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N’aidez pas vos enfants à faire leurs devoirs !

N’aidez pas vos enfants à faire leurs devoirs !
L’implication des parents dans les études de leur enfant n’a pas d’incidence sur sa réussite, rapporte The Atlantic. Au contraire, révèle une méta-étude américaine menée par les professeurs de sociologie Keith Robinson et Angel Harris et publiée dans un livre intitulé « La boussole cassée ». La plupart des formes mesurables de la participation des parents (aider les enfants à faire leur devoir, parler avec eux, faire du bénévolat à l’école…) ne semble pas apporter les résultats escomptés. Pourtant, jusqu’à présent la théorie voulait que les parents les plus actifs et investis puissent combler l’écart de résultats entre les élèves de différentes origines sociales… Visiblement, il n’en est rien. Certaines habitudes font néanmoins une différence : la lecture à voix haute aux jeunes enfants et la discussion sur la planification de son travail au collège. Related:  solutions pour l'école

Coupe du monde des SDF : sous les festivités, le malaise Le match opposant les équipes féminines de l’Argentine et du Brésil lors de la Coupe du Monde des sans-abri, le 21 août 2011 à Paris (Esme Deacon/Flickr/CC). Ça parle fort, dans toutes les langues possibles et imaginables. Ce 20 août, les abords du Stade de France sont une ruche qui attend paisiblement le coup d’envoi d’une nouvelle Coupe de monde. Sous les maillots, 500 sans-abri jouent au Champ-de-Mars jusqu’au 28 août leur neuvième Coupe du monde. Oui, on a un peu l’impression d’être dans un rêve. L’opération est très belle, l’euphorie communicatrice. Pourtant, l’événement ne manque pas de provoquer quelques malaises dans les associations et chez les travailleurs sociaux. Aziz Benel Hadi, par exemple. « Ça rapproche les gens, mais après ? « 70% de nos joueurs ont vu leur situation s’améliorer “ Pour Mel Young, créateur de l’événement, le Mondial a pourtant fait ses preuves : ‘Ils reprennent confiance, on leur fait comprendre qu’il y a autre chose à espérer. ‘Les voir comme des leaders’

Le QCM inversé : un outil qui permet d’apprendre et non plus d’interroger ! | Le blog de JC2 Il est impossible de construire un questionnaire à choix multiple (QCM) si on ne connaît pas son cours. Même les professeurs les plus expérimentés sont obligés de lire avec précision le contenu de leur cours pour être capables de rédiger un QCM et d’y proposer tout un choix de bonnes et mauvaises réponses. C’est ce que l’on fait dans les cursus contenant des concours (comme la première année commune des études de santé) et pour lesquels il n’est pas nécessaire de corriger les copies. Aussi, la question s’est posée de l’utilisation d’un QCM, non plus pour interroger des étudiants, mais pour les obliger à connaître leur cours. C’est le prof qui devient alors l’élève à évaluer, se retrouvant seul et sans documents devant 12 QCM. En fin d’épreuve, on demande aux étudiants ce qu’ils ont pensé de l’exercice. POINTS POSITIFS ET SATISFACTIONS. POINTS NEGATIFS ET PISTES D’AMELIORATION.

Le QCM inversé : un outil qui permet d’apprendre et non plus d’interroger ! | Le blog de JC2 Il est impossible de construire un questionnaire à choix multiple (QCM) si on ne connaît pas son cours. Même les professeurs les plus expérimentés sont obligés de lire avec précision le contenu de leur cours pour être capables de rédiger un QCM et d’y proposer tout un choix de bonnes et mauvaises réponses. C’est ce que l’on fait dans les cursus contenant des concours (comme la première année commune des études de santé) et pour lesquels il n’est pas nécessaire de corriger les copies. Un simple tableau avec des cases cochées ou pas y suffit. Aussi, la question s’est posée de l’utilisation d’un QCM, non plus pour interroger des étudiants, mais pour les obliger à connaître leur cours. C’est le prof qui devient alors l’élève à évaluer, se retrouvant seul et sans documents devant 12 QCM. En fin d’épreuve, on demande aux étudiants ce qu’ils ont pensé de l’exercice. POINTS POSITIFS ET SATISFACTIONS. POINTS NEGATIFS ET PISTES D’AMELIORATION.

