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Netexplorateur : Emergence du e-leader. La diffusion de l'informatique et d'internet a modifié les codes et le fonctionnement des Digital Natives aussi désignés sous l'appellation Génération Y. Ce sont les gens nés après 1985 et qui arrivent actuellement sur le marché du travail. Les traits de cette nouvelle génération sont les suivants : - Elle n'a pas envie d'une hiérarchie rigide et pyramidale - Elle s'attend à ce que les décisions soient prises rapidement et suivies d'actions - Elle veut des explications et a envie de donner un sens à sa participation à la vie de l'entreprise - Elle a besoin d'être entendu sans forcément vouloir prendre la parole tout le temps - Elle veut être récompensée pour ce qu'elle fait Il y a aussi de nouvelles compétences qui commencent à émerger et à être repérées par les entreprises.

Pour s'adapter, les entreprises doivent composer avec les désirs de la nouvelle génération et revoir son système de management. Un autre point à aborder et celui du recrutement et des réseaux sociaux. Présentation du Nouvel Ingénieur. La nécessité d'améliorer l'alphabétisme technologique. En introduction du Forum Netexplorateur, la directrice générale de l'UNESCO, Irina BOKOVA insiste sur "la nécessité d'améliorer l'alphabétisme technologique [technological literacy en anglais, ndlr]".

Cela rejoint certaines propositions d'idées de notre débat : "Intégrer les nouvelles technologies (notamment Internet) au coeur de la formation" Thibaut , ENAC, Toulouse la formation sur la maîtrise des outils informatiques de demain (LaTeX, Joomla, faire un wiki, les outils Google ou opensource équivalent ..) " Max Evans , AthisM et Joomla, pas très utile. Mais savoir faire de la veille, organiser ses connaissances (Knowledge Management, Mind Mapping), gérer ses projets personnels ou professionnels (Basecamp et cie), savoir sonder efficacement ... Utiliser judicieusement les réseaux sociaux professionnels et personnels. N'hésitez pas à commenter les articles!

Catégorie: Nouvelles technologies et Web 2.0 Tags: Les bouleversements de la pensée algorithmique ! Deux années de prépa, deux années coupés du monde? Le débat sur le C2i2mi que nous avons entamé pour permettre aux étudiants de s'exprimer sur la validité d'un certificat qu'ils auront certainement à obtenir n'a suscité que très peu de réactions. Cela fait une semaine que le sujet est ouvert et il n'y a eu que 7 personnes qui sont intervenues sur le Google Moderator C2i2mi. La communication ne s'est peut-être pas bien déroulée. Nous avons pourtant envoyé un mail à une cinquantaine de BDE d'écoles, nous avons aussi posté un message sur le forum prépas.org (Débat National sur le C2i2mi) car ce certificat concerne surtout les futurs étudiants ingénieurs.

Le support de débat est peut-être trop confus. La structure était voulue pour être calquée sur les propositions de la commission chargée de l'élaboration du certificat et permettre ainsi les critiques constructives sur le travail réalisé ainsi que des contre propositions. Simplement, je me demande si cela est représentatif des élèves ingénieurs. Pour une réhabilitation de l'intuition en grande école d'ingénieurs. Un des points qui a été soulevé assez régulièrement à propos de l'enseignement supérieur Français en sciences est qu'il accorde une place trop importante aux mathématiques et à la physique, qu'il inculque une vision trop théorique et abstraite et que la quantité d'informations apprises est trop importante.

Cet apprentissage massif de connaissance se fait au détriment du développement des capacités de créativité, d'imagination et d'intuition. Montaigne affirmait en son temps que le gavage des oies et le bourrage de crâne étaient à proscrire. Selon lui, "Il vaut mieux une tête bien faite qu'une tête bien pleine. " Il héritait directement de l'essor de l'imprimerie qui retirait dans une certaines mesure à la connaissance son statut de capital rare et précieux.

Les TD, les colles et les examens se résument souvent à devoir résoudre des problèmes types grâce aux méthodes enseignées en cours. Et pourtant! Quelles solutions apporter? Moins de 10% des élèves-ingénieurs se disent créatifs et intelligents! A la question : « Comment vous décririez-vous ? » : un quart des élèves-ingénieurs se considèrent comme sociables, méthodiques, persévérants, travailleurs, compréhensifs et raisonnables.

Moins de 10 % se disent confiants dans leurs capacités, ambitieux, aimant les machines (8,7 %), créatifs, intelligents (7,6 %), avec des capacités de leader ou intuitifs. Et 1 % se déclarent passifs.Il est à noter que les élèves-ingénieurs dressent un portrait plutôt sévère d’eux-mêmes. Ils se reconnaissent des qualités plutôt scolaires : méthodiques, persévérants, travailleurs, mais ne s’attribuent pas des qualités créatives : intelligence, intuition, créativité. Enfin, moins de 1 % se décrivent sûr d’eux. L’élève-ingénieur pendant ses étudesDès leur entrée en école d’ingénieurs, certains élèves ressentent un malaise qui peut conduire au ;désir d’abandon du cursus (30 %). A la question : ;« Quels facteurs externes vous encouragent à persévérer dans vos études ?

