’on appelle désormais le « message ». On disait qu’à … On disait qu’à une époque de hâte convenait un art rapide, absolument comme on aurait dit que la guerre future ne pouvait pas durer plus de quinze jours, ou qu’avec les chemins de fer seraient délaissés les petits coins chers aux diligences et que l’auto pourtant devait remettre en honneur. Proust, Sodome et Gomorrhe II La révolution numérique – Idées – France Culture La révolution numérique – Idées – France Culture. Où l’on cite Nicolas Carr. Different reading devices, different modes of reading? Different reading devices, different modes of reading?

Etude Gouvernance Social Media No notes for slide Illustrer en Mettant en rapport avec les publics (pictos ?) > Charte de bonne conduite > ensemble des collaborateurs Guidelines définissant la présence… > direction de la communication / chargés de com Guidelines régissant la façon dont vous devez… > chargés de com / community managers Charte(s) éditoriale(s) > chargés de com / community managers

Why Most Twitter Maps Can't Be Trusted When geographers Taylor Shelton, Ate Poorthuis* and Matthew Zook decided to study the tricky phenomenon of race-based spatial segregation in Louisville, Kentucky, they had a few options. They could have, as Poorthuis put it in an interview, “set up an entire study [and] given [Louisville residents] GPS trackers and diaries." But "that would require 18 months of planning and lot of money," he says. "Too much money.” So the geographers went the cheaper, faster route: Twitter data. Here’s what happened when the geographers initially mapped Louisville’s tweets. What sorts of conclusions can one draw from this map? This sort of Twitter mapping technique is popular, and probably reached its zenith last summer, when a geotagged map of users tweeting the hashtag "Ferguson" itself went viral. For one, keep in mind that relatively few of us are actually on Twitter to begin with—just 23 percent of Americans, according to the Pew Research Center. “It’s 2015 now,” Poorthuis says.

Contribution aux avancées de la connaissance en Information - Communication Émergeant voici moins d’un demi-siècle, l’Information – Communication est désormais une modalité de gestion des sociétés à l’œuvre dans toutes les régions du Monde. Au même titre que la santé, l’éducation ou l’environnement, elle est devenue peu à peu un objet de connaissance, pas toujours reconnu, car on lui préfère souvent des approches triviales ou seulement technologiques, et sa légitimité reste discutée ou occultée par les disciplines en place, en dépit de la multiplication des travaux de recherche attachés à en suivre les mutations. L’Information – Communication, en fait, se révèle être un objet beaucoup plus complexe et pluriel qu’il n’apparaît à première vue; moins que jamais, on ne saurait lui faire correspondre une théorie générale qui permettrait d’en comprendre aisément les évolutions. Prolongeant un ouvrage publié dix ans auparavant, cette contribution met successivement l’accent sur : - la discussion critique de travaux d’auteurs connus ; Editeur : Ina Editions

Text Encoding Initiative La TEI a commencé en 1987 pour aider les bibliothèques, les éditeurs, les musées et les universités à coder les textes de manière à faciliter les recherches dans les textes et les échanges de textes. Le TEI Consortium est un consortium qui regroupe des acteurs de la recherche dans le but de normaliser le codage de toutes sortes de documents sous forme numérique en TEI. Ce projet a initialement démarré dans une approche SGML et a migré ensuite assez naturellement vers XML. Il ne s'agit pas d'une spécification (DTD ou Schéma) en soi mais plutôt d'un cadre (framework) pour en développer des particulières. Il a été défini comme "un système pour faciliter la création, l'échange, l'intégration de données textuelles informatisées"[1]. Consortium[modifier | modifier le wikicode] Le consortium TEI a été créé en 1987 par trois sociétés savantes : À l'heure actuelle, le « TEI Consortium » est une institution sans but lucratif financée par ses 64 membres [2], parmi lesquels on peut compter : "[...]

Oh, un nouveau bocal ! Vous connaissez l'expression, j'imagine... "une mémoire de poisson rouge", c'est une mémoire très courte. Comme, supposément, le poisson rouge qui tourne dans son bocal et qui à chaque tour se dit « oh, un nouveau bocal ! Oh, un nouveau bocal ! Parce que le poisson rouge n'aurait une faculté de concentration que de 9 petites secondes... c'est pas beaucoup 9 secondes. "Oh, un nouveau bocal" Miyuki Kobayashi © Creative Commons Eh bien figurez-vous qu'un être humain, avec un téléphone portable dans la main, a aujourd'hui, une capacité de concentration de 8 secondes seulement, donc inférieure à celle d'un poisson rouge, selon une étude réalisée par le groupe Microsoft au Canada. Alors évidemment, avec une étude signée par Microsoft, on se méfie un peu de la méthodologie, mais tout de même, les résultats confirment une tendance assez nette et assez intéressante. Bon, dit comme ça, j'admets que ce n'est pas très rassurant non plus. Mais accrochez-vous bien, j'ai pire dans ma besace.

Related: