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EmploiCity : les étudiants s’entraident dans leur recherche d’emploi. Depuis maintenant un an, le groupe Media Etudiant a mis en ligne un site Internet, EmploiCity, destiné principalement aux étudiants et aux lycéens qui propose de les accompagner vers leur premier emploi, dans leur recherche de stage, dans la construction de leur projet professionnel. Il présente donc un ensemble de métiers et d’offres d’emploi ou de stages ainsi que de nombreux conseils pour créer son curriculum vitae, rédiger ses lettres de motivation. Bien sûr, il est possible de déposer son CV en ligne, de consulter les offres d’emploi et de stage et de postuler en ligne, de créer un profil et des alertes pour repérer toutes les nouvelles offres intéressantes.

Mais EmploiCity offre également les services d’une communauté : que ce soit en matière de CV ou de lettres de motivation, il est possible de solliciter l’avis des autres membres du site, une bonne manière de progresser dans sa recherche d’emploi. Doit-on faire un CV sur une ou deux pages ? Comment entretenir son réseau ? Ouverture sociale : qui finance les dispositifs d’égalité des chances ?

L’université de Cergy-Pontoise donne des iPads à ses étudiants. Actu | Politique Marie-Anne Nourry | Publié le , mis à jour le Après Grenoble Ecole de Management, notamment, c'est au tour d'une université d'équiper gratuitement ses étudiants d'une tablette électronique. Mais cette fois, il ne s'agit pas d'un prêt. À la fin de l'année scolaire, les étudiants de l'UCP pourront garder leur iPad.

Un investissement de 40.000 euros Le projet a été financé pour moitié par les formations en alternance impliquées dans le projet et pour autre moitié par la présidence de l'université, à l'origine de cette initiative. "Nous réfléchissions à la possibilité d'équiper nos étudiants de notebooks, lorsque la tablette tactile a fait son apparition, confie François Germinet, vice-président chargé du développement stratégique et des ressources humaines de l'UCP. Trois formations pours trois usages Un bilan des pratiques des enseignants et des étudiants est attendu pour la fin de l'année. Une nouvelle étude révèle que les étudiants n’obtiennent pas les compétences requises pour affronter le marché du travail et la vie.

LONDRES, January 10, 2011 /PRNewswire/ – - Une étude novatrice sur l’enseignement et l’apprentissage prend de l’ampleur afin d’inclure de nouveaux pays, et Microsoft Partners in Learning propose un nouvel outil pour permettre à toute école de mesurer sa réussite quant à l’enseignement des compétences requises pour le 21e siècle. Microsoft Corp. a annoncé aujourd’hui les résultats préliminaires de son étude intitulée Innovative Teaching and Learning (ITL), qui démontre que les étudiants peuvent obtenir les compétences requises pour affronter le marché du travail et la vie au 21e siècle par le biais de l’école, mais que dans les faits, c’est rarement leur cas.

Bien que les leaders de l’éducation exigent constamment des changements, les politiques et les systèmes d’éducation de la plupart des pays n’ont toujours pas fourni de définitions claires des compétences requises au 21e siècle, ou une manière de guider les professeurs dans la façon d’enseigner et d’aborder ces compétences. Enora Pruvot (directrice de programme à l’EUA) : "Les universités sont encore peu soutenues pour diversifier leurs sources de financement" Propos recueillis par Mathieu Oui | Publié le , mis à jour le Le titre du rapport semble suggérer que la bonne santé financière des universités passe désormais par la diversification de leurs sources de financement ? Est-ce le message que vous cherchez à délivrer ? Notre message ne consiste certainement pas à dire que les gouvernements n’ont plus besoin d’investir dans l’enseignement supérieur.

Au contraire, l’étude révèle que le financement public reste essentiel. Quels sont les avantages d’une diversification des financements ? Elle peut avoir des avantages pour les établissements pour répartir leurs risques, diminuer leur dépendance et gagner en autonomie. Selon votre enquête, les ressources additionnelles des universités (hors frais de scolarité) représentent désormais au moins 10 % de leur budget. Oui, relativement, dans la mesure où nous avons travaillé sur un échantillon d’universités très diverses. C’est encore un peu tôt. BTS-DUT : les filières courtes ont la cote. Plus de 16 % des étudiants français, soit près de 380000, sont inscrits en BTS (brevet de technicien supérieur), DUT (diplôme universitaire de technologie) ou licence professionnelle.

