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Vivre à Québec

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Le plan particulier d'urbanisme de Sainte-Foy déjà attaqué | Annie Morin | La capitale. Le mandat, octroyé à David F. Blair, avocat chez Heenan Blaikie, date du 10 décembre et est valide pour un an. Il se lit comme suit : «Obtenir pour le client une modification au projet de programme particulier d'urbanisme pour le Plateau centre de Sainte-Foy en modifiant à la hausse le nombre d'étages permis afin de lui permettre de maximiser le développement de ses terrains en permettant la construction la plus haute possible.» Joint au téléphone, lundi, M. Gagné n'a pas voulu dire combien d'étages il souhaitait exactement.

L'ancien zonage prévoyait une quinzaine d'étages pour ses deux terrains, le 1555 et le 1560, situés de part et d'autre de l'avenue des Hôtels, en contrebas de la clinique Saint-Louis et du restaurant Michelangelo. Les nouvelles règles confirment le statu quo pour les abords de l'avenue des Hôtels tandis que le maximum permis diminue à 13 étages un peu plus à l'est. Première ébauche. Nombreux changements proposés dans le secteur de Sainte-Foy | Québec. Le visage du plateau Sainte-Foy changera au cours des prochaines années La Ville de Québec a présenté jeudi une nouvelle version du plan de réaménagement du plateau centre de Sainte-Foy. Ce dernier comprend de nombreux changements. En vertu du du Plan particulier d'urbanisme (PPU), le marché public de Sainte-Foy deviendra permanent, mais il sera déménagé de l'autre côté de l'avenue Rolland-Beaudin afin de se rapprocher du centre sportif. Les jardins de l'ancien hôtel de ville de Sainte-Foy seront bonifiés et ouverts au public.

Le projet d'anneau de glace couvert a aussi été revu. Ce dernier espère que des travaux seront réalisés à l'entrée des ponts malgré le changement de garde au ministère des Transports, depuis l'élection du gouvernement péquiste. . « Je veux m'assurer qu'on ne perd pas de travaux ou de sommes d'argent qui s'en iraient ailleurs. Le PPU sème l'inquiétude Rappelons que la première version du PPU avait suscité la grogne de certains citoyens de Sainte-Foy. _trotamundo. Winter scene Quebec city from...: Photo by Photographer Gaetan Chevalier.

Travailler à Québec. La ville de Québec et sa région métropolitaine, c’est une économie forte, un taux de chômage très bas et un environnement de travail exceptionnel. Selon les récentes projections d’Emploi-Québec, près de 70 000 postes seront à pourvoir d’ici cinq ans dans la région. Un contexte économique en pleine effervescence La ville de Québec et sa région métropolitaine offrent de nombreuses possibilités d’emplois motivants et stimulants en raison d’une performance économique exceptionnelle couplée au déclin de la population active (vieillissement, retraite, etc.), comme en témoigne un taux de chômage parmi les plus bas au Canada.

Un important pôle économique La ville de Québec constitue le 2e plus important pôle économique de la province et le 7e au Canada. Depuis 2000, près de 66 100 emplois ont été créés. La haute technologie est un des grands axes de développement de la ville, notamment grâce à la créativité et à la productivité de ses milieux industriels et de sa communauté scientifique. Où fait-il le mieux vivre à québec ou à montréal. <span class=aff_author>boucledor38</span> de ce que tu recherches. Si tu aimes avoir un rythme de vie trédipent, de l'action tout le temps, plein de sorties, activités, le night life, je vais te conseiller Montréal. Par contre, si tu recherches un rythme de vie moins stressant, avec une qualité de vie meilleure que celle de Montréal, la nature, le calme, vas à Québec.

Montréal est une ville qui grouille tandis que Québec est plus calme. Disons aussi que le nombre de personnes est différents. Montréal compte plus de 2 millions d'habitant tandis que Québec en compte moins de 500 000 habitants. À Montréal, tu retrouves beaucoup de sièges sociaux, de grosses compagnies et plus d'emploi. Québec est une ville plus fonctionnaire, moins de grosses compagnies, plus de PME. J'ai vécu dans les deux villes. A toi de faire ton choix maintenant. Bonne chance et dis-nous ton choix lorsque tu l'auras fait. Québec ou Montréal? | immigrer-contact.com. Je vis à Québec maintenant après avoir passé par Montréal comme beaucoup d'autres immigrants. Il est vrai que je suis venu ici avec un contrat de travail ce qui m'a facilité énormément mon déménagement. Il y a rien de comparable avec la vie instable que je menais à montréal. Je pense que si j'avais eu la même situation à Montréal j'aurai plus aprécié mon séjour là bas car la vie n'est pas chère...Quant au froid ici c'est vrai que c'est très long mais je le sens moins à cause du fait que je reste très peu dehors. le froid ne me dérange pas sauf quand c'est long dès fois.

Mais c'est moins pire que Montréal car il y a rarement de verglas que je n'apprécie pas du tout. Les locaux publics en général sont très bien chauffés puisque c'est le contribuable qui paye. Les gens sont un peu fermés, mais à toi de t'intégrer donc tu dois faire un effort. Plus de gens quittent Montréal pour s'établir à Québec — www.lapresse.ca. C'est ce qui ressort du dernier Bilan démographique du Québec, publié mardi par l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). Selon ces données, environ 3300 personnes ont quitté la région de Québec pour déménager à Montréal ou en Montérégie en 2010-2011, alors que 3800 ont fait le chemin inverse. La région s'en tire donc avec un bilan migratoire positif de 500 personnes, par rapport à la région de Montréal. C'est loin d'être énorme, et cela n'inclut pas (détail important) l'immigration internationale, que Québec peine encore à attirer, mais cela contredit tout de même l'image répandue d'une métropole qui exercerait un attrait irrésistible sur la population des «régions», capitale comprise.

Pour le sociologue de l'Université Laval Simon Langlois, il s'agit là d'une «tendance amorcée depuis plusieurs années». La région de Québec, dit-il, a beaucoup diversifié son économie au cours des 15 dernières années, économie qui n'est plus uniquement centrée sur la fonction publique.