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Intelligence artificielle: attention danger, même Bill Gates a peur!

Intelligence artificielle: attention danger, même Bill Gates a peur!
Quel est le point commun entre Stephen Hawking, Bill Gates et Elon Musk ? Le scientifique, le co-fondateur de Microsoft, et celui de Tesla et SpaceX pensent que l'intelligence artificielle constitue une menace pour l'humanité. Bill Gates est le dernier des trois à avoir pris position sur le sujet, la semaine dernière, au détour d'une session de questions-réponses sur Reddit. "Je ne comprends pas pourquoi les gens ne sont pas inquiets" "Je suis de ceux qui s'inquiètent de la super-intelligence. Elon Musk joue depuis quelques temps le rôle du Cassandre de l'intelligence artificielle. Le célèbre physicien Stephen Hawking, à qui l'on doit des avancées théoriques significatives dans le domaine des trous noirs et de la création de l'univers, se montre lui aussi pessimiste. Impossible d'anticiper l'ensemble des effets pervers Pourquoi tant de méfiance à l'égard de nos futurs systèmes informatiques ? Dangereux parce que "complètement con"? 10 millions de dollars pour la sécurité de l'IA Related:  intelligence artificielle

Intelligence artificielle "L'intelligence artificielle n'existe pas!" Dans son dernier essai, Luc de Brabandere, "philosophe d'entreprise", remonte aux sources de l'informatique moderne. Et s'interroge sur la part d'ombre que porte l'essor des technologies numériques. Article premium Intelligence: l'homme contre la machine L'intelligence artificielle est déjà là. Demain, tous codeurs? Ce n'est pas parce qu'une technologie est ubiquitaire que tout le monde doit s'y former. Roborace: demain, des courses de Formule 1 sans pilote? Alors que le Grand Prix de Monaco se tient ce dimanche 28 mai, l'industrie automobile réfléchit à l'avenir: un championnat de voitures où l'intelligence artificielle remplace le pilote.

L’intelligence artificielle : la bataille commence L’intelligence artificielle L’intelligence artificielle est fondée sur différentes théories de calculabilité. C’est dans les années 1930 à l’université de Princeton aux États-Unis qu’émerge la thèse de Church (0) qui servira de pierre angulaire pour ce qui est aujourd’hui désigné comme l’IA. La thèse de Church s’appuie sur des fonctions générales récursives et cherche à démontrer que tout ce que peut réaliser un système physique ou mécanique peut être exprimé par un ensemble de règles de calcul. De ses travaux, il en sortira le personnage clé et précurseur de l’intelligence artificielle : Alan Turing. En octobre 1950, il publie son article intitulé « L’ordinateur et l’intelligence » dans la revue philosophique Mind (1). C’est pendant l’été 1956 que l’intelligence artificielle fut considérée comme un domaine de recherche, suite à la conférence du campus de Dartmouth College (2). L’algorithme, c’est la manière dont les données sont véhiculées vers l’entrée. De nos jours Les résolutions

« La matinale des scientifiques » : Faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ? 2016 sera-t-elle, comme le titrait la Tribune, l’année de l’intelligence artificielle ? Mais à vouloir imiter notre cerveau, les machines pourront-elles devenir plus intelligentes que lui, voire à terme, le dominer ? Le journal des idées de Jacques Munier Les Enjeux internationaux par Thierry Garcin La revue de presse internationale de Thomas Cluzel Le Monde selon Caroline Fourest, Philippe Manière, Caroline Eliacheff et Hubert Védrine Les idées claires, par Brice Couturier Le billet politique de Benoît Bouscarel L'invité des Matins « La matinale des scientifiques » : Faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ? Avec Marylène Patou-Mathis, Lionel Naccache, Jean-Gabriel Ganascia, Gérard Berry, Jean-Philippe Uzan, Christophe Galfard, Claire Mathieu, Chantal Desdouets, Matthieu Cord, Nathalie Deruelle. Et à 8h40, la Revue des Matins La revue de presse de Nicolas Martin La revue musicale de Matthieu Conquet

