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La vente directe des producteurs aux consommateurs

La vente directe des producteurs aux consommateurs
Selon Peter DRUCKER [1], « le progrès économique ne consiste pas mieux à satisfaire des besoins révolus, mais à offrir de nouvelles options, à accroitre l’espérance et étendre les aspirations. Cette tâche doit être en grande partie remplie par la commercialisation, dont le rôle est nécessaire pour assurer la rentabilité de la transformation technologique, c’est-à-dire aboutir à la satisfaction des besoins et des désirs des hommes ». Il faut que les nouvelles formes de production et de vente soient conformes aux nouveaux besoins d’une société en évolution. Ces méthodes doivent tenir compte des besoins individuels de chaque consommateur. Distribuer, c’est mettre à disposition d’un consommateur intermédiaire (entreprise) ou final (consommateur) des biens, des services, des solutions selon l’échéance, le lieu, la quantité et la présentation adaptés. La distribution exerce trois fonctions complémentaires : les fonctions transactionnelles, relationnelles et expérientielles. I. A. B. II. A. Related:  Divers ...

Lexus, marque de luxe de Toyota, championne de la qualité-fiabilité Une fois de plus, Lexus ramporte la palme. La marque de luxe du japonais Toyota est consacrée aux Etats-Unis pour la qualité-fiabilité de ses voitures par la dernière étude du consultant J.D. Power, qui fait référence. Excellence des japonais, mais pas de Nissan Cette étude auprès de 37.000 automobilites démontre une fois de plus l'excellence des constructeurs nippons Toyota et Honda, mais pas de... Gains des marques américaines L'enquête montre aussi les gains spectaculaires enregistrés par certaines marques américaines. Relance de Lexus Toyota veut d'ailleurs relancer sa marque de prestige Lexus, essentiellement connue outre-Atlantique.

sans titre L’introduction d’Internet et des nouvelles technologies de l’information et de la communication au sein des foyers a participé de manière majeure à la mutation du commerce. Cette mutation a donné la possibilité aux entreprises de collecter d’autres informations que celles qu’elles détenaient déjà au sujet de leurs clients et prospects (grâce aux panels ou la vente par correspondance par exemple). Si les formes du commerce ont grandement évolué, les types de points de vente ont, eux aussi, connu de très importants changements. Les premières cartes de fidélité en magasin dans les années 1970… la dématérialisation de ces mêmes cartes aujourd’hui. La création du Code Barre ou UPC (Universal Product Code) adopté en Europe dans les années 70… le déploiement des QR Codes et Puces RFID (Radio Frequency IDentification) aujourd’hui. Les grandes étapes de l’histoire du commerce Apparue dans les années 1930 aux Etats Unis, la grande distribution n’est arrivée en France que beaucoup plus tard.

Le Bon Marché Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Premier grand magasin « Au Bon Marché » de 1887. Le Bon Marché est un grand magasin français, situé au 24 rue de Sèvres dans le 7e arrondissement de Paris, à l'angle de la rue de Babylone et de la rue du Bac. En 1989, après 151 ans d'existence, le magasin Au Bon Marché change de nom et devient Le Bon Marché. Historique[modifier | modifier le code] À gauche, le deuxième magasin de 1924. Aristide Boucicaut (1810-1877). Intérieur du magasin en 2008 « La cathédrale du commerce moderne (...), faite pour un peuple de clientes. » — Émile Zola, Au Bonheur des Dames Le premier magasin Au Bon Marché fut fondé en 1838 par les frères Paul et Justin Videau sous la forme d'une grande boutique (douze employés et quatre rayons) de mercerie vendant aussi des draps, matelas et des parapluies. Une salle de mille places est installée au sommet de l'immeuble pour accueillir des soirées. La Grande Épicerie[modifier | modifier le code] Michael B.

