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"La" femme et le grand écran

"La" femme et le grand écran
Chroniques Créé le mardi 3 février 2015 14:50 Écrit par Virginie Despentes « On finit tous par manger cette évidence qui nous est rabâchée par les décideurs du septième art : les hommes c'est l'action et les femmes c'est la petite culotte ». L'édito décapant de Virginie Despentes écrit pour le catalogue des 15es Journées cinématographiques dionysiennes Femmes Femmes. Le cinéma est une industrie qui n’est pas interdite aux femmes. Mais c’est une industrie inventée, manipulée et contrôlée par des hommes. Il suffira pour s’en convaincre de s’intéresser au genre des producteurs de films grand public, des responsables du financement cinéma dans les chaînes télé, des directeurs des grands réseaux de distribution, des directeurs des grands festivals de cinéma, des programmateurs de salle, des critiques cinéma ou des réalisateurs primés dans les grandes compétitions. Qu’est-ce que ça se lave, une femme, au cinéma… Petite culotte et AK47 Le test Bechdel Virginie DESPENTES Lire aussi : Related:  Féminisme

Accueil | Éditions iXe Everything You Need to Know About the Radical Roots of Wonder Woman Her enigmatic creator believed women were destined to rule the world. 10 facts about the iconic heroine. By Christopher Zumski Finke / Yes! All these things are true about Wonder Woman: She is a national treasure that the Smithsonian Institution named among its 101 Objects that Made America; she is a ‘70s feminist icon; she is the product of a polyamorous household that participated in a sex cult. Harvard historian Jill Lepore claims in her new book, The Secret History of Wonder Woman, that Wonder Woman is the “missing link in a chain of events that begins with the women’s suffrage campaigns of the 1910s and ends with the troubled place of feminism fully a century later.” She comes out of the feminist movements of women’s suffrage, birth control, and the fight for equality. The hero and her alter ego, Diana Prince, were the products of the tumultuous women’s rights movements of the early 20th century. Wonder Woman first appeared in Sensation Comics #1 in December 1941.

Meet Gwar's New Frontwoman: Vulvatron | Ravishly For all you '90s bitches out there who loved the indie flick Empire Records (I promptly bought Doc Martens 4 days after viewing it, much to my mother's chagrin), you might remember the character of Marc, who was obsessed with the thrash metal, horror circus band Gwar. (Which, as Wikipedia reminds us, should not be confused with guar, an annual legume.) Founded in 1984 in Richmond, Virginia, Gwar is nothing short of a cult phenomenon, toggling between "shock rock," satire, performance art, and a Halloween aficionado's wet dream. Comprised of a rotating cast of musicians, filmmakers and artists (known as Slave Pit Inc.), Gwar boasts elaborate costumes and decidedly twisted stage shows, which offer up everything from human sacrifice (often celebrities and politicians) to unhinged monsters. And everything—and I mean everything—gets soaked in (fake) blood. Audience included. A hush fell over the metal community; who on God's green earth could fill Brockie's sadistic shoes? Vulvatron.

More Than a Superhero: How Wonder Woman Helped Shape Feminism | Ravishly It's no secret that the comic book world is chock full of crime-fighting male superheroes: Iron-Man, Superman, Batman, Spider-Man, Captain America, Wolverine, Professor X, Magneto, The Hulk, The Green Lantern . . . need we go on? Amid this veritable mass of testosterone, one woman has stood tall, golden lasso in hand, as a bona fide beacon of hope for the arguably fairer but never lesser sex: Wonder Woman. Full Poster: Photo courtesy of CNN So it should come as no surprise that the recent announcement that Wonder Woman would play a key role in the upcoming Batman vs. Superman film (divulged just this weekend at Comic-Con) was met enthusiastically by women (and men!). Still others marveled at what this could mean for modern feminism. If this sounds silly, it shouldn't. 1941: Wonder Woman Created by Harvard-Educated Proto-Feminist In an interview with Family Circle in 1942, Marston further expressed his desire for a new kind of female icon: We'll just to wait until May 2016 (!)

Romy Idol - Ras-le-bol des dîners de filles Tous les vendredis, retrouvez les aventures de Romy Idol. Mecs, boulot, famille, quotidien: Romy, c’est nous en pire. Ce soir, je suis conviée à un “dîner de filles”. Le danger vient en fait des convives: quand l’objet du mail est intitulé “dîner de filles”, il y a déjà toutes les raisons de s’inquiéter. “Je ne suis pas en manque de conversations de meufs, et, quitte à ne pas voter pour la parité, c’est avec sept mecs que je préfèrerais passer la soirée.” J’ai déjà mon quota de filles Étant donné que je vis seule depuis pas mal de temps, je ne partage pas mon quotidien avec un être testostéroné comme la plupart de mes copines hétéros maquées. J’ai même dans mon entourage des amies en couple, avec lesquelles je dîne régulièrement sans leur mec, et aussi incroyable que cela puisse paraître, on n’a jamais labellisé aucun de ces rendez-vous “rendez-vous de filles”. Je veux bouffer des pizzas Le principal écueil du dîner de filles est souvent le menu. J’en ai marre de parler de cul Romy Idol

