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Etude de gestion

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Évolution du marché de la musique préenregistrée à l'ère numérique. La musique numérique pèse 28 % du marché en France. La part du numérique dans le marché de la musique enregistrée continue de progresser. Les dernières statistiques fournies par le syndicat national de l'édition phonographique (SNEP) révèlent que celle-ci s'établit désormais à 28,2 % du secteur. Cette part n'était que de 21,7 % au premier trimestre 2011.

Le marché physique en revanche est toujours en baisse, avec une chute de 13 %. Dans le détail, ce sont les abonnements et le streaming qui tirent leur épingle du jeu. Leurs revenus sont en effet en forte progression, passant de 34 % au premier trimestre 2011 à 39 % aujourd'hui. Mais le marché de la musique numérique reste malgré tout dominé par les achats réalisés sur les plates-formes légales. En définitive, le grand perdant est sans conteste la téléphonie mobile qui voit sa part fondre comme neige au soleil. Le marché de la musique enregistrée continue donc sa mutation en France, où le marché physique cède de plus en plus sa place au marché numérique. Musique : le numérique tape les 50% de parts de marché au Royaume-Uni. Après les Etats-Unis, l’Angleterre atteint aussi le seuil de bascule entre les ventes physiques et en ligne de musique dématérialisée.

Le marché anglais de la musique est l’un des plus dynamiques. Ses évolutions d’un trimestre à l’autre sont le résultat d’amplifications des variations du marché mondial. Si le début d’année fut donc plutôt médiocre, avec une baisse sensible des ventes en ligne comme physiques des Etats-Unis à la France, la seconde partie de ce semestre s’annonce d’une toute autre tonalité. L’offre est au rendez-vous depuis le mois d’avril avec une série d’albums qui ont permis au marché de renouer avec de meilleurs chiffres, et surtout au « digital » de prendre une part très significative. En terme de valeur le marché anglais est donc désormais composé à 51,4% de ventes effectuées en ligne sur des plateformes de ventes : iTunes apparait comme le grand gagnant dans cette affaire.

Stream contre téléchargement. Le marché de la musique confirme son embellie. Le chiffre d'affaires du secteur de la musique progresse de 7,2% par rapport à l'année 2012, malgré le piratage et les résultats décevants du numérique. Le marché de la musique confirme son rebond. C'est en tout cas ce qu'affirme le Syndicat national de l'édition phonographique. Le SNEP présentait jeudi les résultats du secteur pour le troisième trimestre 2013. Il a réalisé un chiffre d'affaires de 316,9 millions d'euros, soit une progression de 7,2 % par rapport à l'année précédente.

Cette embellie succède à celle du premier semestre, qui s'élevait à 6 %. Le numérique déçoit Des chiffres dont s'est félicité Guil­laume Leblanc, directeur général du SNEP, qui souhaite néanmoins rester prudent pour les résultats du dernier trimestre. S'adapter au grand public «Il faut que les sites de streaming fassent davantage parler d'eux et qu'ils améliorent leurs offres», affirme Stéphane Le Tavernier, président du SNEP. Le SNEP s'inquiète aussi de la «concurrence déloyale» du piratage en ligne. Chiffres clés : le marché français de la musique sur Internet.

Physique Laisse-moi streamer... - Le marché global de la musique en France a cessé de reculer depuis désormais trois ans. 2016 fut ainsi l'année de la rupture pour cette industrie. En 2018, la croissance (1,8%) a cependant marqué le pas par rapport aux deux années précédentes (+5.4 % en 2016 et +3,9% en 2017). Le marché total de la musique atteint désormais 735 millions d’euros. « Si la hausse est modeste, ce résultat reste évidemment une bonne nouvelle pour le secteur de la production musicale. Il confirme la tendance positive constatée ces dernières années, après plus d’une décennie de baisse spectaculaire et traduit le fait que la musique enregistrée a assurément retrouvé un business model en s’adaptant aux nouveaux usages des consommateurs » commente le Snep.

Et comme le relève le syndicat, le ressort de cette croissance est cette année encore le streaming, dont la progression (+26%) permet de compenser la baisse d’autres segments de marché. Télécha… Stream… Abos audio Téléchargement. Musique en ligne, achat, ecoute. Les ventes de musique en téléchargement et en streaming ont reculé de 5,2% au premier trimestre, pour la première fois sur ce marché censé être le relais de croissance de l'industrie musicale. Google pourrait annoncer ce mercredi le lancement d'un service d'écoute de musique en ligne lors de sa conférence Google I/O, selon les informations du Wall Street Journal.

Même si le magasin en ligne d'Apple reste maître de son royaume, Amazon tente d'asseoir sa deuxième place et ses 22% de parts de marché, contre les 63% de la pomme, selon une étude américaine de NPD Group. Le marché de la musique a stoppé son déclin, grâce à la progression des ventes de musique en ligne. C'est le streaming, sous toutes ses formes, qui dynamise la croissance. Les ventes mondiales de musique ont augmenté de 0,3% en 2012, soit la première hausse depuis 1998. La hausse des ventes dématérialisées ne compense toujours pas la chute du marché physique, les ventes totales reculant de 4,4% en 2012 selon le Snep. Internet réinvente le commerce. Apparition de nouveaux acteurs, bouleversement des modes de commercialisation, modification des relations entre offreurs et clients…, le commerce en ligne bouscule le fonctionnement des marchés. + 28% aux Etats-Unis en 2005, + 44% en France: nanti d'une croissance à deux chiffres depuis dix ans, le commerce électronique ne connaît pas la crise.