La fin est proche: les ordinateurs peuvent s'apprendre des choses entre eux, comme jouer à Pac-Man Jusque-là, les «humains avaient un avantage significatif sur les ordinateurs et les robots, écrit Gizmodo. Nous autres sacs à viande étions les seuls à pouvoir leur apprendre comment fonctionner». Un privilège décisif que l'humanité est peut-être sur le point de perdre... Des chercheurs de l'université d'Etat de Washington ont en effet créé des «ordinateurs qui peuvent enseigner à d'autres ordinateurs», poursuit Gizmodo. Et le site de la fac en question de compléter: publicité «[Ils] ont développé une méthode permettant à un ordinateur de donner des conseils et de transmettre des compétences à un autre ordinateur d'une manière qui imite la façon dont un vrai enseignant et un étudiant pourraient interagir.» Sauf qu'ici, l'interaction se produit via un algorithme subtilement calibré. Plus croustillant encore, cette expérience qui signe peut-être l'avénement prochain d'un monde à la Skynet, s'appuie sur... des jeux vidéo! «[...] À lire aussi sur Slate.fr

Intelligence Artificielle et Transhumanisme – Transhumanisme, Post-Humanisme, Immortalité, Neuroscience, Sciences Cognitives, Ethique, Bioéthique, Génétique, ADN, Thérapie Génique, Implants, Nanotechnologies, NBIC, Biotechnologies, Intelligence Artificiel L'histoire du développeur qui aurait dû lire Kant A l’origine, la confession d’un développeur américain du nom de Paul Sourour publiée sur le site Medium. Dans cet article intitulé “Le code dont j’ai encore honte”, Paul Sourour raconte que dans les années 2000, alors qu’il était jeune programmateur, il a été engagé par une entreprise de marketing canadienne, dont les principaux clients étaient des laboratoires pharmaceutiques. La loi canadienne étant assez stricte sur la publicité pour les médicaments, et interdisant la promotion directe d’un traitement, le site se présentait comme une plateforme d’information et fabriquait des quizz qui, quand les internautes y répondaient, les orientaient vers tel ou tel traitement en fonction des réponses. Paul Sourour se voit confié la fabrication d’un quizz à destination des jeunes filles. Eh bien, il y en a peut-être une, qui tient à ce qu’est devenu le code informatique dans nos sociétés.

États-Unis : le Congrès américain débat sur l’intelligence artificielle, les robots et le revenu de base – Intelligence Artificielle et Transhumanisme Fin mai 2016, le Joint Economic Committee (JEC) du Congrès et du Sénat américain a tenu une audience de deux heures intitulé « L’impact disruptif des robots et de l’automatisation » (voir la vidéo ci-dessous). Cette intervention a été dispensée par Andrew McAfee, chercheur au MIT et co-auteur de « The Second Machine Age » ; Adam Keiper, éditeur de « The New Atlantis » et membre du Ethics and Public Policy Center de Washington ; ainsi que le Docteur Harry Holzer, économiste, co-fondateur et directeur du Georgetown Center on Poverty, Inequality and Public Policy de Georgetown University. → La Maison Blanche annonce une série d’ateliers publics sur l’avenir de l’IA → Une conversation de la maison blanche en Live sur l’automatisation M. Keiper a évoqué le revenu de base comme une possibilité, mais ce dernier est principalement inquiet de la perte du nombre d’emplois dans la mesure où, selon lui, l’emploi constitue une « source de stabilité, d’amitié et d’accomplissement ». Fichiers associés

Deux IA ont communiqué dans une langue indéchiffrable par l'homme Google Brain, le programme de recherche en intelligence artificielle du géant Google, vient de franchir un palier étonnant et quelque peu inquiétant. En effet, deux ordinateurs sont parvenus à communiquer entre eux dans une langue qu’ils avaient eux-mêmes créée, une langue indéchiffrable par l’homme. Dans le cadre de la recherche sur le Deep Learning, à savoir la manière dont des ordinateurs peuvent évoluer de façon autonome grâce à des algorithmes, le programme de recherche en intelligence artificielle du géant Google baptisé Google Brain a franchi un grand cap. En effet, les chercheurs sont parvenus à faire communiquer deux IA nommées Alice et Bob entre elles, alors que de son côté, une troisième IA du nom d’Eve avait pour but d’intercepter leurs communications. Alors qu’ils n’avaient mis aucun algorithme spécifique en place, les chercheurs ont constaté que ces deux ordinateurs ont sécurisé leurs communications par le biais d’un chiffrement qu’ils avaient eux-mêmes développé.