En 30 ans, les effectifs des IUT (institut universitaire de technologie) ont plus que doublé, passant de 53 000 en 1980 à plus de 117 000 aujourd'hui. "Nous recevons 25 000 candidatures par an, pour 2 000 places en première année. Les demandes ont augmenté de 15 % en 3 ans", témoigne Jean-François Mazoin, directeur de l'IUT Paul-Sabatier à Toulouse 3 et président de l'Association des directeurs d'IUT. La raison de ce succès grandissant? La garantie d'un diplôme à bac+2 avec un emploi à la clé. De quoi rassurer les familles et ouvrir les portes du supérieur à ceux qui ne comptent pas aller jusqu'à bac+5. En BTS, si les bacs STI et STG constituent les deux tiers des recrues, la part des bacs pros est en progression alors que les bacs généraux sont minoritaires.

Diplômés des universités : comment les entreprises les recrutent (ou pas) Marie-Anne Nourry | Publié le , mis à jour le "Nous ne sommes pas élitistes et nous recherchons avant tout des compétences, affirme Nathalie Rauhoff, responsable du recrutement du groupe Crédit Agricole. Les meilleurs profils ne vont pas tous en classes prépas et l'université regorge de pépites. Il ne tient qu’à nous de savoir les repérer. " Si un tel discours peut sembler ordinaire aujourd'hui, l'entreprise a pourtant longtemps perçu l'université comme un monde clos. Et c'est par pur pragmatisme qu'elle a commencé à s'intéresser à ses étudiants. Principales raisons affichées pour expliquer ce changement d’attitude : des difficultés pour recruter certains profils, de gros besoins de recrutement, ou encore une volonté de mixer les équipes.

Diversifier les recrutements : du discours à la réalité "Certaines grandes entreprises ont mis en place un service égalité des chances parce que c'est à la mode, met en garde Marie-Louise Azzoug, responsable du SCUIO-IP de Paris 8. Formation continue : un nouveau créneau pour les universités ? Traduire une formation d’ingénieurs en compétences : les propositions de l’association Pasc@line. Propos recueillis par Sylvie Lecherbonnier | Publié le , mis à jour le Pourquoi vous êtes-vous intéressés aux compétences que doivent acquérir les étudiants ?

Alain Ayache. Même si écoles et universités françaises ne semblent pas s’en être rendu compte, le processus de Bologne impose de traduire tous les cursus en portefeuilles de compétences dès 2011. La CTI (Commission des titres d’ingénieur) presse également les établissements sur le sujet. Aujourd’hui, une majorité d’écoles ne sont pas encore passées à l’approche compétences, mais y travaillent.

Noël Bouffard. Comment traduire un cursus en compétences ? AA. Avec le portefeuille de compétences, chacun deviendra unique, donc plus intéressant, en un mot plus employable Vous préconisez donc un renforcement de l’enseignement du savoir-être dans les écoles d’ingénieurs. AA. N’avez-vous pas peur de mettre les gens dans des cases en mettant l’accent sur le savoir-être ?

AA. Qu’apporte alors l’approche compétences aux étudiants ? AA. NB. AA. Conférence « Universités et grandes écoles : Comment gérer et développer ses activités de formation continue ? » Les enfants de cadres, majoritaires dans l'enseignement supérieur. Démocratiser l'accès à l'enseignement supérieur est-il un voeux pieux ? Alors que la ministre de l'Enseignement supérieur oeuvre depuis 2007 pour améliorer l'insertion professionnelle des diplômés d'université et l'ouverture sociale des grandes écoles, une étude que publie aujourd'hui l'Insee incite à la plus grande prudence. Comparant des cohortes 1960-1965 et 1970-1975 entre l'Allemagne de l'Ouest (lire encadré ci-dessous) et la France, les auteurs estiment que « si l'expansion quantitative de l'accès au supérieur a pu réduire les inégalités sociales, en revanche, cette diversification peut éventuellement jouer dans le sens opposé, au profit d'une certaine reproduction sociale ». « L'intérêt de prendre en compte des cohortes anciennes est de pouvoir observer l'insertion professionnelle, niveau où l'on voit vraiment en quoi joue la démocratisation », explique à « La Tribune » Marie Duru-Bellat, co-auteur de l'étude.

