Informatique (sans ordinateur), partie 1
Pendant les vacances, avec mon fils, on s’est amusé à faire les premières activités proposés dans le manuel Informatique Sans Ordinateur, disponible sur (où plusieurs activités complémentaires peuvent être téléchargées, mais en anglais seulement). Pour des raisons personnelles, mon fils est de plus en plus amené à utiliser l’ordinateur à l’école. Et je dois avouer que ça me gêne de la voir manipuler un outils qu’il ne maîtrise pas vraiment (je renvoie d’ailleurs à un billet de Dr Goulu qui disait la même chose au début de l’année). Que les choses soient claires : je ne prétend pas non plus maîtriser l’informatique ! Au départ, je pensais proposer les activités à mon fils et à ma fille (qui a 8 ans) mais cette dernière était plongée dans des dessins quand on a débuté, et je n’ai pas réussi à la faire décrocher. Le document propose une douzaine d’activités (davantage si on traîne sur section 1 : le système binaire Amusant, non ?
Enseigner et apprendre les sciences informatiques à l’école
Les TIC, Technologies de l'Information et de la Communication, ont pris une telle importance dans la société d'aujourd'hui, que le simple fait de priver un de nos concitoyens d'un accès à Internet reviendrait à en faire un citoyen de deuxième classe : on en a besoin pour communiquer, travailler, échanger avec les administrations publiques et les entreprises privées, vendre, acheter, se divertir, s'informer et informer les autres. Mais ces technologies en évolution rapide changent aussi profondément notre rapport au monde du travail, aux loisirs et à la sphère politique, au point qu'il devient aujourd'hui indispensable de fournir à tous nos concitoyens les notions fondamentales nécessaires pour se constituer un modèle mental correct de ce qu'est l'informatique. En tant qu'enseignants et/ou chercheurs en informatique, nombre d'entre nous ressentent la nécessité d’y contribuer sans plus attendre : des collègues néozélandais, Tim Bell, Ian H. Mise à jour de septembre 2015
Avril 2016 P. Raffinat Réforme du collège : informatique débranchée ou codage
A) Introduction Dans « Les atouts du duo Blockly / tableur Xcas » [1], j’ai proposé une solution simple à mettre en œuvre dès la rentrée prochaine, ce qui devrait rassurer de nombreux enseignants de mathématiques déboussolés et inquiets. En évoquant l’informatique débranchée, terme dont la plupart n’a probablement jamais entendu parler, je ne cherche donc nullement à raviver leur inquiétude ou à leur donner du travail supplémentaire. Pour y parvenir, je vais relayer quelques unes des nombreuses informations disponibles sur le site , en essayant de le faire le plus fidèlement possible puisque je ne suis pas spécialiste de la formation au numérique d’élèves du primaire ou du collège. Ah bon, vous ne saviez pas qu’il existait des spécialistes en France sur le sujet ? B) C’est quoi, l’informatique débranchée ??? Bien qu’enseignant l’informatique en IUT depuis des années, je n’ai entendu parler d’informatique débranchée qu’il y a environ deux ans. Il y a : Jeu de cartes
CreativeComputing20140806_FR.pdf
3 sites pour apprendre à coder en jouant
Comment apprendre à programmer ? On en parle beaucoup, on en a beaucoup parlé et on n’a pas fini d’en parler. Faire entrer l’école dans l’ère du numérique passera sans doute aussi par l’apprentissage dès l’école primaire de la programmation informatique. Il y a beaucoup de méthodes et d’outils pour s’initier au code et à la programmation informatique. Code.org Une initiative sérieuse aux ressources importantes qui a un parrain de marque. CodinGame CodinGame est un site très complet avec accessible aux débutants mais aussi à des utilisateurs un peu plus avancés. 50 jeux sont proposés en ligne avec des tutoriels permettant de comprendre comment ils fonctionnent. Blockly Games Plus modeste, Blockly Games propose une petite dizaine de jeux éducatifs en ligne pour apprendre à programmer.
