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Envoyé spécial 28 janvier 2016 / UBERISATION. Economie collaborative : un modèle fiscal et social à inventer. "Airbnb est la deuxième capitalisation boursière de la planète en matière d'hôtellerie, avec zéro actif immobilisé, devant Accor, qui compte pourtant 40 milliards d'actifs immobilisés : c'est insensé ! " C'est le constat dressé par l'économiste Benjamin Coriat, professeur à Paris 13, qui dénonce la prédation de nombreux modèles entrepreneuriaux de l'économie du partage par l'économie numérique organisée… Avec de lourdes conséquences fiscales et sociales à la clé.

Car la plate-forme de location et de réservation de logements de particuliers rapatrie le plus gros de son chiffre d'affaires français et de ses bénéfices en Irlande, où l'imposition sur les bénéfices est très faible. Et prélève une commission substantielle sur chaque location sans acquitter de cotisations salariales par rapport aux propriétaires. "S'agit-il d'une activité exercée à titre professionnel ? "A court terme, la régulation par les seuils constitue une solution de transition acceptable, assure Arthur de Grave. Débat : l’ubérisation de l’économie, une menace. Comprendre ce qu'est l'uberisation de l'économie. Faut-il avoir peur de l’ubérisation de l’économie. Jeudi 17 décembre, AlterEcoPlus, la publication 100% numérique d'Alternatives Economiques, a fêté son premier anniversaire et a organisé une journée spéciale sur le thème de l'ubérisation de l'économie.

Sommes-nous tous condamnés à travailler demain comme les chauffeurs de VTC de la désormais célèbre société américaine Uber ? La numérisation de l'économie va-t-elle transformer à grande échelle les salariés en travailleurs indépendants, payés à la tâche ? Retrouvez ici les analyses, les vidéos, les datas, les interviews que nous avons publiées à cette occasion : Faut-il avoir peur de l’ubérisation de l’économie ?

Faut-il avoir peur de l’ubérisation de l’économie ? Guerre des prix. Impact Social. Impact Economique. Dumping et Concurrence déloyale. "Ubérisation" : c'est quoi ce nouveau mot. Le mot n'a pas encore été immortalisé par l'Académie française, mais il est référencé sur Wikipedia depuis le mois de février. Et ces dernières semaines, on ne voit plus que lui. Tapez "ubérisation" (ou "uberisation" pour ceux qui respectent son étymologie américaine) dans un moteur de recherche et vous obtiendrez une foule d'articles et d'analyses relayant ce terme, qui décline évidemment le nom d’Uber, la société californienne de VTC dont la concurrence fait rugir tous les taxis du monde.

"L'ubérisation peut-elle mettre en danger l'économie ? ", "L'ubérisation galopante vue par les experts", "Ubérisation : faut-il avoir peur ? "... Mais aussi "Vers une 'uberisation' du droit ? " La grande peur des patrons Comme Uber et son service à prix cassés, beaucoup de start-up peuvent entrer dans le champ de ce phénomène d'ubérisation : toutes ces plate-formes en ligne qui réduisent au maximum les intermédiaires et font trembler les acteurs traditionnels dans une multitude de secteurs. Uber et Airbnb sont-ils de droite ou de gauche ? Economie du partage ou de la précarité ? Aux Etats-Unis, le débat sur les valeurs d’Uber et Airbnb creuse les clivages entre démocrates et républicains.

En France, la question commence tout juste à être abordée. Dans la guerre des taxis contre les VTC et autres UberPop, il n’est pas toujours si facile de savoir de quel côté se trouve le progrès. Le progrès technologique, l’innovation, sont clairement du côté de ces nouveaux entrants avec leurs applis tellement pratiques de mise en relation avec un chauffeur. Quant au progrès social, le débat fait rage : les uns, les plus libéraux, mettent en avant la création de nouveaux emplois, la souplesse des horaires, la paix royale de l’autoentrepreneur libéré des ordres du patron, le revenu de complément pour s’en sortir ; les autres dénoncent la précarité d’un statut de freelance sans protection sociale, sans retraite, le cumul de petits jobs et le risque de se faire virer à la moindre mauvaise note d’un passager mécontent.

