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Monde musulman

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Des obus s’abattent sur une zone frontalière saoudienne. Six obus de mortier sont tombés sur une zone frontalière du nord-est de l’Arabie saoudite proche de l’Irak, selon les autorités du royaume. Les obus sont « tombés mercredi dans une zone inhabitée à Hafr el-Baten, près du poste-frontière d’el-Auja (...) sans faire de victimes », a indiqué hier le porte-parole des garde-frontières saoudiens, le général Mohammad el-Ghamdi, cité par l’agence officielle SPA.

Sans préciser la provenance des tirs, il a ajouté que les autorités saoudiennes étaient entrées en contact « avec les garde-frontières des pays voisins » et que « des mesures ont été prises pour déterminer l’origine des obus et empêcher la réédition de tels incidents ». Selon des habitants, des avions militaires saoudiens ont survolé le secteur hier matin. À Bagdad, le chef du groupuscule chiite pro-iranien Jaïsh el-Mukhtar a revendiqué les tirs, affirmant qu’il s’agissait d’un « avertissement à l’Arabie saoudite », en raison de son hostilité aux chiites. #women2drive. Women2Drive. La raison du plus mort. Il y a déjà longtemps qu’au Liban le ridicule ne tue plus, comme maints dirigeants politiques, virtuoses de l’outrance, en sont la preuve vivante et bien portante. De nos jours, c’est en revanche l’absurde qui tue, dans ce qui fut un pays de cocagne et qui se trouve livré aujourd’hui à la déraison armée.

Il est partout, l’absurde, et la place manque ici pour en inventorier les ravages en termes de sécheresse politique, de déliquescence de l’État et d’appauvrissement du gros de la population. Mais c’est sans doute dans l’infortunée ville de Tripoli, théâtre d’affrontements endémiques entre sunnites et alaouites, qu’il se décline dans sa forme la plus concentrée.

Du quartier de Bab el-Tebbaneh ou de celui, contigu, de Jabal Mohsen, on serait en peine de dire lequel abrite la population la plus pauvre et donc la plus affectée par un conflit qui paralyse petits commerces comme humbles métiers. Issa GORAIEBigor@lorient-lejour.com.lb. Croissance en Europe et dans le reste du monde : cherchez l'erreur. L’économie mondiale n’est pas nécessairement réglée à l’heure européenne. Tout au contraire, le contraste est saisissant entre une Europe en récession et un monde globalement en expansion. Une vraie frontière sépare les pays qui ont accepté les réformes et ceux qui restent figés sur les conservatismes et les avantages acquis. Par Jean-Yves Naudet.Un article de l’aleps La zone euro en récession Nous n’avons jamais été des inconditionnels des prévisions à 0,1% près, reposant sur des hypothèses dont le biais idéologique (keynésien) fait que le résultat est conforme aux a priori que l’on avait mis dans le modèle.

Mais quand tous les chiffres vont dans la même direction, il faut bien se poser quelques questions, surtout quand les écarts entre pays sont considérables. Les commentaires s’étaient focalisés la semaine dernière sur la France, parce qu’on découvrait avec surprise ( !) Ils ne mouraient pas tous… Mais revenons à la zone euro. Croissance hors de la zone euro Réformes ou récession ? Mort de ben laden. Wonder a Day. In the old days Harran was one of the greatest cities in the region, now it looks like a remote old and ruined village. But Harran is still attractive to tourists because of its ancient monuments and unusual architecture. Harran has many legends and stories about it.

This town was the center for those who believed in the Moon God. This fortress built by Byzantines and reconstructed by Turks is more likely to be the town center. Unfortunately there are no indications, only barbed wires. Despite that practically all the population is very poor, children wear such nice clean uniforms. Such houses were built 3,000 years ago, since that time nothing has changed: unburned clay, cone-shaped roofs and high domes. The corridor of a room. The interior roof decoration. Here probably were whole quarters of such clay houses. The Old Testament tells about Harran. The fortress has 3 floors with holes in some unexpected places.

Now move to another ancient and mysterious town Mardin located on the hill top. 5 morts dans les manifestations au Maroc. Le ministre de l’Intérieur du Maroc, Taeib Cherqaoui, a déclaré que cinq personnes ont été tuées lors de manifestations qui ont eu lieu le 20 février 2011. Les manifestants sont descendus dans la rue pour demander une réforme constitutionnelle visant à limiter le pouvoir du roi Mohammed VI, la démission du gouvernement et la diminution de la corruption.

Cherqaoui a déclaré que plus de 100 personnes ont été blessées par ce qu’ils nomme des « fauteurs de troubles » et quelques 120 personnes ont été arrêtées. Il a également déclaré que les corps calcinés de ces cinq personnes ont été retrouvées dans une banque incendiée. Ce drame a eu lieu à Al-Hoceima, dans le nord du pays, où une banque a été mise à sac et brûlée, tuant cinq personnes bloquées par les flammes. Les manifestations ayant eu lieu à Rabat et à Casablanca se sont quant-à elles déroulées sans incident. Adaptation de Five Killed in Morocco Protests, Radio Free Europe A quand le tour de l’Algérie ? Révolution au Moyen-Orient. Free jazz, (le) 22 Feb 11, 14:10, a écrit : Pour la première fois depuis les Samanides, l'empire Perse a l'occasion de reprendre du poil de la bête. Dans ce mouvement d'expansion, il pourrait raviver les conflits entre sunnites et minorités chiites dans le Golfe. L'attitude de l'Iran dépendra du rôle modérateur de son nouvel allié, la Turquie et sa capacité à servir de tampon avec l'Egypte et à influer sur les Frères Musulmans.

