Le moteur Minato à énergie libre vendu en supermarché Un moteur révolutionnaire alimenté par des aimants permanents, mis au point par un inventeur japonais est aujourd'hui mis en production.Une économie d'énergie de 80 %, absence de chaleur et de bruit... de quoi séduire plus d'un investisseur ! Kuhai Minato veut toutefois privilégier une fabrication locale par de petites unités indépendantes. Alertés par un collègue en émoi qui venait de voir une invention incroyable - un moteur magnétique qui ne consommait presque pas d'électricité - notre scepticisme nous fît d'abord décliner l'invitation. Le techno-maestro Les rues de Shinjuku Est sont jonchées des rebuts des nombreuses petites manufactures et ateliers, qui s'y trouvent encore, pas vraiment l'image de marque d'une société de haute technologie mondiale ! Voir c'est croire Les vrais produits Le banquier et son investissement Minato se plaint avec raison de l'uniformité culturelle et sociale du Japon. Mettre la technologie sur le marché Préparation internationale Efficacité des moteurs Minato
Le coup d’éclat d’une famille célèbre Un an plus tard, le geste n’a rien perdu de son éclat. Qui aurait pu croire que la famille Rockefeller, dont la fortune a jailli des puits de pétrole pendant des décennies, allait annoncer son intention de complètement liquider ses placements dans les énergies fossiles ? Au bout du fil, pourtant, Stephen Heintz, qui dirige le Fonds des frères Rockefeller, raconte que la décision s’inscrivait dans une suite tout à fait logique. Puisque la caisse de 810 millions finance des projets sociaux et des ONG, mais aussi des projets de développement durable, ses dirigeants étaient mal à l’aise de faire fructifier l’argent du Fonds par des placements dans le charbon, le pétrole et le gaz naturel. « La décision de désinvestir, c’est une étape parmi d’autres que nous avions entreprises depuis dix ans pour aligner nos investissements avec la mission de la fondation », a dit M. Heintz lors d’un entretien avec Le Devoir. Ironie Les autres fondations
Burlington, une ville alimentée à 100 % en énergie renouvelable | Paris Climat 2015 Le reportage de Jean-Sébastien Cloutier L'an dernier, Burlington, au Vermont, est devenue la première ville aux États-Unis à consommer de l'énergie entièrement renouvelable. C'est presque un exploit, dans un pays où les hydrocarbures sont rois, et où seulement 13 % de l'énergie produite est de source renouvelable. Visite guidée. Un texte de Jean-Sébastien Cloutier Sur la jolie rue piétonnière Church de Burlington, fin novembre, les touristes se font rares. « Nous sommes venus ici pour être plus proches de la nature et c'est avec beaucoup de fierté qu'on a appris que la commune était la première de cette taille-là à atteindre cet objectif », se réjouit Richard Gliech, arrivé au Vermont il y a 20 ans en provenance du New Jersey. Si vous ne voyez pas le graphique sur votre appareil mobile, cliquez ici. Bois, eau, vent L'usine de biomasse de Station McNeil à Burlington Photo : Radio-Canada/Jean-Sébastien Cloutier Cour à copeaux de bois, à Burlington. Programmes d'efficacité énergétique
6 solutions énergétiques qui pourraient changer votre quotidien | Paris Climat 2015 La galerie des solutions. Photo : Mathieu Hagnery Des éoliennes nénuphars, des voitures imprimées ou un lampadaire de brousse. Un texte de Catherine Mercier Au fil de dizaines de kiosques, la Galerie des solutions se présente comme une sorte de catalogue où l'on peut « magasiner » des solutions pour réduire son empreinte carbone. On y trouve un peu de tout. 1. Certaines technologies en sont à leurs balbutiements. Nicolas Bodereau, cofondateur de In Sun We Trust Nicolas Bodereau est l'un des deux concepteurs du projet. « Les gens entrent leur adresse, en deux ou trois clics, ils peuvent déterminer l'inclinaison et l'orientation de leur toiture. [...] Le but est simple : fournir de l'information aux propriétaires et les mettre en contact avec des installateurs dignes de confiance. 2. Illustration des éoliennes Nénuphar. Un peu plus loin, une vision plus futuriste nous attend : la compagnie Nénuphar propose des éoliennes flottantes. 3. Une voiture conçue à partir d'une imprimante 3D 4. 5. 6.