Il a dit : Airbnb et les collectivités locales : une difficile cohabitation à l'étranger. Les échanges tendus entre Airbnb et Paris, la première ville sur le site de locations touristiques entre (soit disant) particuliers, ne constituent pas une exception : à l’étranger aussi, l’encadrement des activités d’Airbnb reste compliqué, quand il existe. En effet, les cas médiatisés de velléités de régulation ne doivent pas faire oublier que la majorité des 190 pays et des 34000 villes présents sur la plate-forme affichent un certain désarroi face aux pratiques et services de ce nouvel acteur, sans savoir par quel bout du code aborder le problème. Dans l’État de New York, la législation remonte à 2010, et interdit de louer moins de 30 jours, sauf si le propriétaire habite dans le logement.

L’enjeu est fort : la Grosse Pomme est la deuxième ville citée sur Airbnb, avec 32200 offres. Pourtant, le cas est loin d’être apaisé, entre main tendue et lobbying. Les passes d’arme ont abouti à la suppression de 2000 offres en 2014, sur 19500. Les données, le nerf de la guerre. Pia Poppenreiter, la créatrice de l’Uber du sexe. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Cécile Boutelet (Berlin, correspondance) A 28 ans, l’Autrichienne lance en Allemagne Ohlala, une application permettant de passer une soirée avec une femme moyennant paiement. Elle est obligée de le répéter à chaque interview : oui, Pia Poppenreiter est son vrai nom. Il faut dire que la blague est facile : la jeune Autrichienne de 28 ans, dont le patronyme associe en allemand les mots « copuler » et « cavalier » est devenue en quelques mois la star de la scène Sex Tech (pour sexe et technologie) berlinoise.

C’est début 2014 qu’elle a bouleversé ce petit milieu en lançant Peppr, la première application permettant de réserver des prestations sexuelles en quelques clics. Une trouvaille qui lui avait valu l’attention des médias du monde entier. Si elle s’est finalement retirée du projet en février, elle n’a pas abandonné le filon. Elle a annoncé début août le lancement d’une application, Ohlala, décrite un peu partout comme l’« Uber du sexe ». Libération - Uber, la bataille des transports urbains. Non, les avocats ne sont pas « ubérisables » ! - Oh my code ! Après le transport, la restauration et l’hôtellerie, l’ « ubérisation » s’attaque à des pans de l’économie qu’on pensait intouchables et inaltérables comme celui du droit. De nouvelles plateformes juridiques se créent sur la Toile et semblent proposer une offre comparable à celle des avocats.

Il n’en est rien. Pour reprendre le célèbre slogan de Canada Dry, « ça ressemble à du droit, ça emprunte le vocabulaire du droit… mais ça n’est pas du droit ». Ce mirage juridique doit donc être dénoncé avant que les « justiciables-internautes » ne s’y laissent piéger. Vous avez dit « ubérisation » ? Ce néologisme est aujourd’hui repris par tous les grands patrons, journalistes et économistes sans oublier les politiques. L’ubérisation (ou le « changement rapide des rapports de force grâce au numérique ») est accueillie favorablement par tous les consommateurs en quête d’économies, et fait trembler depuis plusieurs mois toutes les professions réglementées, sans exception… A titre d’illustrations :

L’ uberisation, une opportunité historique - Digital Collab. Olivier Margerand Fondateur de Digital Collab 11 novembre 2014 Uber et les taxis En janvier 2014, l’arrivée de la société californienne Uber sur le marché français a provoqué de violentes réactions des taxis français. Comme elle l’a fait aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Espagne et à peu près partout où l’entreprise s’est implantée. La raison de leur colère ? Message à l’attention des taxis : gagnez du temps, suivez cette vidéo de formation des chauffeurs Uber. Uber, c’est la possibilité de réserver, à tout moment, une voiture avec chauffeur depuis son smarphone.

