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Ouvrir le débat pour coproduire la ville Le rapport de recherche publié par l’ICADD : “Projet négocié dans un contexte de développement durable : méthodes et outils collaboratifs” met en avant les conditions de coproduction de la ville entre puissance publique, usagers et partenaires privés. A partir d’échecs et de succès expliqués avec précision, l’équipe ICADD organise un travail de cross dressing consistant à chercher sur d’autres secteurs d’activité la façon dont on implique les usagers notamment dans la conception d’innovations. Sombre analyse d’une culture politique qui souvent n’a d’autre intérêt à investir la participation qu’un enjeu de communication. Cet éclairage, pourtant, est un apport méthodologique et bibliographique important pour notre étude des conditions de coproduction de l’innovation. Cette étude décrit pourquoi la ville contemporaine est nécessairement, et de fait, un objet de coproduction. Pourquoi la ville contemporaine est un objet de coproduction ? Un défaut de point de vue L’usager fantôme Bruno Caillet

Comment aider les jeunes des quartiers à devenir des acteurs à part entière ? - Localtis.info - Caisse des Dépôts Pour donner aux jeunes toute leur place dans les stratégies locales, les contrats de ville et les conseils citoyens, des professionnels de Seine-saint-Denis se sont penchés, le 21 septembre à l'invitation de Profession Banlieue, sur ce qui caractérisait cette jeunesse des quartiers et sur les manières les plus efficaces de l'aider à s'en sortir. Alors qu'une centaine de contrats de ville doivent encore être signés (voir ci-contre notre article du 14 septembre 2015), l'association Profession Banlieue a organisé le 21 septembre une journée d'échange sur la place des jeunes dans les quartiers prioritaires. C'était ainsi l'occasion de rappeler que la jeunesse constitue l'une des trois "priorités transversales" des contrats de ville, dotée d'un cadre de référence (téléchargeable ci-contre). Des dispositifs nombreux, mais mal coordonnés et mal répartis Des jeunes qui aspirent à aider, créer, entreprendre Demander leur avis ou leur confier des responsabilités Caroline Megglé C.

Les "Grands voisins", village solidaire et fertile en plein Paris - Oui ! Le magazine de la Ruche Qui Dit Oui ! Par Thibaut Schepman , A Paris, l’ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul dans le 14e arrondissement est devenu en quelques semaines un véritable quartier et un modèle en matière d’insertion sociale et d’agriculture urbaine. Visite. Des poules, des étudiants qui plantent des fraisiers, un cardon immense, des bénévoles qui coupent du bois et montent un camping. Voilà ce qu’on peut croiser pêle-mêle dans cet ancien hôpital abandonné depuis 2011. Tout a commencé en 2014, quand l’association Aurore, spécialiste de l’hébergement d’urgence est devenue gestionnaire de l’immense site (3 hectares, rien que ça). Nouvelles manières d'habiter et de travailler ensemble. Elena Manente, de l’association Yes We Camp, nous raconte : « Au début, une grande partie du site était abandonnée. Le quartier s’appelle Les Grands Voisins. 115 entreprises, associations et artistes sont installés. Quand on voit que dans le XVIe... Des collaborations se créent naturellement. Moutons et aquaponie

La première vie aurait pu survivre en coopérant, leçon de vie de la vie ? Et ça a commencé par la coopération. Quand la vie a pris naissance, les équipes de petites molécules se sont réunies pour effectuer des tâches qu’elles ne pouvaient gérer seules, ainsi va la théorie. Pour la première fois, des réseaux de ce genre ont été construits en laboratoire. [NB : nous connaissons aussi les Siphonophores comme êtres primitifs coloniaux formant des chaînes dont chaque partie à une tâche bien définie mais bien qu’ils soient unicellulaires, ce ne sont pas de simples chaînes de molécules – Vidéo (fr)] La première vie peut avoir été une soupe primordiale de molécules d’ARN, mais les premières auto-réplications brutes des molécules dans ce « monde de l’ARN » auraient été confrontées à un gros problème. En théorie, les premiers réplicateurs auraient pu éviter cet ‘enchaînement catastrophique d’erreurs’ en fractionnant les informations entre plusieurs molécules de coopération. Réparer pour l’équipe Solidarité

Observatoire des débats publics Question de Conseil Consultatif Jeunes. A toutes fins utiles… (Philippe LABBE, 29 août 2015) - Mission. Insertion (Philippe Labbe Weblog. II) Une fois n’est pas coutume mais, enfin, puisque cela correspond à une préoccupation que j’ai maintes fois exprimée, sur mon ancien blog (toujours accessible même s’il est inactif : - 600 articles disponibles…) et dans la presse (ASH, Lien social…) et ayant récemment été sollicité sur ce thème par une Mission locale, je m’autorise une information sur un « produit » de formation susceptible de retenir l’attention : il s’agit de l’expression des jeunes au sein d’une Mission locale en tant qu’acteur collectif, et non en tant que sujet singulier… ou, formulé différemment, comment « Concevoir, organiser et animer une instance de type Conseil Consultatif Jeunes ». Voici donc une offre de formation - présentée comme telle - que, pour motif de retraite (qui a dit « Bon débarras au fond de la salle ! » ?) I. II. - La conception implique de comprendre les enjeux et de répondre aux (habituelles) objections : représentativité, labilité et turn-over… III. IV. V. VI. VII.