Les énergies renouvelables finiront-elles par l'emporter? Un texte de Marie-Eve Maheu Pendant que les pays tentent de trouver des moyens de diminuer les émissions de gaz à effet de serre à Paris, une chose semble certaine : la demande énergétique mondiale va continuer d’augmenter. Reste à voir quel type d’énergie répondra à la demande entre énergies vertes et énergies polluantes. Les investissements mondiaux dans les énergies renouvelables ont bondi de 17 % en 2014, pour atteindre 270 milliards de dollars américains (en excluant les grands projets hydroélectriques). Et le Canada ne s'en sort pas si mal, avec des investissements de 8 milliards de dollars américains, ce qui le place au 6e rang mondial. Top 10 des pays ayant investi dans les énergies renouvelables en 2014 ( en milliards $US) Source : Programme des Nations unies pour l'environnement/Bloomberg New Energy Finance Vers le futur Demande en électricité dans le monde (indexée, 2012=100) Source : Bloomberg New Energy Finance Ajout de capacité énergétique par technologie 2015-2040 Au Canada
5 ans après la tragédie de Fukushima : qu'advient-il de la centrale nucléaire Gentilly-2? La centrale nucléaire Gentilly-2 a cessé de produire de l'électricité le 28 décembre 2012. Photo : ICI Radio-Canada La seule centrale nucléaire du Québec, la centrale Gentilly-2 de Bécancour, a cessé ses opérations il y a un peu plus de trois ans, le 28 décembre 2012. À l'heure actuelle, 80 personnes travaillent toujours sur le site. L'économie régionale peine toutefois encore à se relever de la fermeture. Les employés toujours en poste travaillent à la maintenance des différents appareils encore en marche, comme les équipements de chauffage, d'électricité et de refroidissement de la piscine. Le nombre d'employés en poste à la centrale Gentilly-2 passera à 70 l'an prochain et pour les prochaines années. À l'heure actuelle, la centrale nucléaire Gentilly-2 est en état de stockage sûr, c'est-à-dire que tout le combustible radioactif est entreposé dans une piscine pour sept ans. Hydro-Québec veut mettre à jour son permis pour Gentilly-2 Une fermeture pour des raisons économiques
"Quant e-Sportlimousine", la voiture qui roule à l’eau de mer par Virginie Garin Elle a un look de voiture de sport. De couleur gris métallisé, ses portes s'ouvrent vers le ciel comme deux grandes ailes. La Quant e-Sportlimousine possède un moteur électrique qui fonctionne avec une batterie très spéciale : à l'intérieur, il y a deux réservoirs dans lesquels il faut mettre de l'eau salée. Oxydoréduction Après, c'est un peu technique. Cette voiture a une autonomie de 600 kilomètres. Une première version avait été présentée au Salon de l'auto à Paris, en octobre dernier. Batterie moins encombrante Il reste juste à réaliser les crash-tests pour vérifier qu'elle est solide. En tout cas, cette voiture devrait faire avancer la technologie électrique.
Dans ce cinéma, si on veut voir le film, il faut pédaler ! En Amérique du Nord, le cinéma rime souvent avec pop corn et junk food. Mais, un peu plus au sud, c’est désormais au sport que le 7è art est associé ! Des Uruguayens ont en effet mis au point un système de projection à la fois convivial, écologique et bon pour la santé des spectateurs ! Soucieux des considérations environnementales, l’association uruguayenne Efecto Cine a inventé un cinéma mobile qui fonctionne très bien, mais à une condition seulement : qu’une vingtaine de spectateurs se portent volontaires… et se relaient pour pédaler ! Non seulement c’est écolo (l’énergie humaine qui fournit l’électricité est aussi propre que renouvelable), non seulement c’est bon pour l’hygiène et la santé (et les mollets) mais, en plus, l’Efecto Pedal (c’est le nom de cette drôle d’invention) permet à des villages reculés d’accéder enfin à la magie du cinéma ! L’an passé, ce cinéma mobile est, par exemple, passé par Cabo Polonia, petite commune de 72 âmes dépourvue d’électricité.
Les énergies fossiles drainent 5300 milliards en fonds publics par an, estime le FMI Les subventions publiques mondiales consacrées au secteur des énergies fossiles devraient dépasser les 5300 milliards de dollars en 2015. C’est ce que conclut une nouvelle étude du Fonds monétaire international, qui souligne que ce montant est plus élevé que la totalité des dépenses en santé. « Ces estimations sont choquantes », a commenté lundi l’institution dans la note explicative accompagnant la publication de cette vaste recension des coûts croissants engendrés par notre dépendance aux énergies fossiles. Le Fonds monétaire international (FMI) définit ces « subventions » essentiellement en comparant les prix payés par les consommateurs pour leur énergie et son coût « réel ». L’institution financière estime ainsi que les subventions devraient atteindre 5300 milliards de dollars cette année. Ce montant équivaut à 6,5 % du PIB mondial. Le rapport revoit d’ailleurs à la hausse l’estimation réalisée en 2013, qui évoquait une subvention annuelle avoisinant les 2000 milliards.