Atlas of Beauty : le tour du monde de la beauté des femmes en photos La photographe roumaine propose sa vision de la beauté féminine dans 37 pays. © ©MihaelaNoroc Suivez l'actualité de terrafemina.com sur Facebook Recenser la beauté à travers le monde n'est pas une mince affaire. La photographe Mihaela Noroc s'est lancée dans cette entreprise à travers un atlas de la beauté proposant des portraits de femmes réalisés dans 37 pays. « La beauté n'est que la promesse du bonheur », disait Stendhal. « Mettre en lumière la beauté de leurs différences » De son périple, Mihaela Noroc a tiré une série de portraits, baptisée The Atlas of Beauty. Terrafemina a sélectionné une série des magnifiques photographies de Mihaela Noroc. Sarah à San Francisco / ©MihaelaNoroc Mode et féminisme, un flirt paradoxal ? Les collaborations entre marques grand public et jeunes artistes dites « féministes » fleurissent dans le monde de la mode et peuvent sembler contradictoires. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alice Pfeiffer Comme à chaque début d’année, le magazine anglais prescripteur Dazed & Confused a publié son « Dazed 100 », une liste des 100 personnalités considérées comme les plus influentes du moment dans l’univers de la mode. Sans surprise, son cru 2015 est un inventaire de mannequins du moment, créateurs en vogue, muses olé olé, coiffeurs branchés et autres figures qui nourrissent l’univers du vêtement. Depuis plusieurs années, le terme « féminisme » est brandi à tout va par des chanteuses populaires comme Miley Cyrus, Taylor Swift ou Beyonce. « L’Origine du monde » réinterprété Petra Collins, jeune photographe canadienne à l’origine du collectif artistique « The Ardorous », s’est d’ailleurs imposée comme chef de file de cette tendance « stylistico-féministe ». Sa dernière création ?

Analyse de la presse féminine Éloïse Bouton, il y a une vie après les Femen “Aujourd’hui, je préfère être militante en solo.” Eloïse Bouton, 31 ans, a passé deux ans au sein d’une des organisations féministes les plus médiatisées : les Femen. En 2012, elle pose en couve du best of des Inrocks aux côtés de l’Ukrainienne Inna Shevchenko. Avant de claquer la porte. La rousse Eloïse explique dans Confession d’une ex-Femen pourquoi elle a quitté le mouvement. Eloïse Bouton découvre le féminisme au lycée avec Violette Leduc et Simone de Beauvoir. De retour en France, Eloïse cherche son “groupe” : elle va à quelques réunions de Ni putes ni soumises, puis rejoint Osez le féminisme ! Quand elle découvre les Femen, elle pense avoir trouvé LE groupe féministe idéal, et s’engage, avant même que celles-ci créent leur antenne parisienne. “Un camp d’entraînement” à la Goutte d’or A-t-elle l’esprit de revanche ? Condamnée pour “exhibition sexuelle” Le sein nu féminin est-il donc forcément sexuel ? En 2012, Eloïse Bouton en une des “Inrocks” avec Inna Shevchenko

Rétrospective 2014 : les "premières" Ca fait du bien Créé le mardi 23 décembre 2014 13:06 Écrit par la rédaction En 2014, nous avons souvent écrit « c’est la première femme à… » Signe que la présence des femmes dans certains milieux autrefois masculins est encore loin d’être évidente. Et surtout, le progrès n’arrive jamais tout seul. Commençons par la plus retentissante accession au pouvoir en France, celle d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris. Economie : Sabine Lautenschläger, Isabelle Kocher, Valérie Rabault, Michèle André... Dans le monde économique, il aura fallu un long bras de fer, entamé en 2012, entre le Parlement européen et la Banque centrale européenne pour que l'Allemande Sabine Lautenschläger intègre en début d'année le directoire de la BCE. Les entreprises françaises du CAC 40 sont toutes dirigées par des hommes. Deux femmes politiques se sont par ailleurs installées cette année à des postes stratégiques en matière économique. Sciences : Maryam Mirzakhani, Fabiola Giannoti.. Photos : 2 – Isabelle Kocher © GDF-Suez

Voilée et féministe de gauche ? | sexisme et gauche Sylvia Nerina Les temps changent, l’oppression sexiste évolue et prend de nouvelles formes, mais certaines lignes directrices restent, comme notamment l’entrelacement entre sexisme et racisme qui donne toujours des cocktails détonants. Le débat autour des « filles voilées » a fait couler beaucoup d’encre. Ces « filles voilées », présentées comme un concept et souvent peu comme des personnes avec une opinion. A droite, on invoque les luttes de « nos » féministes pour le droit à exposer leur corps pour justifier d’interdire à des jeunes filles portant le voile de se rendre à l’école si elles refusent de se soumettre à « nos » usages. Le problème est qu’à gauche aussi on entend très (trop) souvent un discours similaire. Fondamentalement chaque féministe est libre de définir le féminisme à sa façon. J’ai pu remarquer que fondamentalement autant à droite, qu’à gauche, que chez certaines féministes, on n’écoute pas ces jeunes (et maintenant moins jeunes) filles. J'aime : J'aime chargement…

Éditions Des femmes Pourquoi la journée de la femme divise les femmes La journée du 8 mars a été officiellement décrétée Journée de la Femme par l’ONU en 1977. Nous avons demandé à des femmes, activistes féministes ou pas, ce qu’elles pensaient de cette initiative. Le 8 mars n’est pas une fête “Journée internationale de la femme”, ”journée des droits des femmes”, “journée de lutte pour les droits des femmes”, “journée des femmes” ou encore tout simplement “journée de la femme”… La multiplication des termes pour désigner le 8 mars n’est clairement pas anodine. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles il règne autant de scepticisme à l’égard de cette journée symbolique. “La Femme c’est un groupe de rock et je ne crois pas qu’ils aient déjà une journée rien que pour eux, si ? Pour Florence*, qui travaille dans les droits de l’homme, son avis au sujet de cette journée a évolué au fil des années. ”Au début, je trouvais ça aussi con que la Saint Valentin : on n’a pas besoin d’une fête inventée par les fleuristes et chocolatiers pour se prouver son amour.

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