background preloader

Presse gratos

Facebook Twitter

Prseentation_PMP_5052011. Au sein du ministère de la Culture et de la Communication, la direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) définit, coordonne et évalue la politique de l’État en faveur du développement du pluralisme des médias, de l’industrie publicitaire, de l’ensemble des services de communication au public par voie électronique, de l’industrie phonographique, du livre et de la lecture et de l’économie culturelle. Dans ce cadre, elle propose et coordonne la mise en œuvre de mesures destinées à favoriser le développement des industries culturelles, du mécénat et du marché de l’art. Elle suit les activités du Centre national du cinéma et de l’image animée. La direction générale des médias et des industries culturelles comprend : La direction générale des médias et des industries culturelles: 2010. Selon France Pub*, qui publie chaque année le bilan des investissements en communication des annonceurs, 2016 pourrait être une année de très légère reprise, avec une hausse prévue de 0,1 % en net.

Après une année 2015 en baisse (- 0,8 %), cette évolution serait rendue possible par une croissance attendue de l'économie de 1,4 % et le maintien de la consommation des ménages (+ 1,8 %). L'Euro 2016, qui aura lieu en France, et les Jeux olympiques pourraient également permettre de soutenir l'activité publicitaire nationale. Répondant notamment à la demande réitérée de l'UDA, France Pub a ajouté cette année à son périmètre historique ("médias/hors-médias") des investissements en communication des annonceurs, une première valorisation des "médias propriétaires", comprenant la création de sites et d'applis, la gestion, l'exploitation et l'analyse des différentes bases de données (targeting, datamining), la création de contenus (brand content) et l'animation de réseaux sociaux. Les gratuits dans la course au million. L'offre print + web de Direct Matin.

Bolloré espère équilibrer « Direct Matin » en 2011. Direct matin change de couleur et de format le 24 juin pour accueillir la campagne SFR. Bolloré Média lance Direct femme. Direct Marseille plus. 20minutes.fr, information en continu. Actualités, Politique, Football, People, High Tech. DOSSIER : La presse d'information gratuite. Historique rapide des fondateurs Financés exclusivement par la publicité, présents dans une vingtaine de pays, les journaux gratuits sont édités essentiellement par deux groupes scandinaves très puissants, le suédois Metro International, éditeur du quotidien gratuit français Metro et le norvégien Scibsted, éditeur de 20 Minutes .

Metro : lancé le 13 février 1995 à Stockholm (Suède). Il est détenu à 65,7 % par Metro International et à 34,3 % par TF1 depuis septembre 2003. En 2002, toutes éditions confondues, Metro revendique plus de 9 millions de lecteurs, ce qui le hisserait à la 5 e place des quotidiens les plus lus au monde. Le 1 er février 2005, Metro s'est lancé à Nantes (20 000 exemplaires), Rennes et Strasbourg (15 000 ex. chacun). Chiffre d'affaires multiplié par cinq en trois ans, passant de 4,1 millions d'euros en 2002 à 20,6 millions d'euros en 2004 grâce à 659 annonceurs.

Début mars, 20 Minutes , propriété pour moitié du groupe Ouest France s'est installé à Rennes. Pourquoi ? Presse écrite : en 2011, suite de la chronique d’une mort annoncée ? {*style:<b> </b>*} Il est devenu terriblement banal de parler de l’agonie de la presse écrite. Elle serait au bord de l’effondrement, et ce n’est pas ce début d’année 2011, dernière période d’engagement exceptionnel de l’Etat suite aux états généraux de la presse en 2008, qui est fait pour rassurer. Cette année, selon Owni , le secteur devrait de nouveau toucher 464 millions d’euros de la part de l’Etat.

Un vrai «système d’assistance respiratoire permanente» pour reprendre l’expression d’Aldo Cardoso, consultant éponyme d’un rapport remis au ministère de la culture et de la communication sur les aides publiques à la presse, qui doit s’arrêter en 2012. Une diffusion nationale divisée par deux depuis l’après seconde guerre mondiale Bref, la PQN, et la PQR dans une moindre mesure, sont en mal d’un modèle économique non déficitaire, que l’Etat se doit de compenser dans un souci de maintient, aussi artificiel soit-il, d’un pilier de notre démocratie : la liberté d’expression.

L'actu locale à Marseille. OJD. La presse gratuite.