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Changement climatique : des solutions existent pour 9 Français sur 10

Changement climatique : des solutions existent pour 9 Français sur 10
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir Inquiets, mais pas résignés. Tels apparaissent les Français face au changement climatique, selon un sondage réalisé par l'institut Ipsos entre le 19 et le 26 janvier, auprès d'un échantillon de 995 personnes, pour le compte de l'agence Havas-Paris. Premier constat, le climato-scepticisme n'est plus de mise. Les Français, dont 89 % ont « l'impression » que le climat a changé au cours des vingt dernières années, sont 80 % à penser que ce changement est « dû en grande partie à l'activité humaine », 20 % seulement considérant qu'il est « dû en grande partie à des facteurs naturels ». Plus de trois sur quatre se déclarent personnellement « très inquiets » (20 %) ou « plutôt inquiets » (57 %) des conséquences possibles. Que redoutent-ils le plus ? Face à ces inquiétudes, ils éprouvent majoritairement un sentiment d'« urgence » (52 %), mais aussi une nécessité de « mobilisation » (30 %). Qu'en espèrent-ils ? Related:  Prise en compte laborieuse

Britain’s most powerful politicians agree fighting climate change is a jolly good idea There’s good climate news from the United Kingdom. On Saturday, the leaders of the country’s three major parties — Conservative, Liberal Democrat, and Labor — all signed a joint pledge to aggressively fight climate change and phase out the use of coal. This isn’t because politics is any less divisive or partisan in the U.K. than in the U.S. As The Guardian reports: The agreement of the three party leaders is highly unusual and comes amid a general election campaign that is becoming increasingly bitter.The prime minister, deputy prime minister and leader of the opposition have all clashed over green issues, but the joint declaration states: “Climate change is one of the most serious threats facing the world today. Here in the U.S., Republicans sometimes argue that we should not bother to combat climate change because other large economies will not participate in our efforts. Larger majorities of the British than American public accept climate science.

Behind the Relaunch of The New York Times Magazine Photo Welcome to the new New York Times Magazine. For the past four months, as we’ve been putting out the magazine you read every weekend, we’ve also been busying ourselves behind the scenes, crafting something new and different. It is as if we have been bidding our dinner guests adieu each week, busing the dessert plates and then hurrying out to the garage to tinker with our strange creation under a flickering bulb. We have used the hammer and the tongs but perhaps not the blowtorch; we sought to manufacture a magazine that would be unusual, surprising and original but not wholly unfamiliar. It would be a clear descendant of its line. To this end we have made many alterations. Continue reading the main story Slide Show In the interest of being clear about what we have done, this letter will introduce you to some of the most notable changes. The redesign was led by our design director, Gail Bichler, a 10-year veteran of The Times, along with our art director, Matt Willey.

Le dieu pétrole dévore le Canada, par Nancy Huston LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nancy Huston Je suis chez moi, et hors de moi. En encourageant le développement à outrance des industries pétrolières de l'Alberta, Stephen Harper, le premier ministre canadien, met l'humanité en péril. L'humanité de ma province natale, et l'humanité tout court. Pour l'instant, peu de Français le savent : l'extraction du bitume des sables dans l'ouest du Canada est l'entreprise humaine la plus importante de la Terre. Le potentiel pétrolier de ces sables est estimé à 2 500 milliards de barils, assez pour nous nourrir en or noir, au rythme insensé où nous le consommons, pendant encore deux siècles et demi. Lire la synthèse (en édition abonnés) : Au Canada, l'or noir des sables bitumineux mis en cause La façon de nommer ce site vous oblige déjà à vous en montrer solidaire : la majorité des Albertains a adopté le terme officiel de sables pétroliers ; seuls les écolos persistent à les appeler sables bitumineux. Le maître mot à Fort McMoney est big.

Le déversement des plastiques dans les océans pourrait décupler d’ici à dix ans LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart A défaut de profonds changements dans la gestion des déchets, la quantité de matières plastiques déversées dans les océans pourrait décupler dans la prochaine décennie. Et plus la densité de ces particules dans l’environnement marin augmente, plus la probabilité est grande qu’elles finissent par s’accumuler dans la chaîne alimentaire – c’est-à-dire, finalement, dans nos estomacs. Ce mouvement de retour à l’envoyeur a d’ailleurs déjà commencé. C’est, en substance, ce qu’assurent plusieurs travaux récents, dont les derniers, publiés vendredi 13 février dans la revue Science, sont les premiers à déterminer, pays par pays, les principaux contributeurs à la pollution des mers par le plastique. Selon le modèle développé par les chercheurs, le premier contributeur mondial serait la Chine, qui aurait déversé à elle seule, en 2010, près de 2,8 millions de tonnes de matières plastiques dans les océans.

Beneath the tar sands is even dirtier oil, and industry is salivating over it The price of crude oil has slumped to its lowest point in six years, and that has sent some major oil companies scrambling to get out of expensive tar-sands projects in Alberta, Canada. Shell has pulled out of one of its largest lease applications, and Petrochina is attempting to get rid of its tar-sands assets. Environmentalists have watched the slowdown with great hope. Yet at the same time, some of those very same companies are positioning themselves to tap into an even more dirty and expensive kind of oil in Alberta: bitumen carbonates. The little-known bitumen carbonates are a far more difficult-to-mine, more unconventional form of the molasses-like bitumen that’s already being extracted from the tar sands. Shell, Husky, tar-sands giant Suncor, and the dreaded Koch brothers have all snapped up leases in Alberta’s bitumen carbonates. Despite decades of attempts, though, no one has yet found a way to profitably mine them.