Il faudra aussi compter avec les guerres civiles pour le contrôle du pétrole qui ne manqueront pas d'éclater dans les Etats pétroliers en proie au chaos. Ben déjà, les tensions entre sunnites et chiites ont éclaté au grand jour en Irak depuis 2003 me semble-t-il, sans même parler de la baston Iran-Irak d'il y a quelques années, et sans parler de ce qui ne va pas manquer de se passer en Syrie.Ensuite, j'ajouterais que concernant l'un des plus grands pays arabe pétrolier, l'Algérie, a été il y a peu en situation de guerre civile.

Citation. 8 - Tunisie, Egypte, l'internationale socialiste décimée. 8 - Tunisie, Egypte, l'internationale socialiste décimée. Révoltes arabes : Une leçon de civilisation. Version imprimable Emmanuel Martin – Le 17 février 2011. Beaucoup de ceux qui avaient connu l’Égypte dans les années soixante pouvaient évoquer leur tristesse de voir le pays décrépir. Le passé grandiose du pays des pharaons amplifiait d’autant ce sentiment. « Comment une civilisation jadis brillante, a-t-elle pu tomber si bas ? » Et beaucoup, dans le monde dit « développé » pouvaient, avec une dose de racisme, y voir la main de « l’esprit arabe », de l’Islam, et autres réflexes, presque coloniaux, qui s’intègrent si facilement dans la doctrine du « choc des civilisations ».

C’est d’ailleurs pour cette raison, entre autres, que « l’exceptionnalisme arabe », en matière de non respect des libertés, ne posait pas de problème en occident : « ces gens-là ne peuvent pas être libres du fait de leur culture ». Le problème à l’envers Et si les esprits si éclairés, en occident et ailleurs, avaient opéré une confusion majeure dans le sens de la causalité ? Liberté, responsabilité, civilisation. Sortir les Égyptiens de l’apartheid économique. Par Hernando de Soto. Plus de 90% des Égyptiens détiennent leurs biens sans titre légal.

Pas étonnant qu’ils ne puissent pas prospérer et qu’ils aient perdu l’espoir. Comment libérer la société égyptienne Un gros titre qui est apparu sur la chaîne Al Jazeera le 14 janvier, une semaine avant que les Égyptiens ne descendent dans les rues, affirmait que « la véritable terreur qui ronge le monde arabe est la marginalisation socio-économique ». Le gouvernement égyptien a longtemps été préoccupé par les conséquences de cette marginalisation. Il voulait obtenir les chiffres sur la façon dont beaucoup d’égyptiens ont été marginalisés et quelle part de l’économie était exploitée de manière extra-légale, c’est-à-dire sans les protections des droits de propriété ou l’accès à des outils d’affaires normales, comme le crédit, qui permettent aux entreprises de se développer et de prospérer. L’espoir déçu d’une réforme libérale Puis, à la suite d’un remaniement du cabinet, M. La raison ? Prêts pour la liberté. Beaucoup de ceux qui avaient connu l’Égypte dans les années soixante pouvaient évoquer leur tristesse de voir le pays décrépir.

Le passé grandiose du pays des pharaons amplifiait d’autant ce sentiment. « Comment une civilisation jadis brillante, a-t-elle pu tomber si bas ? » Et beaucoup, dans le monde dit « développé » pouvaient, avec une dose de racisme, y voir la main de « l’esprit arabe », de l’Islam, et autres réflexes, presque coloniaux, qui s’intègrent si facilement dans la doctrine du « choc des civilisations ». C’est d’ailleurs pour cette raison, entre autres, que « l’exceptionnalisme arabe », en matière de non respect des libertés, ne posait pas de problème en occident : « ces gens-là ne peuvent pas être libres du fait de leur culture ». Le problème à l’envers Et si les esprits si éclairés, en occident et ailleurs, avaient opéré une confusion majeure dans le sens de la causalité ?

Liberté, responsabilité, civilisation Lire la suite sur Un Monde Libre.

Tunisie

Révolution au Moyen-Orient. Au Caire et à Tunis, c’est Rifaa qui revient. Rifa'a al-Tahtawi (1801-1873) Lors de la révolution de juillet 1830, le jeune Rifaa de la ville de Tahta en haute Egypte (El Tahtawi) se trouvait à Paris : imam diplômé de la mosquée de El Azhar au Caire, il accompagnait une délégation de princes égyptiens chargés par leur pacha, Mehemet Ali, d’étudier en France les sciences contemporaines et d’en faire profiter leur pays, au retour. Les princes se dissiperont mais Rifaa apprendra vite le français et deviendra la coqueluche des salons de l’époque.

Au cours des sept années que durera son séjour, il accumulera une gigantesque bibliothèque qu’il fera, par la suite, traduire en arabe. Sa mission achevée, il deviendra le principal conseiller du pacha, créera des écoles pour filles, publiera les premiers journaux en langue arabe, introduira les sciences dans l’enseignement : Rifaa fut le fondateur de l’Égypte moderne, en un temps où son pays rayonnait sur l’ensemble du monde musulman. No Woman, No Drive. No Woman No Drive. El Mouwaten.