Des blogueurs de mode scandinaves découvrent la vie d’un ouvrier du textile au Cambodge Que se passe-t-il quand trois jeunes blogueurs de mode norvégiens sont invités à découvrir le quotidien des ouvriers qui fabriquent nos vêtements dans le tiers-monde ? Pas une émission mal foutue de télé-réalité, mais un web-documentaire intitulé Sweatshop (« Atelier de misère ») dont les épisodes ont été diffusés sur le site du quotidien norvégien Aftenposten en avril. Anniken Jorgensen, Frida Ottesen et Ludvig Hambro, propres sur eux et fanatiques de fringues, ont été suivis alors qu’ils découvraient le quotidien des ouvriers d’une usine de textile du boulevard Veng Sreng, à Phnom Penh. « J’ai cousu des vêtements pendant huit heures, pour 4 dollars » Réveil matinal, horaires à rallonge, salaire de misère, ateliers surchargés, chauds et bruyants… les jeunes Occidentaux découvrent la dure réalité d’un monde qu’ils ignoraient et dans lequel, pourtant, ils étaient impliqués. « La nuit dernière, j’ai dormi dans une maison minuscule (…). Le Bangladesh, mais aussi le Cambodge ou l’Ethiopie

- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub Malmenée par la crise, questionnée par des clients exigeants, la présence de vendeurs en magasin pourrait toutefois retrouver une nouvelle vigueur. Dans une version connectée, et avec un rôle qui évolue vers celui de coach ou d’ambassadeur. De nouveaux modes de rémunération pourraient même apparaître. > Retour au sommaire navigation contenu L’humain dans les magasins, une place à reconquérir La crise a détruit des dizaines de milliers d’emplois dans le commerce. Le « clienteling » décrypté par Valérie Piotte, DG de Publicis Shopper Publicis Shopper s’emploie à analyser les nouveaux parcours d’achat des consommateurs connectés, afin de recommander des stratégies de communication sur l’ensemble du parcours d’achat pour transformer chaque consommateur en acheteur fidèle. 7 nouvelles façons de vendre Coach, ambassadeur, vendeur augmenté, conseiller expert… Voici 7 illustrations de la façon dont évolue le rôle des vendeurs.

untitled Les centres commerciaux abandonnés aux Etats-Unis Les Malls américains comme ils sont appelés sont l’apogée de l’ultra consommation, connue sous le nom de Trente Glorieuses, après la Seconde Guerre Mondiale. Ces Malls, situés essentiellement à l’époque aux Etats-Unis, sont devenus tellement grands qu’on les appelle maintenant Mega Mall, des centres commerciaux grands comme des dizaines de terrains de foot alignés, comptant des centaines d’enseignes. Parmi les plus grands des Etats-Unis (et surement du monde), le Mall of America de Bloomington, dans la banlieue de Saint Paul-Minneapolis, dans le Minnesota est celui qui possède le plus de magasins : 522, ainsi que 14 salles de cinéma, 50 restaurants et fast-foods et 8 discothèques… Il s’étale sur une superficie commerciale de 258.000 m2 (le plus grand est le King of Prussia Mall en Pennsylvanie avec 260.000 m2) et dispose d’un parking de 20.000 places, la même capacité d’un stade de basket NBA. La carte de ces malls abandonnés aux Etats-Unis :

La fin des grands centres commerciaux aux Etats-Unis Le 29 décembre dernier, le géant du commerce américain Sears annonçait la prochaine fermeture d’une centaine de ses 2248 supermarchés (department store) aux Etats-Unis. La suite logique d’une chute inexorable de son volume de vente et de son chiffre d’affaires depuis une dizaine d’années. Le phénomène ne se limite pas au groupe Sears puisque la plupart des groupes américains du secteur voient leurs surfaces commerciales se réduire entraînant les propriétaires des murs dans la crise (General Growth Property, le plus important propriétaire de centres-commerciaux américains, a fait faillite dès 2009). Cette situation questionne aujourd’hui l’avenir de ces temples de la consommation et en prolongement, celui de ces vastes banlieues qui se sont agglutinées, voire structurées alentour. « Mall of America » en banlieue de Minneapolis, plus grand mall des Etats-Unis et un retail-park au Texas Cette utopie est plus ou moins devenue réalité. Dead malls à Kansas City, Laredo (Texas) et Dallas. Notes

La mort des centres commerciaux américains Les centres commerciaux, emblématiques du mode de vie américains, ferment leurs portes les uns après les autres aux Etats-Unis. Les centres commerciaux font partie intégrante du mode de vie américain depuis la naissance de la société de consommation dans les années 1950. L’Europe a suivi ce modèle 20 ans plus tard. Mais le temps des centres commerciaux semble aujourd’hui révolu. Selon la 27ème étude semestrielle du cabinet Piper Jaffray sur le comportement des adolescents américains, leur fréquentation des centres commerciaux a baissé de 30% en dix ans. Il faut dire aussi que l’obsession sécuritaire dans les centres commerciaux, les couvre-feux pour les jeunes et l’agressivité de vigiles de plus en plus nombreux, a aussi contribué à changer les habitudes des adolescents tout comme une évolution de leurs habitudes de consommation. Slate.fr Partagez cet article