Agir contre la Pollution Ne baissez pas les bras ! Quelques recettes simples pourraient significativement changer les choses. Voici comment agir contre la pollution: Ne jetez rien dans la nature ! >> Chapitre suivant : L'environnement India may be the next big polluter to announce a climate plan India is poised to unveil a new climate plan as soon as January, an Indian business publication is reporting. That’s yet another bit of good news that makes a 2015 global climate agreement look just a little more likely. Up until now, India, the third-largest annual emitter of greenhouse gases, has been resistant to calls for limiting emissions. India’s announcement could come this January, when President Obama visits the country at the invitation of Prime Minister Narendra Modi. The process to make fresh and enhanced commitments to the international community was in the works for the past few months, with the government commissioning studies to assess and project India’s greenhouse gas emissions. India’s timeline (that is, its timeline for announcing its pollution-cutting timeline) fits with what U.N. climate negotiators are hoping for. Of course, this initial Business Standard report won’t quite have climate hawks doing gleeful backflips.

85% des Français ignorent la cause réelle de l’effet de serre, selon un baromètre ADEME Détails Les molécules d'au moins trois atomes, ou gaz à effet de serre, piègent les rayons infrarouges du soleil. Grâce à eux, la température moyenne au sol est actuellement de l'ordre de 15°C contre -18°C s'ils n'existaient pas. Cependant, si leur quantité augmente, on comprend que cela provoque un réchauffement global supplémentaire croissant. Apportant plus d'énergie au sein du système dynamique que représente la machine terrestre, ce réchauffement se traduit par des désordres climatiques qui seront eux aussi croissants. Doc. Les Français seraient-ils pour la grande majorité assez mal informés sur la question climatique ? La “couche d’ozone” est identifiée par environ 1/5 des personnes comme cause de l’effet de serre... En 2014, à la question “En quoi consiste, selon vous, l’effet de serre ?” 18 % incriminent pour leur part “les phénomènes de pollution de l’air sans mentionner pour autant la présence de gaz ou de CO2.

6 Climate Tipping Points: How Worried Should We Be? | Care2 Causes This is a guest post from Ilissa Ocko, senior vice president of strategy and communications at Environmental Defense Fund. One of the biggest fears about climate change is that it may be triggering events that would dramatically alter Earth as we know it. Known to scientists as “tipping events,” they could contribute to mass extinction of species, dramatic sea level rise, extensive droughts and the transformation of forests into vast grasslands – among other upheavals our stressed world can ill afford. Here are the top six climate events scientists worry about today. 1. The melting of the Arctic summer ice is considered to be the single greatest threat, and some scientists think we’ve already passed the tipping point. As sea ice melts and the Arctic warms, dark ocean water is exposed that absorbs more sunlight, thus reinforcing the warming. 2. The warming of the Arctic may also render Greenland largely ice-free. Other vulnerable American cities include Miami, Norfolk and Boston. 3. 4. 5. 6.

Un Nobel d’économie peut-il raisonner comme un abruti ? Avec raison, les deux auteurs relèvent que l’actuel système de négociation ne peut être efficace car chaque pays invité à faire connaître sa contribution à la lutte contre le réchauffement « est fortement incité à laisser aux autres la charge de réduire les émissions de gaz à effet de serre». Mais le simplisme de l’alternative qu’ils proposent est pour le moins stupéfiant : « L’approche consensuelle chez les économistes pour résoudre ce problème de « passager clandestin » consiste à imposer un prix uniforme aux émissions. Cette stratégie incite les pollueurs à engager tous les efforts de réduction des émissions dont les coûts sont en deçà de ce prix. Elle garantit à la collectivité que le bénéfice environnemental est maximal pour un sacrifice collectif donné (…). Nous privilégions donc un système de marché de permis d’émission, dans lequel une organisation multilatérale attribuerait aux pays participants, ou leur vendrait aux enchères, des permis échangeables »,

Laurent Fabius : « Le financement est un point clé pour un accord sur le climat » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Simon Roger Dans un entretien donné à sept grands quotidiens représentant le G7, le ministre des affaires étrangères français, qui présidera à la fin de l’année à Paris la conférence des Nations unies sur le climat, entend mobiliser les pays riches Le sommet du G7 des 7 et 8 juin à Elmau, en Allemagne, prévoit d’accorder une large place aux enjeux climatiques. Que peut-on en attendre ? Nous souhaitons que soit adopté l’objectif mondial de réduction de 40 à 70 % des émissions de gaz à effet de serre entre 2010 et 2050, objectif défini par le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat [GIEC] et compatible avec les 2 °C, le seuil au-delà duquel la communauté scientifique met en garde contre les effets irréversibles du réchauffement climatique. Quand ce système d’alerte des catastrophes et ce plan d’investissement pourraient-ils voir le jour ? Ce n’est pas à moi de donner des notes.

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