Ouverture sociale. Enseignement - Diplômes et filières de formation. Formation continue à l’Université. Formation continue à l’Université publié le 28/02/2011 par Jean-Marie Blanc dans Afficher dans Marché, Cursus/études, Vie en entreprise Educpro consacre un dossier au développement de la formation continue dans les Universités. C’est, semble-t-il un créneau prometteur et même si toutes n’en sont apparemment pas au même point, les Universités ont envie de l’investir plus complètement.

Les écoles de gestion ont d’ailleurs compris depuis longtemps combien leur label donnait de la valeur à un cycle de formation pour adultes, même quand le contenu ne vise pas aussi haut que le cursus de formation initiale de l’école en question. L’offre de formation continue est gigantesque et s’y retrouver n’est pas simple. Il y a, dans l’offre de formation, des programmes d’élite, par la densité, le niveau des stagiaires et du contenu, la qualité des enseignements, le prestige de ceux qui les dispensent.

Familiarisez-vous au plus tôt avec l’offre de formation et les moyens d’y recourir. On abuse de votre statut de stagiaire : quels sont vos droits ? | Lauren Ducas sur Documentissime. Il faut savoir qu'il y a 1,2 millions de stagiaires en France et que ce chiffre ne cesse d'augmenter. Ce n'est guère surprenant en regard des économies que réalisent les entreprises en ayant recours à des stagiaires payés à 30% du SMIC plutôt qu'à des CDD ou des CDI plus engageants. Cette pratique est l'occasion de nombreuses dérives et il est important de connaître ses droits pour redonner au stage son dessein pédagogique premier. .A la base, un stage doit être strictement encadré.

Il doit être établi selon une convention tripartite signée par l’étudiant, l’école ou l’organisme de formation, et l’entreprise concernée. Pour pouvoir accéder à cette convention et en connaître les détails, il faut se rendre sur le site www.legifrance.fr. Parlons rémunération : selon l’article 30 de la loi du 24 novembre 2009, la gratification est de 12,5% du plafond horaire de la sécurité sociale, soit 30% du SMIC pour les stages de plus de 2 mois consécutifs. Innovations pédagogiques : l’enseignement supérieur autrement.

Pourquoi Facebook n’aurait pas pu naître sur un campus français. La licence universitaire doit-elle mener à l'emploi ? Les blogueurs EducPros prennent position. Sur le blog de Michel Lussault "Il est bien un postulat en deux temps qui paraît aujourd’hui peu contestable, une sorte de vérité absolue : il faut professionnaliser les études supérieures ; la fragilité des filières universitaires classiques tient à leur trop faible professionnalisation", écrit le président du PRES lyonnais. "J’ai moi même pratiqué quelque temps la méthode Coué qui consistait à voir dans la professionnalisation l’instrument magique qui permettrait de régler la plupart des problèmes. " Lire sa série de billets consacré à la professionnalisation. Dans l'ordre :Le mythe de la professionnalisation-1 La professionnalisation, pour suite à donner.

(Le “mythe” etc.2) Professionnalisation : (très) brève. Professionnalisation — encore! Sur le blog de Pierre Dubois L'ancien directeur de l'OFIPE (Observatoire des formations, des insertions professionnelles, évaluations) de l'université Marne-la-Vallée, réagit aux propos de Michel Lussault avec plusieurs commentaires. Stagiaire : vers une amélioration des stages ? Trouver un stage grâce au web : un e-book par et pour les étudiants. 12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 16:45 Le recrutement et la recherche d’emplois sur le web sont des sujets déjà fortement traités.

Parfois de manière plutôt discutable d’ailleurs… Voici un nouvel E-book réalisé par des étudiants de l’IAE de Poitiers, et basé sur une expérience simple : partir de zéro, et utiliser les outils web à disposition pour trouver un stage. L’idée de départ est simple : plutôt que de demander à des étudiants de collecter les X milles conseils existants sur le recrutement en ligne afin d’en faire une synthèse, pourquoi ne pas leur demander d’essayer par eux-mêmes de trouver un stage grâce (ou avec l’aide de) Twitter, Facebook, etc.

C’est ce qui a été proposé à 5 étudiants de niveau licence (bac +3) de l’IAE de Poitiers. Pour cela ils ont créé un profil fictif, lui ont développé un compte sur divers réseaux sociaux, puis ont pendant trois semaines essayé de capter des offres intéressantes dans leur secteur (finance/comptabilité), des mises en contact, etc.