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5 outils de curation au banc d'essai. Dans un marché fourni et diversifié, où les plateformes se comptent par dizaines, il faut distinguer deux types d’outils d’organisation de contenu : les outils d’éditions manuels et ceux de publication automatique. Cinq sortent du lot grâce aux possibilités et fonctionnalités qu’ils offrent : Diigo, Scoop.it, Pearltrees, Paper.li et Storify. 1. Outils d’édition de contenu manuels Les utilisateurs choisissent eux-mêmes les articles à diffuser.

Diigo Outil de social bookmarking (marque-pages), Diigo compte une grande communauté d’utilisateurs. DiigoPoints forts : très grande richesse fonctionnelle : gestion, classement et partage de favoris, création de flux RSS, annotation de pages, groupe de travail…mode de recherche détaillé et efficace : par nom, mail de l’utilisateur, mots-clés, nom de domaine et URLdiffusion thématique ou chronologiquepermet un usage collaboratif intéressant Points faibles : interface austèreoutil pas évident à prendre en main Scoop.it Scoop.itPoints forts : Point faible : 2.

Overdose de mots sur Internet : notre cerveau préfère les images. Avec Internet, nous retenons moins bien les informations, surtout si elles prennent la forme de mots. Bonne nouvelle : notre cerveau enregistre bien plus vite les images. Les mots seraient-ils en train de disparaître de nos écrans ? Désormais, une icône désigne une application, une photo identifie un utilisateur, un crobar remplace une consigne, une infographie expose un processus complexe. Y a-t-il une raison à cette mise en image tous azimuts ? Nous recevons aujourd’hui cinq fois plus d’information qu’en 1986, ont calculé des chercheurs américains. En 1986, nous envoyions – par courrier, téléphone, fax – l’équivalent de deux pages et demie d’un journal d’information chaque jour. Aujourd’hui, c’est six journaux que nous produisons chacun quotidiennement, avec la multiplication des écrans. Mais il n’est pas sûr que nous fassions un meilleur usage de cette débauche de nouvelles.

Autrement dit, avec Internet, nous retenons moins les informations, et nous les comprenons moins bien.