Diigo et le social bookmarking : histoire d’une (r)évolution. Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Le double risque : en plus d’être difficile à contrôler, «faire du buzz» n’est pas une fin en soi Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public. Diigo, an Awesome Tool For Online Research and Reading.
Diigo, mode d'emploi pour débutants. Diigo: excellent outil de travail collaboratif. Habituellement Activeille ne s’intéresse qu’aux outils éprouvés et rodés, dont la valeur ajoutée dans le domaine des activités quotidiennes de l’entreprise est vérifiée par un solide retour d’expérience. Les solutions « high tech », mais à l’avenir incertain, sont plutôt abordées ici. Mais voilà un outil qui vient de sortir en version publique, après six mois de tests privés, et qui est tout à fait remarquable. Il s’agit de Diigo, au nom un peu bizarre, correspondant à l’acronyme « Digest of Internet Information, Groups and Other stuff », qui se présente comme un outil de partage de liens (social bookmarking), mais va bien au-delà . Peu importe la théorie, extrêment riche au demeurant, c’est encore la pratique qui nous intéresse dans ce produit. On peut en faire deux lectures. Cette mise en valeur de paragraphe reste attachée à la page et est rendue visible aux autres membres de la communauté !
La seconde lecture est, par principe, plus simpliste. Et la page de résultats:
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