background preloader

Religion

Facebook Twitter

Mythologie romaine : introduction. La religion romaine et la mythologie romaine. La religion des anciens Romains se forma en quelque sorte par voie d'accession, en s'assimilant les croyances et les rites des peuples qui subirent la domination romaine. Pour bien la comprendre, pour se rendre un compte exact de son histoire, il est nécessaire de distinguer plusieurs périodes. On ne saurait historiquement en tracer un tableau unique. La religion de Rome a évolué, s'est transformée au cours des siècles, sous l'influence des événements politiques; elle s'est de plus en plus mêlée d'éléments étrangers, dont quelques-uns sont devenus à Rome même tout à fait populaires. Il y a donc lieu d'exposer d'abord, dans ses lignes générales, ce qu'était la religion romaine primitive, puis de noter les principales influences exotiques qu'elle a subies et les changements que ces influences ont produits Jupiter Tinia et Junon Cupra.

Sous sa forme première, la religion des Romains était purement latine ou plutôt italique. . . « Une liste de noms, comprenant les dii certi, c. et des parfums. Mythes et Mythologie. Fêtes religieuses romaines. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la Rome antique, on dénombrait seulement 55 jours ouvrables, les autres jours étant des fêtes religieuses et autant d’occasions de se réjouir en célébrant les dieux. Ces fêtes religieuses romaines, manifestations vivantes de la religion, sont inscrites dans le calendrier. Les fêtes publiques (feriae publicae) sont, pour la plupart, fixes (stativae), les autres étant mobiles (indictivae) ou exceptionnelles (imperativae). Les fêtes exceptionnelles (en latin : feriae imperativae ; parfois, en français : fêtes ou féries impératives) sont suscitées par des occasions inopinées, comme les vœux ou la procuratio des prodiges. Les fêtes mobiles (en latin : feriae conceptivae ; parfois, en français : fêtes ou féries conceptives) sont, pour leur majeure part, liées à la vie agricole et ont lieu, chaque année, à une date fixée par les prêtes et les magistrats.

À chaque étape de la vie de la cité correspondait une fête. La religion romaine. Jésus selon les Romains. Les textes romains sur Jésus : Les Chrétiens tiennent l'existence historique de Jésus pour acquise. Pourtant si celui-ci avait vraiment remué des foules énormes comme on le prétend, cela aurait été remarqué et les textes romains en auraient fait mention. Pourtant il est bien difficile de trouver des textes historiques contemporains de Jésus et qui parlent de lui. Peut-être qu'à son époque ce dernier est passé bien plus inaperçu qu'on ne le croyait ? Ou alors ces textes existaient mais ont été détruits ? ... Mais pourquoi ? Voici une liste des anciens textes contemporains de Jésus ou on peut essayer de trouver des témoignages historiques à son sujet : - Velleius Paterculus (-19 +31) : Il a écrit l' "Histoire romaine", ouvrage dont la partie concernant la fin de l'année 29 jusqu'au milieu de l'an 30 (correspondant au ministère de Jésus) a disparu (ou a été opportunément détruite ?).

- Servilius Nonianus (? - Martial (+40 +103) : Il n'a rien écrit sur Jésus. ... Rite funéraire de la religion romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue funéraire de Marcellus L'appartenance à la classe sociale conditionne le faste des rites funéraires romains. Les Romains, très superstitieux et religieux pensaient qu'un déroulement précis des funérailles était essentiel à l'obtention d'une vie après la mort. Ils étaient donc très pointilleux sur l'exécution des rites funéraires.

Les riches se faisaient, en principe, incinérer, tandis que les Romains plus pauvres comme les esclaves pouvaient être jetés dans des fosses communes, sans cérémonie. Il est par ailleurs courant que certains hommes, dont les empereurs à travers le culte Impérial, aient fait l'objet d'un culte après leur mort. Histoire des rites[modifier | modifier le code] Pendant l'époque protohistorique étrusque de Rome, la crémation suit ou côtoie l'incinération suivant les périodes historiques ; elle a été généralement abandonnée vers la fin du Ve siècle av. Déroulement des rites[modifier | modifier le code] Jules César : Mythologie romaine. Religions et Mystères importés à Rome. Cultes solaires. Religion et mythes La religion (du latin religare = lier, relier) est l’attitude individuelle et collective vis-à-vis d'une divinité et, par suite, la série de rituels, de croyances et d'obligations, envers cette divinité.

La religion, comme la philosophie et la gnose, conduit à rechercher la vérité sur soi-même et sur le monde, sur le rapport de l'homme avec l'humanité et l'ensemble de ce qui existe. De nombreux mythes (du grec muthos = fable) prennent leur source à l'origine de l'humanité, tel le culte des déesses mères et des vierges noires, du dieu ou des dieux créateurs et de l'esprit divin existant dans chaque être.

Les croyances romaines restèrent en vigueur jusqu'au moment où le christianisme supplanta les religions originelles de l’Empire romain au début du Moyen Age. Culte romain primitif L'origine de la religion des premiers Romains reste imprécise en raison de l'assimilation d'une grande partie de la mythologie grecque et de nombreuses autres croyances. Les temples Le clergé. La religion romaine : les dieux orientaux. La déesse Cybèle. Cybèle : Cybèle est « La Grande Mère des dieux ». La déesse Cybèle est une déesse tutélaire, dotée d'une puissance universelle.Cybèle est connue dans le monde romain sous diverses dénominations : Mater Deum, Matris Deum, Domina Mater Magna, Sancta Mater Magna, Mater deum magna Idaea ou bien encore « la Mère de l'Ida ».

Historique Le culte de Cybèle est la première religion officiellement introduite à Rome. A la différence d'autres cultes orientaux qui seront introduits à Rome par les populations, le culte de Cybèle est installé par le gouvernement romain. Son arrivée est officielle. Une prophétie de la sibylle dit qu'Hannibal pourra être vaincu si le symbole sacré de Cybèle est amené à Rome. Une pierre noire, un bétyle, est adorée à Pessinonte en Phrygie (Asie Mineure). A la fin de la République, le culte de Cybèle est déjà bien installé à Rome. Le culte Cette religion rend un culte aux pierres, au pin et aux fauves.

Des fêtes sont données au mois d'avril en l'honneur de Cybèle. Le culte d'Isis dans le monde romain. Isis est une déesse égyptienne. Reine des dieux, elle est l’épouse d’Osiris et le ramène à la vie lorsqu’il est tué par son frère Seth. Isis est donc une déesse très puissante. Historique Le culte d'Isis se répand de l'Egypte à l'Italie en passant par l'Espagne. De nombreux temples dédiés à la déesse sont construits sur tout le territoire romain. Le culte d’Isis arrive à Rome pendant la République mais c’est sous l’Empire qu’il connaît son apogée. Les différentes appellations de la déesse Isis Lorsque les Romains invoquent la déesse Isis, ils utilisent différentes dénominations. . - Isis Regina : l’appellation souligne le caractère souverain d’Isis. - Isis Domina : la mention insiste sur la puissance de la déesse.

. - Isis Augusta : la dénomination est notée à Virunum. . - Isis Victrix : c’est l’Isis victorieuse qui est invoquée. - Isis Invicta : la dénomination fait ici aussi référence à l’Isis victorieuse. - Isis triumphalis : la mention appelle la déesse victorieuse. Les temples d’Isis.