D’où le terme d’uberification, apparu dans cet article en avril 2014 : Uberification of the US service economy. Le terme d’uberisation finit enfin par l’emporter aujourd’hui dans le monde. Au moment où j’écris, la recherche “uberisation” sur Google ne donne que 13 100 résultats. Expliquer la différence de dynamisme de l’emploi entre les Etats-Unis et l’Europe par la seule uberisation peut sembler simplificateur. Directement. Uberisation. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier] Étymologie[modifier] Nom commun[modifier] uberisation \y.bœ.ʁi.za.sjɔ̃\ féminin (Néologisme) (Commerce) Adoption d’un modèle de commerce consistant à mettre des ressources à disposition des clients depuis leurs smartphones, à tout moment et sans délai, pour un prix réduit par rapport au modèle classique.

Si vous ne croyez pas que votre métier puisse être uberisé, vous allez vous faire surprendre par des acteurs qui ne sont pas des historiques de votre métier. Variantes orthographiques[modifier] ubérisation Synonymes[modifier] Apparentés étymologiques[modifier] uberiser Traductions[modifier] Anagrammes[modifier] Voir aussi[modifier] uberisation sur Wikipédia. La parole aux auteurs: Alexandre Andlauer et Bruno Teboul - 22/05. Macron présente sa loi sur l'ubérisation de l'économie. Emmanuel Macron, ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique a présenté lundi 9 novembre la feuille de route de la stratégie pour les "nouvelles opportunités économiques". Il s'agit d'accompagner "l'ubérisation" de certains secteurs, à savoir l'arrivée d'acteurs qui utilisent les nouvelles technologies et bousculent les entreprises traditionnelles, ce qui crée "plus de croissance et d'emplois que de désordre".

Le projet de loi, baptisé #noé, devrait ouvrir la voie à la création d'"une forme de fonds de pension à la française", a annoncé le ministre de l'Economie Emmanuel Macron. "Il faut ramener le capital qui est celui de nos épargnants vers le financement de l'économie réelle. (...) Il faut développer une forme de fonds de pension à la française et adapter le cadre fiscal, et c'est cela aussi que je vais proposer dans les prochaines semaines", a-t-il précisé lors d'une rencontre avec des acteurs de l'économie numérique, à Bercy. (Avec AFP) Ubérisation, crowdfunding, économie collaborative... : ça veut dire quoi ?

Observatoire de l’Uberisation : à quoi va-t-il servir ? Accueil Animé par des entrepreneurs, ce nouvel observatoire doit permettre de produire des propositions, et de relever les défis de nature sociale, fiscale et économique soulevés par l'uberisation de l'économie.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Société Comment la Belgique est devenue une base arrière du djihadisme en...

ENQUETE Abdelhamid Abaaoud et les frères Abdeslam, auteurs des massacres de Paris, y sont nés. Événement Financement du terrorisme : de nouvelles mesures pour renforcer... Le projet de loi pour la modernisation de la vie économique renforce les pouvoirs de Tracfin. Europe Attentats : Salah Abdeslam toujours en fuite, Bruxelles reste en... + VIDEO Les raids menés dimanche soir n’ont pas permis l’arrestation de Salah Abdeslam. À lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Délais de paiement : Bercy épingle cinq mauvais payeurs SFR, Numéricable et Airbus en font partie. Uberisation : mythe ou réalité de la transformation digitale. Uberisation : mythe ou réalité de la transformation digitale Mythes et réalité de l’uberisation Avec ce nouveau billet sur l’uberisation et la transformation digitale, nous reprenons notre publication comme indiqué dans le dernier billet de lundi dernier, l’émotion et la colère ne devant pas prendre le pas sur la vie normale, même si tout peut nous paraître futile en ce moment, au regard des événements de la semaine dernière. « FNAC et Darty fusionnent pour résister aux e-commerçants* » la nouvelle est tombée vendredi midi sur BFMTV alors que je mangeai mon escalope de veau à la normande, au café du Ranelagh.

