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ShaREvolution

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Topologie mesh Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Image montrant la topologie d'un réseau mesh Le réseau maillé[1] (ou maillage en réseau[2]) est une topologie de réseau qualifiant les réseaux (filaires ou non) dont tous les hôtes sont connectés pair à pair sans hiérarchie centrale, formant ainsi une structure en forme de filet. Cette architecture est issue de la recherche militaire et a été utilisée par les armées notamment américaine et française. Norme OLSR[modifier | modifier le code] Les spécifications du standard international « Mesh » OLSR (Optimized link state routing protocol - RFC 3626) de l’Internet Engineering Task Force (IETF) ont été produites par Inria dans le cadre ouvert du groupe de travail MANET (Mobile Ad hoc NETwork) de l’IETF. Linux[modifier | modifier le code] Le noyau Linux intègre depuis la version 2.6.26 (sortie le ) le support réseau en topologie mesh. Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :

Ringwoodite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un échantillon de ringwoodite bleu, sa plus grande dimension est d'environ 150 micromètres. Le minéral a été identifié la première fois dans la météorite de Tenham en 1969[5]. Il a été nommé en l'honneur du spécialiste des sciences de la Terre Ted Ringwood (en) (1930-1993), qui a étudié les transitions de phase polymorphiques de l'olivine et du pyroxène, communs dans le manteau terrestre, à des pressions et températures élevées. En 2014, un diamant[4]provenant de grandes profondeurs est trouvé à Juína, Mato Grosso, au Brésil. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ringwoodite » (voir la liste des auteurs).

Principe de Peter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle. Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J.

Le marché : ordre naturel ou construction sociale ? Cet article constitue une première approche, il trace des pistes destinées à montrer que l’analyse économique dominante n’épuise pas plus aujourd’hui qu’hier, la question du marché. Le marché serait un ordre naturel Le marché est tellement associé aux économies modernes qu’il semble correspondre à un "état naturel de l’économie", c’est-à-dire un mode d’organisation spontané de l’activité économique. Cependant, nombre d’exemples nous montrent que les relations marchandes n’ont pas toujours existé et contredisent l’idée du caractère naturel, donc universel des relations marchandes. Adam Smith considère que les hommes ont un penchant naturel à échanger , ils seraient conduits par une main invisible qui, en les incitant à s’enrichir librement et à œuvrer pour leur intérêt propre, contribuerait naturellement au bien-être de la nation. On voit que cette vision repose sur une conception particulière de l’individu qui serait un " homo œconomicus ". Le regard anthropologique Le regard historique

Mesh: Spring Event 2013 Smart grid Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le smart grid est une des dénominations d'un réseau de distribution d'électricité « intelligent » qui utilise des technologies informatiques de manière à optimiser la production, la distribution, la consommation et qui a pour objectif d’optimiser l’ensemble des mailles du réseau d'électricité qui va de tous les producteurs à tous les consommateurs[1] afin d’améliorer l'efficacité énergétique de l'ensemble. L'apport des technologies informatiques devrait permettre d'économiser l'énergie en lissant les pointes de consommation et en diminuant les capacités de production en pointe qui sont les plus coûteuses, de sécuriser le réseau et d'en réduire le coût. C'est aussi une réponse partielle à la nécessité de diminuer les émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre le réchauffement climatique. Schéma théorique d'un réseau d'interconnexion entre l'Europe, l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient Terminologie[modifier | modifier le code]

Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives (NBIC) désignent un champ scientifique multidisciplinaire qui se situe au carrefour des nanotechnologies (N), des biotechnologies (B), de l'intelligence artificielle (I) et des sciences cognitives (C)[1]. Certains utilisent la notion de « grande convergence » pour souligner l’interconnexion croissante entre « l'infiniment petit (N), la fabrication du vivant (B), les machines pensantes (I) et l'étude du cerveau humain (C) »[2]. Prospective[modifier | modifier le code] Dans le domaine médical et de l'informatique, un des défis que les NBIC cherchent à relever est d'acquérir l'autonomie par la commande directe du cerveau, assisté par des électrodes externes ou internes qui éviteraient la nécessité de passer par un clavier ou un système de reconnaissance des gestes, mouvements d'yeux, etc pour communiquer avec des systèmes informatisés.