L’intelligence artificielle et l’automatisation : seulement 1,5 % des emplois perdus pourraient être remplacés par les emplois créés – Intelligence Artificielle et Transhumanisme Joblift étudie les effets de l’intelligence artificielle et de l’automatisation sur le marché de l’emploi Hambourg / Berlin, le 23 septembre 2016 – Le rythme du développement de l’industrie de l’intelligence artificielle (IA) et de l’automatisation en France s’impose comme un grand défi sur plusieurs secteurs d’emplois. Les postes de livreurs, facteurs et réceptionnistes comptent parmi les nombreux emplois à risque en raison de la place grandissante qu’occupe l’IA et l’automatisation. L’embauche dans les industries de l’intelligence artificielle et de l’automatisation est en pleine croissance, soit de 37 % de plus en moyenne au cours de la dernière année Joblift affiche plus de 5 296 offres actives dans le domaine de l’IA, incluant les emplois dans le secteur de l’automatisation. 39 % des employeurs dans le domaine de l’intelligence artificielle et l’automatisation sont à la recherche de diplômés ayant un Bac+5 source : A propos de Joblift:

Est-il inévitable que nous finissions par créer des machines plus intelligentes que nous ? - Un peu de futurologie. Un siècle est passé. L’intelligence artificielle a révolutionné notre monde. Nous sommes en 2116. Comment vivons-nous ? Bien. Son auteur, Robin Hanson n’est pas un romancier de science-fiction. Les « ems » de son livre sont les « emulations of human brains ». L’hypothèse selon laquelle nos systèmes sociaux, hyper-concurrentiels, ne seront pas capables d’empêcher, dans un avenir indéterminé, une domination par des super-intelligences artificielles, cette hypothèse agite beaucoup le monde des futurologues. Sam Harris est un essayiste à succès, auteur de 4 best-sellers, très appréciés des lecteurs du New York Times. - Evidemment ! Non. Rien ne dit que la loi de Moore, selon laquelle le nombre de transistors sur les circuits intégrés double tous les deux ans ne va pas atteindre une limite, car l’illimité n’existe pas, poursuit Floridi.

Les algorithmes régissent-ils nos vies ? A l'heure du Big Data, les algorithmes sont désormais utilisés partout. Face au croisement massif de l'ensemble de nos données numériques, représentent-ils une menace pour la protection de notre vie privée, ou au contraire sont-ils désormais un outil indispensable vers le progrès de nos sociétés ? A l’heure du Big Data, les algorithmes ont envahi presque tous les services en ligne, facilitant les services numériques qui nous entourent. Ils sont partout, depuis les deux grands géants d’internet, Google et Facebook, à la musique (Spotify et Deezer), en passant par la vidéo (Netflix), jusqu'à Amazon, touchant l’ensemble de nos objets connectés de la vie quotidienne. Désormais, toutes les données émises par les utilisateurs d’outils informatiques deviennent potentiellement susceptibles de nous identifier, anticiper nos goûts, nos désirs et nos choix, tout autant que nos comportements futurs. Retrouvez ici la seconde partie de l'émission Intervenants

Partenariat sur l’IA : les géants de la Tech s’unissent pour développer l’intelligence synthétique – Intelligence Artificielle et Transhumanisme Cette semaine, Google DeepMind, Microsoft et IBM sont rejoints par Facebook et Amazon pour former un partenariat sur l’intelligence artificielle au profit des populations et de la société. Les cinq entreprises partenaires sont leaders dans leur propre droit en ce qui concerne le développement de l’intelligence artificielle. → Intelligence artificielle : Elon Musk fonde OpenAI L’un de ses trois principaux objectifs est la nécessité de faire avancer la compréhension du public de l’intelligence artificielle. Les deux autres objectifs sont de fournir un soutien de recherche pour développer les meilleures pratiques pour aborder les sujets de préoccupation sur « l’éthique, l’équité et l’inclusivité », et de servir de plate-forme pour tous les autres chercheurs en IA et les parties prenantes potentielles pour aborder les questions pertinentes. Credits: partnershiponai.org Fortune, Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society, Wired J'aime : J'aime chargement…

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