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C'est quoi? Nouvelle plainte à Bruxelles contre Google et son utilisation des images. Une nouvelle plainte contre Google a été déposée le 8 novembre auprès de la Commission européenne par le Cepic (Centre of the Picture Industry), un groupe d'intérêt qui fédère des centaines d'agences de photographie et de banques d'images en Europe. Dans sa plainte, qui vise en particulier le service Google Images, le Cepic l'accuse "d'utiliser de plus en plus des images sans le consentement des ayants droit, et parfois même contre leur volonté expresse". "Google propose sur son site des images à taille réelle et en haute résolution et permet à ses utilisateurs de les télécharger sans même avoir besoin de cliquer sur le site original d'où proviennent les images", explique encore le Cepic dans un communiqué.

Par cette pratique, Google "bénéficie des investissements des ayants droit et les fournisseurs d'images sont à leur tour privés des fruits de leur travail", poursuit le groupe d'intérêt. C'est à la Commission européenne de décider si la plainte est recevable. Viadeo présente ses nouvelles applications mobile. Espionnage : des pages LinkedIn usurpées pour piéger les administrateurs réseaux. 01net le 12/11/13 à 18h58 On le savait déjà : les professionnels des réseaux informatiques sont une cible privilégiée pour les services secrets, en raison de leurs privilèges d’accès.

Le magazine allemand Spiegel a dévoilé quelques nouveaux détails sur la manière dont le GCHQ, le service d’espionnage britannique, procède. Ainsi, pour piéger les administrateurs réseaux de Belgacom - un épisode dont nous vous avions déjà parlé en septembre dernier - les collègues de James Bond ont usurpé deux sites fréquemment utilisés par cette catégorie de professionnels : le réseau social LinkedIn et le site d’informatique Slashdot.org. © Der Spiegel Slide provenant d'Edward Snowden Concrètement, quand la personne ciblée se connectait sur l’un de ces deux sites, le GCHQ s’interposait, lui renvoyait une copie exacte de la page demandée avec, en prime, un code malveillant qui s’installait sur sa machine et fournissait aux espions un accès total.

Lire aussi: Après avoir tenté de l’imiter, Facebook veut racheter Snapchat. Incapable de rivaliser avec Snapchat, Facebook est désormais prêt à faire un gros chèque pour racheter la populaire application mobile qui permet d'envoyer des messages et des photos qui disparaissent au bout de quelques secondes. Mais ses tentatives ont jusqu'à présent été infructueuses. Après une première offre d'un milliard de dollars cet été, le réseau social aurait offert au moins 3 milliard de dollars à la jeune start-up, selon des sources proches citées par le Wall Street Journal. Cette offre a été immédiatement rejetée par Evan Spiegel, son co-fondateur et PDG. Présentée en décembre 2012, la réponse de Facebook au phénomène Snapchat a été un cuisant échec. A l'époque, 50 millions de messages et photos étaient envoyés chaque jour par les utilisateurs de Snapchat. Cette forte croissance est considérée comme une menace par Facebook, qui doit faire face à une perte d'intérêt des adolescents.

La probabilité d'une acquisition de Snapchat par Facebook demeure cependant très faible.