Mais son poids total dans l'économie reste encore faible: 2,4% du chiffre d'affaires du commerce de détail aux Etats-Unis au dernier trimestre 2005, selon l'US Census Bureau. Un peu moins de 1% de la consommation des ménages en France, selon les chiffres du Sessi, le Service des statistiques industrielles du ministère de l'Economie. L'impact d'Internet sur le fonctionnement des marchés ne se mesure toutefois pas seulement à l'aune de ce chiffre.

Cependant, loin de favoriser une "désintermédiation" générale comme on le pensait souvent, Internet a surtout favorisé l'émergence de nouveaux intermédiaires géants, comme Google par exemple. 1. 2. 3. 4. La mort des maisons de disques ferait plus de mal que de bien à la musique. Les industries de contenus, majors et indépendants doivent s’unir pour devenir des interlocuteurs crédibles et suffisamment forts face aux géants de l’internet. Pour Patrick Zelnik, la musique a été littéralement « bousculée par Internet ». Dorénavant, plutôt que de se méfier des nouvelles technologies, il préconise de suivre leurs évolutions et de les réguler. Naïve l’a bien compris et est en train d’opérer sa transition digitale. Car l’Internet et les industries de contenus sont désormais indissociables : que serait l’Internet s’il n’a rien à montrer ? Et comment les artistes peuvent-ils se faire connaître sans Internet ? Les industries créatives doivent évoluer, les conditions de la pluralité des acteurs doivent être créées, pour que demain, l’Internet devienne le vecteur d’une offre riche et diversifiée.

Quels sont les effets les plus importants de la Révolution numérique sur les acteurs de l’industrie musicale et en particulier sur votre métier ? Je crois que vous employez le bon terme en parlant de Révolution. La diversification des activités deviendrait selon vous la planche de salut de l’industrie musicale ? Je le pense. Après le disque physique et la distribution numérique, les maisons de disques seraient-elles en train de perdre leur main mise sur le publishing ? | DIGICULT.

La crise du disque entraîne de profonds bouleversements dans les relations qu’ont les artistes avec les maisons de disques. Auparavant, la maison de disque ou le label intervenait à tous les niveaux. Un artiste en contrat avec sa maison de disque n’avait généralement pas intérêt ni l’intention d’aller voir ailleurs. Ce temps est révolu, et la baisse des ventes de disques physiques modifie totalement la donne. Si comme je le pense, le disque physique va presque disparaître dans les toutes prochaines années, ce bouleversement risque de secouer fortement les habitudes et les relations entre artistes et la traditionnelle maison de disques.

Le Midem à vu émerger cette année le statut de l’artiste entrepreneur. L’artiste devient un média ou même une marque à part entière. La liste des artistes ayant rejoint Kobalt Music ne cesse de s’allonger : LMFAO, Joss Stone, No Doubt, Kid Cudi, Dave Stewart, Pearl Jam ou encore DJ Shadow se sont laissés séduire par les propositions de Kobalt Music. L’industrie musicale face au téléchargement. Depuis la fin des années 90, l’industrie du disque est en crise. Elle doit lutter contre les échanges massifs de fichiers musicaux sur les réseaux peer-to-peer, et elle peine aussi à s’adapter à des évolutions majeures du support musical (fin de vie du CD, apparition du MP3) et des modes de prescription (développement des communautés de consommateurs, outils logiciels améliorant l’appariement entre l’offre et la demande).

Or, si la baisse des ventes de disques est indéniable, on n’observe pas de baisse de l’intérêt des consommateurs pour la musique : la fréquentation des salles de concert n’a jamais été aussi importante, les radios musicales voient leurs parts d’audience progresser rapidement, les ventes de musique numérique connaissent une croissance exponentielle, de même que les achats de lecteurs MP3.

La crise ne peut donc se résumer à un effet des échanges de fichiers musicaux. Baisse des ventes de CD et piratage Nouvelles formes de promotion de la musique. Fiche détaillée du mémoire. “Il est indispensable de réguler le marché du numérique” Le numérique va-t-il plus vite que la musique ? L’industrie musicale, à la fois chahutée et challengée par le digital, se transforme, se diversifie et se développe sur de nouveaux marchés.

Les artistes y trouvent une autre façon de toucher leur public, les producteurs s’en emparent pour développer l’audience de leurs artistes, ils créent de nouveaux modèles économiques et diversifient leurs activités. Le public, lui, n’a jamais autant consommé de musique. Depuis une décennie, le digital n’a cessé de révolutionner le marché de la musique. Les usages et la consommation musicale ont évolué. Le consommateur écoute désormais sa musique partout où il se trouve, il la partage avec ses amis et il suit ses artistes préférés sur les réseaux sociaux. Entre-temps, de nouveaux acteurs sont apparus, prenant une place de plus en plus importante dans les habitudes du public.

En mai dernier, Pascal Nègre, Président d’Universal Music France, déclarait que la musique était « la seule industrie de contenus culturels à avoir fait sa révolution ».