Le Nouvel Ingénieur. Blog-Le Nouvel Ingénieur. Time for Change. En l'espace d'un mois, la jeunesse tunisienne s'est révoltée et la nouvelle génération d’égyptiens a forcé son gouvernement à redistribuer les cartes de la politique. Les deux mouvements sont representatifs d'une évolution des consciences dû à l'outil au coeur de l'organisation des contestations: le web 2.0 et ses réseaux sociaux. Partout il est admis qu'internet est une révolution. C'est une révolution en politique, comme la campagne d'Obama l'a montrée, c'est une révolution du journalisme, du mode de fonctionnement des gouvernements, c'est une révolution en matière de marketing et plus largement une révolution pour l'ensemble de l'entreprise.

Aujourd'hui la question qui se pose le plus, quel que soit votre secteur d'activité est comment s'adapter a cette révolution? Comment intégrer les nouveaux outils du net, ses nouvelles fonctionnalités? Nos écoles et universités ont besoin de répondre à cette question. Indignons-nous ! "Indignez-vous ! " nous disait Stéphane Hessel dans son récent livre du même titre. Et bien oui, indignons nous! On observe deux phénomènes parmi les élèves ingénieurs: 1/ Un mécontentement chronique et une désillusion notoire par rapport à leurs formations 2/ Une forme de passivité.

"Aux jeunes, je dis: Regardez autour de vous, vous y trouverez les thèmes qui justifient votre indignation. " Il est temps pour nous de nous indigner. "La pire des attitudes est l'indifférence, dire "je n'y peux rien, je me débrouille" Nous sommes tous ensemble victimes de ce manque de changement, de réalisme de concret de nos formations. Soyons indignés mais soyons aussi constructeurs et créateurs. "Créer, c'est résister.

Rejoignez nous pour travailler ensemble à ce projet concret! Toutes les citations sont tirés du livre de S. Ça gronde sur facebook : Comment des milliers d'élèves ingé perçoivent leurs études. Netexplorateur : La révolution des interfaces. En 1492, lorsque Gutenberg invente l'imprimerie, les réactions sont vives : "On va perdre la mémoire!

", "C'est la ruine des copistes! ". A l'époque, les élites cultivées connaissent des dizaines de livres et les ont en tête au mot près. Les livres sont trop précieux pour être transportés en voyage. L'imprimerie a permis la diffusion de l'esprit des lumières et a finalement contribué à créer de nombreux emplois. Gutenberg lance son invention en convainquant le Pape qu'il peut imprimer la bible en plus gros caractères et en plusieurs exemplaires. Le Pape accepte et c'est ce qui lance l'imprimerie. Sans le savoir, il participe à ce qui sera la cause de la Réforme protestante. Cet exemple illustre deux effets qui se produisent lorsqu'un changement bouleverse les choses : - l'effet de myopie : on fait les anciennes choses avec la nouvelle invention - l'effet de chenille : on porte des jugements avec les anciennes valeurs qui sont périmés On assiste à une destruction :

La question de la finalité. - Je révise.- Pour avoir une bonne note à mon examen.- Pour valider cette matière et passer en troisième année.- Pour pouvoir obtenir mon diplôme d'ingénieur.- Pour avoir l'assurance d'être respecté à ma juste valeur et d'avoir un emploi rémunérateur. Voilà le discours général que tient un ingénieur en formation. Il arrive assez souvent que cet étudiant sèche les cours qu'il jugerait inutiles pour avoir plus de temps pour réviser et plus de temps pour lui.

Il cherche naturellement à maximiser le retour sur investissement, c'est à dire à maximiser sa note en minimisant le temps qu'il a consacré à son travail. Son intelligence et son esprit d'initiative s'expriment à travers les diverses combines mises en places. Il faut de l'imagination pour inventer une excuse pour sécher tel cours qui tombe la veille d'une épreuve qu'on n'avait pas anticipée. Ce système dévoyé qui valorise la roublardise et l'hypocrisie intellectuelle convient très bien aux étudiants comme aux professeurs. Etudiante, je hais les partiels, marathon des nerfs pour perroquets.

Si l’on se réfère à la terminologie en vogue, je suis actuellement étudiante en quatrième année dans une « grande école » dont on ne cesse de vanter la qualité de l’enseignement. On évoque souvent le désintérêt des jeunes pour l’école. Pourtant, il y a quatre ans lorsque j’étais encore la candidate n°4307, j’ai senti mon cœur faire des claquettes sur mon estomac en remettant ma copie aux surveillants. Je sors d’une session d’examens. Et je partage les conclusions d’un rapport de juillet 2007 remis au ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche sur les modalités d’évaluation des étudiants. Au bout de huit pages... un « peu clair » Il y est souligné que la correction n’aide en aucun cas l’étudiant à progresser, puisque les fameux « partiels » ne donnent lieu à aucun retour. De même, le rapport souligne que le contrôle continu est rarement assorti d’un réel travail sur les difficultés de l’étudiant.

La note sur 20, nuancier de 80 humeurs Autre aberration : la note sur 20.