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Voiture autonome : où en sommes-nous ? La "voiture autonome" – celle qui se conduite "toute seule", c'est le GRAND sujet de recherche, aujourd'hui, chez TOUS les constructeurs. Et elle est - presque - pour demain... La voiture de demain sera "autonome". Selon l'ensemble des constructeurs, ce n'est même plus une question ; c'est le sens inévitable du progrès.

Mais cette voiture capable de se conduire toute seule – qui fascine, qui fait peur, aussi – cette voiture totalement automatisée ne va peut-être pas arriver d'un coup. Un conducteur autorisé ( ! Cela va demander une modification de la loi ; puisque, depuis la convention de Vienne en 1968 ( !! Voiture autonome : sa sécurité est-elle surestimée ? Dans un livre blanc, l’UMTRI (University of Michigan Transportation Research Institute) aborde la question de la sécurité routière sur les véhicules autonomes.

Elle y affirme que ces voitures ne sont pas si sûres qu’il n’y parait. La sécurité est l’un des arguments chocs de la voiture autonome. Avec elle, pas de conducteur distrait, en état d’ébriété ou colèrique, la machine reste constante et ses capteurs ont des yeux partout. Hormis quelques craintes quant aux bugs informatiques, elle a tout pour offrir une solution radicale contre la mortalité routière. L’exemple de l’aérien joue aussi en sa faveur car depuis l’arrivée de systèmes automatisées dans les avions, la fréquence des incidents a nettement diminué. Michael Sivak et Brandon Schoettle sont les deux chercheurs qui ont conduit cette étude de l’UMTRI sur la sécurité des voitures autonomes.

Les deux auteurs évoquent enfin la période de transition pendant laquelle véhicules autonomes et voitures manuelles cohabiteront. Les voitures autonomes plus polluantes? Une récente étude effectuée par l’Université du Michigan conclut que les voitures autonomes pourraient ultimement consommer plus de carburant qu’un véhicule traditionnel en raison des déplacements supplémentaires qu’ils permettraient. Michael Sivak et Brandon Schoettle de l’Institut de la recherche en transports de l’Université du Michigan étudient le phénomène des véhicules autonomes de fond en comble depuis quelque temps déjà. Après avoir remis en question la sécurité des véhicules qui se conduisent seuls, les deux hommes se demandent si les voitures autonomes ne seraient pas plus polluantes que les voitures conventionnelles.

Selon leur étude, les véhicules autonomes devront effectuer plus de voyages pour accomplir les tâches quotidiennes des ménages. Inversement, l’étude apporte un point intéressant qui affirme que la voiture autonome pourrait faire en sorte que plus de personnes choisissent la voiture comme moyen de transport quotidien au lieu des transports en commun. Les voitures connectées sont vulnérables au piratage. L'avenir de la voiture autonome et connectée reste encore à écrire, mais suscite déjà l'inquiétude. Un rapport, rédigé par un sénateur américain et publié lundi 9 février, met en garde contre le fait que presque toutes les voitures connectées sur les routes sont encore vulnérables à d'éventuels cyberpirates, qui pourraient voler des données personnelles ou prendre le contrôle du véhicule.

Lire : Les constructeurs automobiles s'engagent à respecter la vie privée Il y a des failles de sécurité dans « presque 100 % des véhicules [connectés] sur le marché », selon ce rapport préparé par l'équipe du sénateur démocrate Ed Markey sur la base de données collectées auprès de 16 grands constructeurs automobiles. « Même si nous sommes plus connectés que jamais dans nos voitures, nos systèmes informatiques et de protection des données restent largement non protégés », a commenté M. Lire aussi (en édition abonnés) : La voiture, nouvelle frontière de la high-tech. Les voitures autonomes vont sauver des vies, selon une étude. D’abord, le Département dit que les voitures autonomes ne devraient pas, à ce moment-ci, être permises sur les routes, sauf pour effectuer des tests, comme c’est le cas avec des voitures sans pilote (pensons ici à la "Google Car"). Des caractéristiques prometteuses L’organisation fédérale indique par ailleurs que les entreprises comme Google ont réalisé des bonds technologiques significatifs en vue de développer une voiture autonome complète, malgré d'importantes difficultés et contraintes d'ordre juridique, réglementaire et même culturel, pour que de telles voitures soient largement accessibles aux conducteurs.

Mais voilà, la technologie et le cadre juridique ne progressent pas à la même vitesse. Éviter les erreurs humaines Vers des systèmes en kit Tous semblent convenir qu’il ne sera pas économiquement viable de concevoir une voiture dotée de 60 à 75 000 $ d’équipements embarqués, et qu’il faudra inventer des systèmes beaucoup plus simples et abordables.