Elle avait l’air innocente, cette nouvelle, les voisins de table n’ont pas levé la tête et pourtant… Au-delà des jugements à l’emporte-pièce qu’on entend répéter à l’envi sur l’uberisation, un phénomène de fond, beaucoup plus profond, est en train de se produire. Et ce n’est pas forcément ce qu’on croit. . * le titre est de BFMTV Uberisation : arrêt sur image ument de vente. «L'ubérisation de l'économie va détruire des millions d'emplois» INTERVIEW - L'arrivée de nouveaux acteurs tels qu'Uber, Blablacar ou encore Airbnb bouleverse l'économie traditionnelle. Est-ce un progrès ? Comment les grandes entreprises doivent-elles se réorganiser ? Est-ce la fin du salariat ? Éléments de réponse. Le Figaro - Que signifie exactement l'ubérisation? Bruno Teboul * - L'ubérisation décrit un phénomène récent dont la société de technologie californienne Uber est l'inspiratrice directe.

Le terme est-il utilisé plutôt avec une connotation positive ou négative? Au départ, l'objectif de la start-up est avant tout de bousculer l'économie traditionnelle, régulée, rentière. Comment les entreprises classiques doivent se réorganiser? Des grandes entreprises comme Air France, Danone ou EDF doivent pousser leurs salariés à se perfectionner dans la maîtrise du traitement de données des clients et des algorithmes («data science»).

L'ubérisation de l'économie sonne-t-elle le glas du salariat traditionnel? Il y aura des destructions massives d'emplois. Ubérisation de l'économie: faut-il craindre les briseurs de rente? Jusqu'où l'uberisation de la société va-t-elle aller. A voir son siège parisien, un simple appartement de 200 mètres carrés perché au-dessus d'un vendeur de scooters dans le quartier du Sentier, on imagine mal que Creads puisse faire trembler les empereurs de la publicité. «En France, Publicis et Havas se partagent le gâteau depuis trop longtemps. Il faut les bousculer !» , plastronne pourtant Julien Mechin, le cofondateur de cette start-up de 40 salariés. Le secret de ce Robespierre 2.0 pour décapiter les multinationales ? Quand les agences paient des milliers de créatifs, lui n'en salarie aucun.

UBERISATION ? Leurs modèles ? Transport, logistique, tourisme, services à la personne, restauration, banque et même industrie du sexe... Tout dépend de quel côté l'on se place ! Vous aviez l'intention de mettre en location sur Drivy l'épave qui dort dans votre garage ? DEUXIÈME AVANTAGE : LE PRIX. Les consommateurs bénéficient aussi des avantages de la géolocalisation, présente sur une bonne partie des applications.

L'explication de ce retard ? De quoi l’« uberisation » est-elle le nom ? Le terme, qui fait référence à l’apparition des véhicules concurrents des taxis, est utilisé à toutes les sauces. Mais que recoupe-t-il ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Les réseaux sociaux utilisent depuis quelques mois le terme d’« uberisation », un néologisme formé à partir du nom d’Uber, la fameuse société de transport californienne. Ils s’en gargarisent même depuis les incidents des derniers jours entre les taxis et les VTC (voitures de transport avec chauffeur) : Entre numérisation et paupérisation, que recoupe ce terme, qui sert d’étendard aux détracteurs de plusieurs réalités économiques ?

Le tour du concept en 5 exemples. Les taxis Ce qui est critiqué : la précarisation Au-delà de leur cas personnel et des conséquences sur leur profession, les taxis dénoncent « la précarisation des chauffeurs » de VTC. Cette critique, l’hebdomadaire britannique The Economist en a fait sa « une » en ce début d’année 2015. Ce qui est craint : l’évolution du modèle économique Les avocats. Ubérisation = économie déchirée?