Déc. 2015 Le codage à l’école, quelle place lui donner? (Le Devoir, Québec)
Si le Québec décidait d’intégrer le codage dans l’enseignement, comment cela pourrait-il fonctionner ? Quelle place devrait-on lui donner ? Et à partir de quel âge les enfants devraient-ils commencer ? Des pistes se dessinent. En Estonie et en Grande-Bretagne, la programmation fait carrément partie du cursus scolaire. Le code est désormais une matière de plus dès la première année. Ici, l’art du code n’est pratiqué que par une minorité d’enseignants particulièrement motivés. Aussi jeunes soient-ils, les élèves sont particulièrement motivés par les perspectives d’emploi que cela offre, note-il. « Au début de l’année, je leur ai vendu ça comme une façon de devenir riche assez facilement. Son école, dit-il, a une forte vocation entrepreneuriale. « Mon premier objectif, c’est de leur offrir des perspectives de travail. […] Ici, à Chibougamau, la plupart des gens vont travailler soit au chantier, soit dans les mines. » Dès la maternelle ?
Page médiation : Marie DUFLOT-KREMER
La médiation ? Qu'est-ce donc ? La médiation scientifique consiste à partager la science avec tous. A la différence de la vulgarisation qui consiste à expliquer des choses (parfois compliquées) avec des mots et des images simples pour être compris par tous, la médiation comprend aussi le fait de faire partager sa science, la faire vivre par d'autres, quels que soient leur âge et leurs connaissances en sciences. Sur cette page je présente différentes actions que j'ai menées en médiation envers des publics variés. La plupart des activités présentées sont tirées d'ailleurs et une sélection de liens vers d'autres pages parlant de médiation et d'informatique est présentée en bas de cette page. Activités débranchées en vidéo Inria a réalisé 10 videos dans lesquelles j'explique différentes activités d'informatique débranchée. Pour les petits L'enjeu de la médiation scientifique est d'élargir le public pour partager la science avec tous. Pour les plus grands Journées d'immersion Formation interne
Apprendre à coder et programmer : 50 ressources pour les enfants et les ados
Cours en ligne, applications, ateliers, livres, robots, kits… Alors que la programmation débarque dans les programmes du collèges et lycée, voici plus de 50 ressources pour apprendre à coder. Alors que l’initiation à la programmation informatique débarque dans les programmes scolaires du lycée et du collège, de plus en plus d’initiatives voient le jour en France. Cette liste a été mise à jour le 15 juillet mais nous la mettrons à jour régulièrement. Pour ceux qui se posent la question sur l’intérêt de découvrir les joies de la programmation, voici un article utile : Pourquoi apprendre à coder et devenir un as de la programmation ? Et si tu veux savoir ce qui t’attend depuis la rentrée 2016 à l’école et au collège, concernant le code en classe, on fait le point dans cet article. Enfin, pour les vacances de la Toussaint, voici une petite liste d’ateliers pour s’initier au code. Sur le web Les applications pour smartphone et tablette Les robots à programmer Sur Paris et en Île de France Concours
Déc. 2015 Les filles parlent le langage de la programmation (Le Devoir, Québec)
C’est connu, le monde de la programmation informatique est dominé par les garçons. Or, l’art du code suscite un engouement prometteur chez les filles. Certains y voient d’ailleurs un argument de plus pour l’imposer à l’école. Le chercheur Thierry Karsenti en est convaincu. « Avant, la programmation, c’était un monde de garçons, mais là, avec les applications sur tablettes qui rendent ça amusant, on voit que les filles deviennent meilleures en informatique et on enlève certains de nos préjugés », remarque le titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et de la communication (TIC) en éducation. Une campagne Web Aux États-Unis, l’équipe du site « L'Heure de code » met tout en oeuvre pour mobiliser les filles et les minorités. L’an dernier, on avait fait la même chose avec les deux soeurs du film La reine des neiges. On peut y voir l’actrice Jessica Alba, qui a également fondé une entreprise techno, ainsi que des dirigeantes de YouTube ou Facebook.