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Calcul des prédicats

Calcul des prédicats
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le calcul des prédicats du premier ordre, ou calcul des relations, ou logique du premier ordre, ou tout simplement calcul des prédicats est une formalisation du langage des mathématiques proposée par les logiciens de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Le trait caractéristique de la logique du premier ordre est l'introduction : Ceci permet de formuler des énoncés tels que « Tout x est P » et « Il existe un x tel que pour tout y, x entretient la relation R avec y » en symboles : et Le calcul des prédicats du premier ordre égalitaire adjoint au calcul des prédicats un symbole de relation, l'égalité, dont l'interprétation est obligée : c'est l'identité des éléments du modèle, et qui est axiomatisée en conséquence. Le calcul des propositions est la partie du calcul des prédicats qui concerne ce qui ne contient pas les notions de variables, de fonctions et de prédicats et donc pas les quantificateurs . On se donne pour alphabet : ou . ? Related:  Ensembles et structures

Développement mobile multiplateforme en C et C++ avec MoSync SDK Vous êtes développeur C et/ou C++ et vous avez envie de créer des applications mobiles. Vous avez besoin, si vous ne les connaissez pas déjà, d'aller apprendre d'autres langages comme le Java (pour Android, BlackBerry, J2ME), l'objective-C (pour l'iOS), ou le C# (pour Windows Phone 7); étant donné qu'avec le C++ seul, vous êtes limité à Bada, à Symbian et à Windows Mobile (ces deux derniers n'ayant plus vraiment le vent en poupe). Vous pouvez aussi vous rabattre sur les technologies Web comme le HTML 5, le JavaScript et le CSS3 associées à des bibliothèques comme Phonegap pour parvenir à vos fins mais vous serez limités au niveau des accès aux fonctionnalités natives du téléphone. Depuis 2004, la start-up suédoise Mobile Sorcery devenue MoSync AB a commencé le développement d'un Framework cross plateforme de développement mobile. MoSync SDK est disponible sur Windows et Mac. Voici en vrac une liste globale des fonctionnalités disponibles dans le MoSync SDK : Vous avez aimé ce tutoriel ?

Calcul des propositions Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le calcul des propositions ou calcul propositionnel est une théorie logique qui définit les lois formelles du raisonnement. C'est la version moderne de la logique stoïcienne. C'est aussi la première étape dans la construction des outils de la logique mathématique. Introduction générale[modifier | modifier le code] Assez complexe à définir en général, la notion de proposition a fait l'objet de nombreux débats au cours de l'histoire de la logique ; l'idée consensuelle est qu'une proposition est une construction syntaxique pour laquelle il est sensé de parler de vérité. En logique mathématique, le calcul des propositions est la première étape dans la définition de la logique et du raisonnement. Définition d'une proposition[modifier | modifier le code] Quoique le calcul des propositions ne se préoccupe pas du contenu des propositions, mais seulement de leurs relations, il peut être intéressant de discuter ce que pourrait être ce contenu. Les . où et .

Introduction to non-blocking I/O Programs that use non-blocking I/O tend to follow the rule that every function has to return immediately, i.e. all the functions in such programs are nonblocking. Thus control passes very quickly from one routine to the next. You have to understand the overall picture to some extent before any one piece makes sense. (This makes it harder to get your mind around than the same program written with blocking calls, but the benefits mentioned elsewhere in this document make up for this trouble, so don't be discouraged.) Many objects need to wait for time to pass or for an external event to occur, but because their methods must return immediately, they can't do the obvious or natural thing. To illustrate this, let's consider a simple networking class that lets you send a file to a remote machine, assuming the connection is all set up. You can imagine the user code calling this in a simple loop, as in the following example, which prints the file to stdout as if it were a network connection:

Structure (mathématiques) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mathématiques, une structure désigne toute théorie « plus forte » que la théorie des ensembles, c'est-à-dire une théorie qui en contient tous les axiomes, signes et règles. C'est donc une théorie « fondée » sur la théorie des ensembles, mais contenant également des contraintes supplémentaires, qui lui sont propres, et qui permettent également de définir de nouvelles structures qu'elle inclut. Ce terme est à l'origine de ce que l'on a appelé le structuralisme mathématique. En histoire des mathématiques, quelque moderne et innovatrice que soit une notion nouvelle, il arrive fréquemment que l'on en observe rétrospectivement des traces jusque dans l'Antiquité. En arithmétique modulaire, l'idée de structure apparaît vraiment avec l'approche de Carl Friedrich Gauss dans les Disquisitiones arithmeticæ (1801). Ces noyaux constitutifs des branches des mathématiques sont les structures mêmes : « Sous quelle forme va se faire cette opération ?

High-Performance Server Architecture The purpose of this document is to share some ideas that I've developed over the years about how to develop a certain kind of application for which the term "server" is only a weak approximation. More accurately, I'll be writing about a broad class of programs that are designed to handle very large numbers of discrete messages or requests per second. Network servers most commonly fit this definition, but not all programs that do are really servers in any sense of the word. I will not be writing about "mildly parallel" applications, even though multitasking within a single program is now commonplace. Some people will inevitably take issue with some of my comments and suggestions, or think they have an even better way. The rest of this article is going to be centered around what I'll call the Four Horsemen of Poor Performance: Data copiesContext switchesMemory allocationLock contention There will also be a catch-all section at the end, but these are the biggest performance-killers.

Treillis (ensemble ordonné) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Treillis. Le terme treillis provient de la forme du diagramme de Hasse associé à la relation d'ordre. En mathématiques, un treillis[1] (en anglais : lattice) est une des structures algébriques utilisées en algèbre générale. Il existe en réalité deux définitions équivalentes du treillis, une concernant la relation d'ordre citée précédemment, l'autre algébrique. Tout ensemble muni d'une relation d'ordre total est un treillis. Parmi les ensembles munis d'une relation d'ordre partiel, des exemples simples de treillis sont issus des relations d'ordre « est inclus dans » et « divise ». Un treillis est un ensemble E muni de deux lois internes habituellement notées ⋁ et ⋀ vérifiant : les deux lois sont commutatives et associatives ;pour tous a et b de E : (loi d'absorption). La loi d'absorption entraîne l'idempotence de tout élément a de E pour les deux lois[2] : et , de la manière suivante : On peut alors vérifier que Si

Interaction design pattern A design pattern is a formal way of documenting a solution to a common design problem. The idea was introduced by the architect Christopher Alexander for use in urban planning and building architecture, and has been adapted for various other disciplines, including teaching and pedagogy, development organization and process, and software architecture and design.[1] Interaction design patterns are a way to describe solutions to common usability or accessibility problems in a specific context.[2] They document interaction models that make it easier for users to understand an interface and accomplish their tasks.[3] History[edit] Applying a pattern language approach to interaction design was first suggested in Norman and Draper's book User Centered System Design (1986). Interaction design pattern libraries[edit] Mobile Interaction Pattern Libraries[edit] The popularity of mobile devices such as smartphones and tablets usher in a need for a library of mobile interaction design patterns.

Relation d'équivalence La notion ensembliste de relation d'équivalence est omniprésente en mathématiques. Elle permet, dans un ensemble, de mettre en relation des éléments qui sont similaires par une certaine propriété. On pourra ainsi regrouper ces éléments par « paquets » d'éléments qui se ressemblent, définissant ainsi la notion de classe d'équivalence, pour enfin construire de nouveaux ensembles en « assimilant » les éléments similaires à un seul et même élément. Sur cet ensemble de huit exemplaires de livres, la relation « … a le même ISBN que … » est une relation d'équivalence. Définition[modifier | modifier le code] Définition formelle[modifier | modifier le code] Une relation d'équivalence sur un ensemble E est une relation binaire ~ sur E qui est à la fois réflexive, symétrique et transitive. Plus explicitement : Par réflexivité, E coïncide alors avec l'ensemble de définition de ~ (qui se déduit du graphe par projection). Définition équivalente[modifier | modifier le code] Contre-exemples Remarque Exemples

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