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Alain Madelin

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Affaire Depardieu : Alain Madelin et Dominique Reynié. 29 novembre, conférence de Jean-Marc Daniel à Paris. Dans le cadre du cycle de conférence à Paris autour d’Alain Madelin, sur « connaître l’économie pour mieux comprendre le monde », Jean-Marc Daniel donnera une conférence à Paris jeudi 29 novembre. Par la rédaction de Contrepoints. Un grand cycle de vingt conférences, organisées par Alain Madelin, a débuté jeudi dernier, avec une conférence de lancement sur « La grande mutation ». Jeudi 29 novembre, de 18h30 à 20h30, l’économiste Jean-Marc Daniel donnera une nouvelle conférence dans le cadre de ce même cycle de découverte de l’économie.

Inscriptions impératives auprès de Marie-France Suivre (mfsuivre@hotmail.fr). Salle de conférence du Patio173 boulevard Haussmann 75008 PARISMétro : Saint Philippe du Roule ou Miromesnil Présentation générale du cycle de conférences Un nouveau monde se dessine. Neuf autres conférences pédagogiques seront assurées par Alain Madelin pour maitriser les concepts économiques, sociaux, et juridiques fondamentaux. Alain Madelin : « La décennie 2020-2030 va être extraordinaire » XEnvoyer cet article par e-mail Alain Madelin : « La décennie 2020-2030 va être extraordinaire » Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Fermer Le logiciel libéral à l’heure de la mondialisation et de l’économie de la connaissance par l’un de ses plus ardents promoteurs Retraité de la politique, peut-être, mais pas retraité du combat des… idées. La crise, loin de remettre en question l’exigence libérale, l’a au contraire accélérée.

La spécificité étatique française Or, et c’est là où réside notre difficulté, la France a un problème avec l’Etat. Un axe gauche-droite caduc La droite aime un peu le libéralisme économique, pas le libéralisme social et politique. La reconnaissance du social On a oublié l’héritage libéral de la Révolution française. L’Etat doit encourager ces solidarités naturelles. Le TGV de la croissance plutôt que la redistribution L’essence du libéralisme est le partage de la prospérité. Par Phillipe Plassart. Video Invité Ruth Elkrief : Alain Madelin. Le retour d'Alain Madelin ? La politique est, en France, un jeu dangereux. Quiconque se présente se retrouve avec la justice au cul. Et quand on cherche, on trouve. La seule façon d'éviter ça ce serait d'interdire toute attaque personnelle contre un politicien pendant la période électorale, avec en plus une immunité pénale (suspension des poursuites jusqu'au résultat de l'élection, avec report du délai de prescription).

Je ne pense pas que la justice souffrirait tant que ça d'attendre un an et demi de plus pour être rendue, et ça évacuerait un certain nombre dossiers où l'institution judiciaire est instrumentalisée à son grand dam comme moyen de chantage. Bien sûr ce serait évidemment un cautère sur une jambe de bois qui créerait d'autres problèmes, probablement plus qu'il n'en résout. Voici un bon slogan qui a défaut d'être nécessairement libéral, est en tout cas fort démocrate : le programme anonyme, pour juger le politicien sur ce qu'il propose et non sur son apparence.

Alain Madelin, le retour ? Le Talk : Alain Madelin, invité du Talk Orange-Le Figaro. Pour l'ancien ministre, «gauche et droite servent des arguments sur un plateau au FN». Le libéralisme, antidote politique au Front national? Pour Alain Madelin, c'est une évidence. «Libéral complet», l'éphémère ministre de l'Économie et des Finances d'Alain Juppé pendant l'été 1995 considère qu'aujourd'hui l'axe gauche-droite ne veut plus rien dire. «La droite est devenue très conservatrice, adepte de l'État et de la fermeture des frontières», déplore-t-il sur le plateau du «Talk Orange-Le Figaro».

Quant à la gauche, toujours aussi étatiste, elle pourrait selon lui «évoluer», mais n'en a jamais pris le chemin. Au final, «tout le monde a pour adversaire la mondialisation libérale, estime Madelin. «Effets pervers» L'ancien candidat à la présidentielle de 2002 ne conçoit pas, malgré la présence de ses amis libéraux à l'UMP comme Hervé Novelli, que le parti présidentiel puisse reprendre le flambeau. La France manque d’une bonne boussole. Aujourd’hui, face au nouveau monde, la France a assurément un problème d’orientation. La politique manque de sens et une classe politique déboussolée semble ne pas trop savoir où elle va, ni même où elle est. Les problèmes économiques et sociaux se ramènent aujourd’hui presque toujours à la promesse d’une bienveillante intervention de l’Etat.

«Vous avez un problème ? L’Etat a une solution.» Deux exemples au hasard de l’actualité : le logement est trop cher, disent les socialistes, il faut donc que l’Etat construise davantage et bloque les loyers ; les prix du gaz et de l’électricité augmentent, il faut que l’Etat en fixe le juste prix, nous dit le gouvernement ! Les nouvelles générations connaissent le test proposé par Facebook («The world’s smallest political quiz») pour indiquer leur sensibilité politique. La chute du mur de Berlin a signifié la fin d’un monde dominé par la souveraineté des Etats sur les individus.