background preloader

Story telling

Facebook Twitter

Table 7 - short film. Brand journalism. Le « story-telling » contre l’information. Story-telling et information Le “story-telling” est devenu l’un des termes à la mode du marketing-journalistique. La nouvelle martingale d’audience et de satisfaction lecteur. Pour intéresser désormais le public, il faut lui raconter une histoire susceptible de l’émouvoir. Une pratique ancienne qui présente des risques déontologiques. Obama a perdu, Mitt Romney a gagné. Tel est le verdict de la presse au lendemain du premier débat présidentiel américain. Un exemple parlant de cette tendance journalistique à scénariser l’information, à lui donner un sens, par souci de simplification et de dramatisation.

Les faits sont mornes, banals, inintéressants ? L’enquête universitaire valide ou invalide un postulat en fonction des éléments trouvés. Patrick Champagne dans “la vision médiatique” a montré comment les journalistes construisent parfois la réalité qu’ils prétendent décrire. Primo, les journalistes télé n’ont guère le temps de procéder à une vraie enquête. Des émeutes à Vaux-en-Velin ? Lector in fabula - Catherine Halpern , article Sciences du langage. Have you ever met… Brand Journalism? Avez vous déjà entendu parlé du Brand journalisme? En France, la première acteur sur ce territoire est l’Agence de Contenu.

Ses objectifs: « Une meilleure crédibilité auprès de son lectorat, à travers des contenus informatifs et non commerciaux, qui participent à améliorer l’image de marque. » Quelles sont ses origines? Dès 2004,le McDonald’s chief Global marketing officer, Larry Light expliquait: « Identifying one brand position, communicating it in a repetitive manner is old-fashioned, out of date, out of touch, » Light says. « Simplistic marketing is marketing suicide. » Pourquoi? « Because journalism involves telling many facets of a story to diverse groups of people. Face it, gigantic international conglomerates such as McDonald’s have diverse audiences to reach. En résumé: faire décoller le contenu éditorial par rapport à la marque en s’appuyant sur des éléments clés (ce que Seith Godin résume « what happens to a brand in the world »).

Le fabuleux business du transmedia storytelling. A l’occasion de la grande conférence Tools of Change for Publishing organisée par O’Reilly et qui vient de s’achever à New York, il y a eu une intervention très intéressante de Jeff Gomez, qui est, avec Henry Jenkins, un des grands pontes du transmedia storytelling aux USA. Sauf qu’à la différence de ce dernier, enseignant-chercheur au MIT, Jeff Gomez en a fait un réel business avec sa compagnie Starlight Runner Entertainment qui créé des « univers narratifs » pour, entre autres, Avatar, Halo, Dexter, et Pirates des Caraïbes.

Mais, au juste, le transmedia storytelling, à part être un vilain terme jargonneux, c’est quoi, et surtout, comment ça fonctionne ? Le transmedia storytelling en bref Si on prend une définition très large de « transmedia storytelling », on peut comprendre le concept comme le fait de raconter une histoire sur différents médias.

Qu’est ce que ça apporte par rapport à une histoire classique ? Comment faire du transmedia storytelling ? Share and Enjoy. The Evolution of Storytelling.