3 conseils pour que votre enfant adopte un comportement positif Nous rencontrons beaucoup de parents qui se plaignent de ce que leurs enfants ne se comportent pas assez bien. "Ils n’obéit pas" "Elle s’oppose tout le temps !" "Il parle mal" "Elle répond". Comment faire dès lors, pour remettre les comportements positifs au premier rang ? Parler positif Grâce à de nombreuses études en psychologie positive et en neurosciences, nous savons maintenant que la forme conditionne le fond. Aussi notre cerveau comprend beaucoup mieux les messages affirmatifs et positifs que les messages exprimés sous une forme négative. La confiance en soi naît de l’estime de soi. En définissant l’enfant par des : « c’est un clown », « il est toujours en retard », « c‘est l’artiste de la famille », « c’est l’intellectuel », on l’enferme dans un rôle dont il ne peut plus sortir et qui peut être très frustrant pour lui, même si la remarque est positive. L’important est de toujours juger les actes et non la personne. Valoriser Renforcer les comportements positifs Like this:

Chroniques en innovation et en formation » Blog Archive » Dix manières de dire “c’est bien” à ses élèves, ça marche Cochez 10 items déjà mis en pratique,(1ère colonne) puis 5 items que vous pourriez facilement mettre en œuvre dans les prochaines semaines avec vos élèves (2ème colonne) Ceci n’est pas un simple exercice, mais bien un entraînement à des gestes professionnels qui ont un effet sur les attitudes et les travaux des élèves, examinés au niveau international, quand chercheurs, universitaires ou agences de qualité s’intéressent à « ce qui marche » (« what works ?[1] »); Il y a bien quelque chose qui agit, d’utile et d’efficace, dans la relation entre un enseignant et ses élèves, pour l’amélioration des apprentissages des élèves. Les méthodologies sont très étudiées et documentées au Royaume(-Uni depuis plus de 20 ans en ayant expérimenté des choses simples (et pas nouvelles en elles-mêmes) mais mises en système; autour de l’approche d’une évaluation POUR les apprentissages” .

Les mots des disciplines - Voyage avec les mots - Centre National de Documentation Pédagogique L’Antiquité est une notion historique dont les contours ont varié selon les époques où on l’a considérée. Et le sens du mot a changé aussi bien par rapport au temps que par rapport à l’espace. En ce qui concerne les pays considérés, on a quand même une constante : la Grèce et Rome, qui restent toujours au centre de cette idée. Il vient s’y agréger d’autres pays, en fonction des intérêts et des connaissances : d’abord l’Égypte, celle des pharaons, et puis la plupart des civilisations méditerranéennes qui nous ont laissé des traces. Donc, on arrive au début de ce qu’on appelle l’histoire, avec ce que l’on suppose être l’invention de l’agriculture, en Mésopotamie, et l’invention de l’écriture chez les Sumériens. Et l’Asie alors ? Mais le mot a une histoire.

Entraîner au rappel pour rehausser l’apprentissage Une étude publiée dans la prestigieuse revue Science a démontré que s’efforcer de se rappeler de nos connaissances, même sans étude supplémentaire, rehausse l’apprentissage, et ce plus que certaines formes d’étude à efficacité très élevée. La démonstration est si robuste que même des chercheurs se réclamant ouvertement d’un constructivisme assez radical admettent que les résultats sont sans appel. De façon surprenante, à temps d’étude égal, la méthode qui consiste à étudier et ensuite tenter de se rappeler le matériel s’avère plus efficace que : de faire de l’étude traditionnelle, à répétition;d’étudier et de produire des cartes conceptuelles. L’expression qui désigne ce phénomène est retrieval practice, que l’on pourrait traduire par entraînement à la récupération. La comparaison avec la méthode des cartes conceptuelles est importante. Évidemment, rien ne sert de faire un enregistrement si on ne peut accéder à cette information ultérieurement. Sources : Belluck, Pam. (2011, 2011-01-21).

Ce que l’on doit savoir sur le fonctionnement de la mémoire en enseignement supérieur : l’état de la recherche cognitive Dans un article publié en 2011, la professeure de psychologie Michelle D. Miller résume le développement récent des connaissances sur le fonctionnement de la mémoire qui ont des applications pédagogiques en enseignement post-secondaire. Elle réussit sa synthèse en 5 pages très accessibles. Elle donne deux raisons pour son article synthèse : premièrement, la recherche en sciences cognitives est vaste et complexe, de telle sorte que la façon dont elle a été vulgarisées et appliquée à la pédagogie dans le passé n’a pas toujours été juste, ce qui demande des mises au point;deuxièmement, les connaissances ont évolué rapidement, et ce qui était à la fine pointe hier doit être révisé aujourd’hui. Après une discussion sur l’évolution des connaissances scientifique sur les différents types de mémoire, l’auteure conclut en énonçant 4 recommandations d’applications pédagogiques issues de l’état actuel des connaissances en cognition humaine. Source : Miller, Michelle D. (2011).