Qui vient à Nuit debout ? Des sociologues répondent Stéphane Baciocchi (EHESS), Alexandra Bidet (CNRS), Pierre Blavier (EHESS), Manuel Boutet (université de Nice), Lucie Champenois (ENS Cachan), Carole Gayet-Viaud (CNRS), Erwan Le Méner (EHESS) sont chercheurs en sciences sociales. Sur Nuit debout, on a tout entendu : “la moyenne d’âge est de 25 ans”, c’est “un entre-soi de bobos parisiens”, on n’y trouve “aucun vrai prolétaire”, mais “une bourgeoisie blanche urbaine”, “des SDF et des punks à chien qui boivent de la bière”, “un rassemblement d’étudiants déclassés, de militants de l’ultra-gauche et de semi-professionnels de l’agitprop”… Ces énoncés, souvent tranchants, mobilisent des catégories toutes faites, disent quoi penser, clament ce que le mouvement est, doit ou ne doit pas devenir, négligent les ordres de grandeur, hiérarchisent les endroits ou les moments de la place, le « vrai » et le « faux » Nuit debout. On plaide ici pour une autre approche : commencer par établir les faits, en enquêtant collectivement. Des jeunes ?

Présentation - Ecole de la Nature et des Savoirs Créée sous le parrainage de Jean-Marie PELT et d’Edgar MORIN, l’Ecole de la Nature & des Savoirs permet l’identification et le partage des connaissances essentielles pour que demain existe Située à 1300 mètres d’altitude, au coeur des hautes vallées du Diois (Drôme), l’École de la Nature & des Savoirs est un lieu « systémique » de formation et de recherche qui permet d’expérimenter, mettre en oeuvre et former aux principes du développement durable. Autonome (éco-habitat, gestion des déchets, énergies) le site permet l’accueil (25 places) et la mise en oeuvre de stages, formations, séminaires de « ruptures », à destination des cadres, dirigeants d’entreprises, étudiants de grandes écoles et grand public. Cinq champs structurants organisent ses activités : Santé et approches préventivesRelations sociales et interpersonnellesEducation et transmissionTerre, agriculture et représentationsGouvernance

Participation Compass What is Participation? Participation, engagement and involvement are all terms that are popular today. While there are differences in the meaning of these terms, there is also a lot of overlap. All these terms are associated with the importance of involving wider groups of people in decisions, services and design. The participation field is diverse in practice and theory. This page provides a brief introduction to the field and the key ideas and themes. Participation is often modelled as a ladder or spectrum ranging from the lowest level, to inform, to the highest level, to empower. Participation - The Policy Context Whether through the calls for direct democracy, "The Big Society", participatory budgeting , or choice and voice in service provision, citizens have never before been afforded so many opportunities for direct influence over public services. It has turned many motivated public sector workers into disillusioned, weary puppets of government targets. Who is this site for? Feedback

Les registres de l’implication civique Participation Ce terme a été essentiellement employé en France pour désigner une série de dispositifs et de choix politiques. Le Général de Gaulle l’a introduit dans le vocabulaire de l’action publique, à travers les dispositifs intéressant les salariés aux résultats de leurs entreprises. L’intérêt fut, dès le départ, pour le politique, de dessiner une alternative au conflit de classe. Néanmoins, la participation s’est développée dans la société civile sous des dehors plus conflictuels. Dès son accès au pouvoir, le gouvernement socialiste a été confronté à une crise urbaine majeure (émeutes des Minguettes). Empowerment Très en vogue en France depuis quelques années, la notion d’empowerment, bien décriteexposée par Marie-Hélène Bacqué et Carole Biewener dans L’empowerment, une pratique émancipatrice, est née aux États-Unis, au sein d’une philosophie politique spécifique. Activation Contribution La notion de contribution peut représenter une piste novatrice pour la puissance publique.

« Il faut dépasser la société verticale pour une société d’acteurs-réseaux » Membre d’EELV depuis 2009, issu du privé et de l’industrie, Éric Piolle est le maire de Grenoble. Avec son équipe, il cherche à maintenir un équilibre entre forces citoyennes et partis politiques. Reporterre — Comment analysez-vous la situation politique actuelle ? Éric Piolle — En France, trois espaces politiques émergent. D’un côté, il y a une envie de changement, d’engagement et d’action concrète. C’est plutôt le camp du changement qui a l’air « paumé », en ce moment… On n’a pas forcément les bonnes clés. Éric Piolle, à l’hôtel de ville de Grenoble. Comment interprétez-vous le phénomène Nuit debout ? Partout en France, en ville ou à la campagne, les mobilisations citoyennes prennent de l’ampleur. Vous parlez du courant de la transition ou du changement : faut-il abandonner le terme de « gauche » ? Non, parce que c’est un axe structurant. En refusez-vous le terme ? Ce n’est pas notre prisme. Sous quelle forme s’engager dans cette transition ? Je ne crois pas. Photos : Mairie de Grenoble.

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