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MEMOIRE ou MEMOIRES, comment s'en servir ?

MEMOIRE ou MEMOIRES, comment s'en servir ?
La Mémoire ? Un territoire où les neurosciences frôlent la géographie ; le monde des mémoires est vaste avec des terres encore inconnues, des explorateurs, des frontières de plus en plus précises et des voies de communication nombreuses et variées. Le terme « mémoire » nous vient de la déesse Mnémosyne, aux charmes certains puisque Zeus y succomba pendant 9 nuits, laissant la belle Mnémosyne engendrer les 9 Muses de la connaissance. C’est dire son importance auprès des Grecs de l’Antiquité. Cet intérêt perdure, de Cicéron jusqu’à Charlemagne, et ainsi jusqu’à la Renaissance. Puis au XVIIème s’avancent des détracteurs ; délaissée au profit du raisonnement et bafouée par Descartes, la mémoire, en France, sera réduite à l’apprentissage par cœur ou à la « faculté des imbéciles » selon l’expression de Chateaubriand. Sœur incontournable de l’oubli, fondement de l’identité personnelle, la mémoire s’appuie sur notre passé, organise notre présent, usurpe notre futur. Prof. La mémoire court-terme Related:  neurosciences

Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit 1) Parler de nos mémoires plutôt que de la mémoire La mémoire est ce qui reste de nos apprentissages. C'est la trace concrète qui en est conservé dans nos réseaux de neurones. La mémoire n'est pas pour autant un concept unifié. On a par exemple des circuits nerveux spécialisés dans le souvenir des événements que nous avons vécus durant notre vie passée (mémoire épisodique) qui ne sont pas les mêmes que ceux qui permettent la mémoire du sens des mots, de la fonction des choses, de leur couleur ou de leur odeur (mémoire sémantique). Traditionnellement, les études se sont concentrées sur les mémoires dites explicites, c'est-à-dire celles dont on peut exprimer verbalement le contenu (comme les deux premiers exemples précédents). Il s'agit de formes de mémoire qui s'acquièrent à notre insu et où le rappel d'un souvenir se fait automatiquement, sans les efforts nécessaires à la mémoire explicite.

TEST : Suis-je plûtot visuel, auditif ou kinésthésique ? - Blog de Mme Radenac Par Pascale Radenac (Collège Saint-Exupéry, Vélizy Villacoublay (78)) le 11 septembre 2009, 06:26 - documents - Lien permanent Extrait de l'article paru dans ça m'interesse Il n'y a pas deux personnes qui apprennent de la même manière. Normal. « Ceux qui ont le plus de chance de réussir dit-il sont ceux qui s'interrogent sur leur propre façon d’apprendre et cherchent d'autres moyens de faire pour être plus efficaces. Notre mémoire se spécialise en fonction de nos sens Chacun de nous utilise les trois systèmes de perception (ouïe, vue, ressenti) mais consciemment ou pas, privilégie l'un d'entre eux. Le test d’André Giordan (noter vos résultats au brouillon, par exemple 1b, 2c .....) à vous de jouer ! Vous devez monter un jouet lego :a. Maintenant, il faut voir les résultats du test puis lire les commentaires ! Commentaires Faites le total de ronds, carrés et losanges. Vous avez une majorité de Losange : Votre démarche est essentiellement visuelle Vos points forts Vos points faibles Référence

Mémoire Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G. Auzias/S. Baillet/O. Cette représentation de neuro-imagerie est un exemple de la technique dite de recalage interindividuel guidé par les sillons (DIffeomorphic Sulcal-based COrtical ou DISCO). La mémoire se compose de cinq systèmes de mémoire impliquant des réseaux neuronaux distincts bien qu’interconnectés : La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau. Cet ensemble complexe est indispensable à l’identité, à l’expression, au savoir, aux connaissances, à la réflexion et même à la projection de chacun dans le futur. La mémoire de travail La mémoire de travail (ou mémoire à court terme) est en fait la mémoire du présent. 7, le nombre magique Le chiffre 7 serait le "nombre magique" de la mémoire de travail. La mémoire sémantique

Le coin S.V.T. » Blog Archive » Quel est mon type de mémoire ? Quel est ton type de mémoire ? …..Tu te demandes parfois pourquoi tu passes un temps fou sur des cours sans arriver à rien retenir, alors que ton copain, lui, s’en souvient si facilement ! …..Peut-être que tu n’utilises pas la méthode qui convient le mieux à ton type de mémoire ? Questionnaire pour identifier ton (tes) type(s) de mémoire Permalien Laisser une réponse : Vous devez être connecté pour poster un commentaire... Neuf exercices pour améliorer sa concentration au travail La concentration consiste à mobiliser ses facultés mentales et physiques sur un sujet ou sur une action. Or notre cerveau est sollicité par de multiples informations et il ne peut en traiter qu'une seule à la fois de façon optimale. Il s'agit donc de le monopoliser, en se libérant des émotions parasites et en s'entrainant à agir, en activant ses cinq sens. Par cette pratique, vous gagnerez aussi en performance. Voici neuf exercices à effectuer avant et pendant ce travail. 1. Le chercheur Robert Nideffer, féru de psychologie du sport, a observé que l'attention de l'athlète se caractérise par deux dimensions : l'étendue, large ou étroite selon qu'elle est focalisée sur une seule ou plusieurs informations ; la direction, interne ou externe selon qu'elle est centrée sur les pensées et sensations ou sur un événement ou un objet extérieur. 2. 3. 4. Comme précédemment, regardez un seul objet mais sans vous y attarder. 5. Pour les auditifs, c'est une aide intéressante. 6. 7. 8. 9.

Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. La deuxième mémoire est la mémoire à court terme. Nous abordons maintenant la mémoire « durable ». Pour résumer, la mémoire immédiate est sollicitée en quelques millisecondes dès que nous percevons quelque chose (perception). Mémoriser sur le long terme demande aussi de la répétition. WordPress: J'aime chargement…

Métacognition et réussite des élèves Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés. Les objectifs de cette réflexion sont : de participer à l’évolution des représentations des enseignants, des parents et des responsables de l’institution sur les compétences que l’élève doit construire pour faire avec efficacité son parcours scolaire,de repenser donc les activités en classe,avec l’ambition que tous les élèves arrivent à apprendre. La définition du concept d’activité 1 Dans la communauté éducative Activités scolaires. Qu’est-ce que la métacognition ? 1 La métamémoire “ Savoir ce que je sais de ce que je ne sais pas ”.

Comment apprenons-nous ? Le paradoxe de la créativité Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.

10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ?comment éviter de bachoter ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. 3. Le fait d’associer un mot ou une phrase à une image permet de mieux s’en rappeler. Jupiter rit à gorge déployée. 4. Le lapbook

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