Brazilian Builds Water-Powered Motorbike, Gets 310 Miles Out Of 1 Liter Of Water – Anonymous Share Tweet Email By: John Vibes via trueactivist.com For decades there have been stories about vehicles that could run on water, and now we can actually see one of these vehicles in action. The T Power H20 motorbike was developed in Sao Paulo, Brazil by a man named Ricardo Azevedo. The motorcycle can travel up to 310 miles on just a liter of water, and it does not require any specific type of water. The motorcycle works by combining a battery with a water combustion system that helps to generate electricity. In the video demonstrating his invention, Azevedo uses clean water to power the bike and drinks it on camera to show that it is not fuel. “The advantage of this motorcycle, which works with the hydrogen that comes from the water, is that the result that comes out of the exhaust is water vapour. Azevedo’s invention could entirely change the transportation industry, but he should be careful because inventors like him have been discredited and even killed in the past.
L'électricité produite par les arbres à vent Un texte de Ève Christian Une idée née... comme ça L'histoire à l'origine de cet arbre à vent est simple. Un produit est créé En 2011, l'inventeur a formé NewWind, une petite entreprise, et s'est entouré d'une équipe. Joli, ça, il l'est. D'après la fiche technique, ces éoliennes urbaines, hautes de 9 m et larges de 7 m, produiraient assez d'électricité pour couvrir environ 80 % de la consommation en électricité d'une famille de quatre personnes, en excluant le chauffage. Pour produire un maximum d'électricité, ça prend un lieu exposé au vent. Les grandes éoliennes, elles, commencent à fonctionner avec un vent minimal de 3 m/s (11 km/h). Je me suis informée auprès d'un connaisseur en énergie éolienne, Christian Masson, professeur au département de génie mécanique à l'École de technologie supérieure (ETS), pour savoir si ce produit est efficace et exportable ici, en Amérique du Nord. Décoration urbaine ou économie substantielle d'électricité?
These are Tesla’s stunning new solar roof tiles for homes | TechCrunch Tesla founder and CEO Elon Musk wasn’t kidding when he said that the new Tesla solar roof product was better looking than an ordinary roof: the roofing replacement with solar energy gathering powers does indeed look great. It’s a far cry from the obvious and somewhat weird aftermarket panels you see applied to roofs after the fact today. The solar roofing comes in four distinct styles that Tesla presented at the event, including “Textured Glass Tile,” “Slate Glass Tile,” “Tuscan Glass Tile, and “Smooth Glass Tile.” Each of these achieves a different aesthetic look, but all resembled fairly closely a current roofing material style. Each is also transparent to solar, but appears opaque when viewed from an angle. The current versions of the tiles actually have a two percent loss on efficiency, so 98 percent of what you’d normally get from a traditional solar panel, according to Elon Musk.
La fusion nucléaire sauvera-t-elle la planète? Un texte de Frédéric Zalac de l'émission Découverte Devant les sombres prédictions des scientifiques concernant le réchauffement de l’atmosphère, une solution semble tout indiquée pour sauver la planète : la fusion nucléaire. Elle n’émet pas de gaz carbonique et pose peu de risques aux humains et à l’environnement. Or, voilà plus d’un demi-siècle que la science promet l’arrivée imminente de la fusion. « On a toujours accusé la fusion d’être 30 ans dans l’avenir », dit le physicien californien Kenneth Fowler, un des pionniers des programmes de fusion nucléaire des États-Unis. Nous savons que ça peut fonctionner. En dépit de décennies de revers, un vent nouveau souffle sur l’univers de la fusion. Un défi de taille La fusion est la combinaison de noyaux d’atomes légers qui produit une grande quantité d’énergie. Il y a cependant un hic. Ça a toujours été une question d’échelle. Jusqu'à ce jour, aucun réacteur de fusion nucléaire n’a réussi à produire plus d’énergie qu’il n’en consomme.
Volvo met fin aux voitures équipées seulement d'un moteur à combustion Le groupe Volvo, qui est la propriété du constructeur chinois Geely, a promis mercredi « la fin historique » des véhicules équipés uniquement d'un moteur à combustion, et cela, d’ici deux ans. Volvo compte ainsi lancer cinq modèles de voitures intégralement électriques entre 2019 et 2021. Trois de ces voitures seront commercialisées sous la marque Volvo et deux sous la marque Polestar. Le constructeur proposera aussi à ses clients un éventail de modèles hybrides. Le premier modèle électrique sera fabriqué dès 2019 en Chine; le lieu de production des quatre autres modèles n'a pas été annoncé. Cette annonce marque la fin des voitures équipées seulement d'un moteur à combustion. La production des moteurs à essence et diesel maintenue Malgré ce virage résolu vers la propulsion électrique ou hybride, Volvo entend néanmoins continuer de construire les modèles de voitures à essence et diesel actuellement en production. Des lois environnementales de plus en plus sévères