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Octobre 2o12

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Google se paie la presse. C'est la guerre !

Google se paie la presse

Face au projet de loi de certains éditeurs de presse qui souhaitent faire payer Google dès qu'il référence leur contenu, le géant américain se rebiffe. Et menace tout simplement de ne plus les faire apparaître dans ses pages. Alerte ! Ils vont casser Internet ! Mise à jour (19h) Forcément, après la salve de Google, la réplique ne s’est pas faite attendre. Laurent Joffrin a immédiatement dégainé un édito sur le site du Nouvel Obs pour dénoncer la “censure” que menace d’appliquer le géant du web sur la presse française. De son côté, Google diffuse ce même message auprès des rédactions : “nous pensons qu’une loi telle que celles proposées en France et en Allemagne serait très dommageable pour Internet. Au-delà des diatribes, reste le fond du problème : comment obliger Google à ne pas déréférencer la presse ? La presse en guerre contre Google. Tout désindexer Résultat : chacun campe sur ses positions.

Du côté de Google, on se dit prêt à entrer en campagne. Aberration. Les débats du Diplo. Slutwalk : lâcher de "salopes" à Paris. Il s'en organise une dizaine par mois dans le monde.

Slutwalk : lâcher de "salopes" à Paris

Les « Slutwalks » ou « marches de salopes » se sont imposées comme un concept féministe efficace : moderne, choc, et girly... Pour la deuxième année, la France rejoint le mouvement. Le 6 octobre elles devraient être près de 1000 femmes à marcher à Paris et en province pour protester contre le sexisme et la culpabilisation des victimes de viol. Mais d'où vient donc ce gros mot ? Il faut choquer pour interpeller. Lutter contre le « Slut Shaming » À l’origine, le terme « slut » s’est banalisé côté féministes grâce au mouvement de rébellion de collégiennes américaines contre le « Slut Shaming » (qu’on peut traduire par « réputation de salope »). Un vêtement ne justifie pas un viol Petit à petit, la lutte contre le Slut Shaming s’est imposée comme le nouveau combat à mener d’urgence par les femmes.

Marche française pour les victimes de viol Gaëlle Hyn est la responsable du mouvement Slutwalk France. Venez comme vous êtes. Arnaud Montebourg présente la nouvelle Renault Zoé. Les Femen protestent seins nus au Louvre. Connue pour ses actions coup de poing, l'association féministe ukrainienne « Femen » a organisé hier un « happening » au Louvre.

Les Femen protestent seins nus au Louvre

C'est devant l'emblématique Vénus de Milo que les militantes féministes ont décidé de protester, seins nus. « Violez-moi, je suis immorale ! » C'était le slogan que les Femen avaient écrit sur une pancarte collée aux pieds de la Vénus de Milo, la célèbre statue aux seins nus exposée au Louvre. Les membres de l'association féministe ukrainienne (désormais présente en France) ont organisé hier une opération visant à protester contre le viol d'une jeune tunisienne de 27 ans par des policiers. « Nous avons des mains pour arrêter les viols » Le torse dévêtu, les Femen qui protestaient hier au Louvre scandaient le slogan « We have hands to stop rape » (« Nous avons des mains pour arrêter le viol ») en brandissant le poing, devant les touristes et les caméras des télévisions qu'elles avaient convoquées.

Non au traité de la rigueur. Gouvernance, gouverner, gouvernement... grrrrrrr !!

Non au traité de la rigueur

Cela ne sent pas bon. Derrière tout cela, il y a bien de l’idéologie. Je viens de lire un passage de L’HOMME REVOLTE d’Albert Camus dans les écrits rassemblés par Lou Marin aux éditions EGREGORES. Je vous en rends 2 extraits : "Le syndicalisme, comme la commune, est la négation, au profit du réel, du centralisme bureaucratique et abstrait. Et plus loin, sur lequel nous devrions méditer... mais pas trop longtemps. " Le jour précisément où la révolution césarienne a triomphé de l’esprit syndicaliste et libertaire, la pensée révolutionnaire a perdu en elle-même un contrepoids dont elle ne peut, sans déchoir, se priver.

Les Etats Unis d’Amérique des bourgeois ont été voir leurs homologues européens pour les pousser à créer les Etats Unis d’Europe.