Il y a une vie après le lean manufacturing - Transport - Logistique Votre projet lean a atteint ses limites L’Usine Nouvelle explore cinq pistes de réflexion pour relancer votre programme d’amélioration continue. Pour certains industriels, c’est une véritable révolution, pour d’autres un simple phénomène de mode. Le lean manufacturing s’est appliqué pour la première fois dans les années 1970 chez Toyota et s’est depuis imposé comme la méthode d’organisation de la production dans la plupart des grands groupes industriels. Avec des bénéfices parfois spectaculaires. Chez L’Oréal, son déploiement a permis de gagner 20% de capacités supplémentaires en deux ans. Déployer le lean dans son organisation n’a pourtant rien d’une promenade de santé. Parlez-vous le lean 5S Outil d’organisation de l’espace de travail qui met en évidence les dérives. 5 pourquoi Méthode de résolution de problèmes qui identifie la source d’un défaut. Grands groupes, ETI ou PME, la plupart des entreprises se trouvent un jour ou l’autre face à cette situation. Travailler aux interfaces

Bonbons Haribo : une success story tout en douceur Grâce à ses innovations et à un habile marketing, la petite confiserie allemande est devenue la star des sucreries en Europe. A presque 100 ans, l'entreprise compte désormais régaler de ses friandises deux géants : les Etats-Unis et la Chine. C'est la bonbonnière la mieux protégée de France. Un gardien, un tourniquet qui bloque l'entrée, un code sécurisé et l'interdiction absolue de visiter l'usine. LE GOÛT DU SECRET. UN OURS EN OR. Là, premier coup d'accélérateur : Riegel conçoit une figurine de gomme gélifiée en forme d'ours dansant. Après l'innovation, le marketing est en effet le second pilier de la société allemande. TOUJOURS DANS LE GIRON FAMILIAL. «Lorsque je propose un investissement à la maison mère, j'ai toujours en tête que l'argent que je demande appartient à la personne à qui je le réclame, confie Jean-Philippe André. Si la marque est aujourd'hui mondialement connue, il faudra attendre les années 1960 pour que Haribo mette un pied hors d'Allemagne. À LA CONQUÊTE DU MONDE.

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise ! Le «contrat de confiance» bat-il de l'aile ?

Cycle terminal de la voie technologique - Série STMG Présentation de la série STMG Une spécialisation progressive La nouvelle série STMG propose une classe de première unique, permettant de repousser en classe terminale le choix d'orientation parmi les quatre spécialités qui correspondent aux principaux champs des sciences de gestion : ressources humaines et communication, mercatique, gestion et finance, systèmes d'information de gestion. L'enseignement commun de sciences de gestion en classe de première permet d'éclairer tous les élèves sur leur choix professionnel futur, et ainsi d'identifier la spécialité de classe terminale et les études supérieures qu'ils pourront choisir. Une série technologique exclusivement tournée vers l'enseignement supérieur Les programmes ont été concentrés sur les notions fondamentales et les méthodes propres aux sciences de gestion afin de favoriser des poursuites d'études réussies dans l'enseignement supérieur : BTS, DUT, CPGE, DCG et universités. L'offre de formation Horaires Notes : Textes réglementaires

Fondations d'entreprise - le mécénat sauce corporate XEnvoyer cet article par e-mail Fondations d'entreprise - le mécénat sauce corporate XEnvoyer cet article par e-mailFondations d'entreprise - le mécénat sauce corporate Economie sociale L’art et la manière des fondations pour irriguer la société et l'intérêt collectif Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à entreprendre des actions de mécénat, et à créer des fondations pour les rationaliser. par Fabien Humbert Selon l’association de promotion du mécénat Admical, le mécénat concernait 12 % des entreprises françaises en 2014. Mais pourquoi donc se lancent-elles dans du mécénat ? Faire un don peut donc permettre de payer moins d’impôts sur les sociétés et sur le revenu. Bénéfices indirects Beaucoup d’entreprises mettent en place une fondation d’abord pour abriter leurs actions de mécénat. Créer une fondation permet aussi à une entreprise de mettre de l’ordre dans ses actions de mécénat et d’instituer une gouvernance plus carrée. Axe sociétal La cote de l’art

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