Communs numériques : intérêts individuels au service du collectif Dans un monde où l’économie repose de plus en plus sur les services, les biens communs numériques sont un élément clé pour le développement de l’économie collaborative. À Télécom Bretagne, Nicolas Jullien, chercheur en économie, étudie les communautés épistémiques en ligne, des communautés de création qui fournissent une plateforme permettant de produire et de stocker des connaissances. Il a montré que les comportements égoïstes pouvaient expliquer la réussite des projets collectifs comme Wikipédia. Des communs matériels aux communs numériques Villes en biens communs, domaines communs, assemblées des communs… les communs passent de la théorie à la pratique, opposant à la surexploitation d’une ressource commune au profit de quelques-uns, des solutions optimistes tant dans les champs sociologiques, économiques qu’écologiques. L’égoïsme comme moteur des actions collectives Les communs numériques nécessitent-ils de nouvelles théories pour les comprendre ? Économie et biens communs numériques

OuiShare : la communauté de l’économie collaborative | OuiShare a quatre mois. Nous réunissons pour la première fois la communauté européenne pour une journée de conférences et de workshops autour des acteurs européens de l’économie collaborative. L’occasion de faire un rapide bilan d’une aventure qui a commencé ici et qui se poursuit avec OuiShare. Un an et demi de blog : rapide bilan Il y a un an et demi, je lançais ce blog avec pour objectif d’informer, en langue française, sur la consommation collaborative, avec notamment deux intuitions : la montée en puissance à venir du mouvementla présence en France d’un terreau fertile à son développement (maturité dans les usages d’internet et des réseaux sociaux, appétence au partage, culture de la débrouille) Ce blog était aussi le témoignage d’un utilisateur passionné, pour lequel le collaboratif est devenu un style de vie. Je me rends compte que je suis de moins en moins un cas particulier et que cette tendance va se généraliser. OuiShare : la communauté de l’économie collaborative #OuiShareLove

Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles 1er février 2005 par par Pek van Andel m.v.van.andel@med.rug.nl Texte traduit et adapté du hollandais par Danièle Bourcier, directeur de recherche au CNRS bourcier@msh-paris.fr Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles Ex chercheur et expérimentateur à l'université de Groningue, Pek van Andel possède la plus grande collection mondiale de sérendipités et est considéré aux Pays-Bas comme "sérendipitologue". L'auteur a proposé aux journaux Le Monde et Le Figaro le texte qui suit - texte d'une communication faite le 1er février 2005 à l'université de Cannes - qui en ont refusé la publication (mais était-ce finalement le bon endroit où le publier ?). Automates Intelligents Le mot serendipity ('sérendipité' en transcription) a été forgé il y a 251 ans. Introduction Les trois fils du roi de Serendip (mot du perse ancien pour Sri-Lanka) refusèrent après une solide éducation de succéder à leur père. L'histoire Le mot sérendipity a été crée le 28 janvier 1754. [...] Epilogue 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Digital Living Network Alliance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de certification DLNA. DLNA définit un standard d'interopérabilité permettant la lecture, le partage et le contrôle d'appareils multimédia indépendamment de leur marque ou de leur nature. Samsung a surnommé ce système All Share. Le premier brevet faisant référence à un téléviseur relié à un réseau date de 1994[3]. Standards et dispositifs techniques[modifier | modifier le code] Bien que les cas d'utilisation les plus répandus de DLNA (2011) ressemblent à du client/serveur, la norme fait de tous des « acteurs », certains pouvant être sur le même équipement du réseau : server, player, renderer et controller. L'exemple d'utilisation le plus simple fait intervenir 2 appareils : Le serveur, installé sur un ordinateur ou sur un NAS,Le lecteur, installé sur un périphérique compatible, type télévision compatible DLNA ou lecteur Bluray Autre exemple d'utilisation, faisant intervenir trois équipements : Protocoles utilisés[modifier | modifier le code]

Vers des objets conçus pour le partage Depuis février 2014, la Fing, Ouishare et leurs membres ont mené ensemble un projet de R&D collaborative autour de la consommation collaborative, baptisé Sharevolution, dans le but de produire de nouvelles pistes de connaissances, de réflexions et d’innovation. Nous vous livrons sur InternetActu.net la synthèse des 4 grands axes de réflexion/action, dont voici la première consacrée à la conception d’objets pour le partage. Dans le contexte actuel de crise et en particulier de la remise en cause de la consommation de masse, notre rapport aux biens évolue. Continuerons-nous de posséder tous nos biens ou entrons-nous dans l’ère du partage, qui nous permet d’utiliser sans forcément posséder ? Est-ce que demain, les objets seront utilisés différemment, voire même davantage utilisés, parce que partagés ? Autant d’enjeux qui viennent renforcer l’urgence de la question de la conception de la partageabilité des objets. De quels objets parle-t-on ? Les limites du partage de biens Véronique Routin

Économie circulaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie circulaire est une expression générique désignant un concept économique qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et s'inspirant notamment des notions d'économie verte, d’économie de l'usage ou de l'économie de la fonctionnalité, de l'économie de la performance et de l'écologie industrielle (laquelle veut que le déchet d'une industrie soit recyclé en matière première d'une autre industrie ou de la même). Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommation et le gaspillage des matières premières, et des sources d'énergies non renouvelables ; Histoire[modifier | modifier le code] Elle s'inspire notamment de Michael Braungart et de William McDonough ou plus exactement de leur formulation de la théorie du Du berceau au berceau (formalisée en 2002). Éléments de définition et d'enjeux[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] Outils[modifier | modifier le code]

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