Les styles d'apprentissage, une vaste rigolade ? Depuis 2010, les articles académiques et grand public se multiplient aux Etats-Unis pour dénoncer ce que certains appellent "l'imposture" ou "l'erreur" des styles d'apprentissage. Non que ce concept ne recouvre certaines réalités évidentes : les apprenants n'apprennent pas tous de la même façon, pas la peine d'être diplômé en psychologie ou en neurosciences pour le savoir; mais ce qui est fortement remis en cause aujourd'hui, c'est l'utilisation faite de cette théorie dans la conception et l'animation de formations, en présence ou en ligne. Les éducateurs sont donc les premiers touchés par la remise en cause de l'importance des styles d'apprentissage. Aucune vérification de la théorie par la recherche Quels sont donc les termes de cette remise en cause ? - Ce qui signifie donc que la théorie des styles d'apprentissage n'est pas étayée par des données objectives issues de la recherche. D'après C. Ingénierie pédagogique : on sait ce qui fonctionne Il apparaît que : Sources : Illustrations

Le cahier des apprentissages : de la théorie… à la pratique dans les classes Le journal des apprentissages, une pratique théorisée …par Jacques Crinon et le groupe ESSI-ESCOL de l’académie de Créteil. Dans ce court texte, Jacques Crinon résume un chapitre de son livre, le journal des apprentissages. Echec à l’échec (2003). Après avoir présenté quelques extraits de cahiers d’élèves : « Ces textes sont extraits de " journaux des apprentissages " que tiennent chaque jour les élèves de cinquième année (CM2) d’une école élémentaire de la banlieue parisienne… Chaque soir, ils récapitulent par écrit ce qu’ils ont appris au cours de leur journée. Le dispositif est donc simple, austère même. Expériences en primaire Dans la circonscription de la Goutte-d’or, à Paris, une équipe de professeurs des écoles a mené l’expérience récemment et le site internet de l’inspection académique recense des réflexions et témoignages qui nous éclairent sur la mise en oeuvre pratique du dispositif pensé par Jacques Crinon. Expériences en collège La question des outils est essentielle. Like this:

Mémoriser à l'école Descriptif : Exemples d'outils pour réactiver une connaissance : • Au niveau individuel, l'outil de base est le fichier ou le carnet de vocabulaire. Le principe d'utilisation est simple: quand un mot est appris, l'enfant l'inscrit sur son carnet, accompagné de trois indications : - la date ; - le texte où le mot a été trouvé ; - une phrase explicitant son emploi par un exemple, l'opposition ou la proximité avec d'autres mots. Exemple : À propos d'une leçon sur l'eau, il écrirait : mardi 10 décembre 2008 .. Autour du mot " eau " eau courante, eau stagnante . le mot à retenir étant typographiquement mis en valeur. Outre les mots appris au cours des séquences de vocabulaire, l'élève fait aussi figurer sur son carnet ceux qu'il a glanés dans ses lectures personnelles. Exemples : Frétiller ? • Au niveau collectif, on constitue également un fichier, à raison d'une fiche par mot ou expression. Ce fichier a une double fonction.

Etudier efficacement : réactiver sa mémoire Troisième étape de notre méthode pour étudier efficacement : la réactivation. La mémoire a besoin de répétition. Mais pas seulement. Lire et relire ses notes ou ses manuels ne suffit pas. Il faut « réactiver » la mémoire et la préparer à restituer. Après la « mise en projet » et « la prise de contact avec le cours« , voici la troisième étape de notre méthode pour étudier efficacement : la réactivation. Retenir et restituer sont deux activités cérébrales différentes. Dans cette 3e étape de notre parcours, nous allons surtout nous attacher à la première notion : retenir. (Cliquez sur la mindmap pour l’agrandir ou téléchargez-la gratuitement sur Biggerplate). 1. a) Prendre des notes rapides et efficaces Prendre des notes sous forme de mindmapping est une excellente façon de réactiver votre mémoire. Oubliez le surlignage qui n’apporte rien en terme de rétention : vous retenez moins de 1 % des éléments soulignés après une semaine… Aidez-vous plutôt des index et des tables de matières. 2. 3. 4.

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