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Bâtiments à énergie positive

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Green Office® : retour d'expérience d'un bâtiment BEPOS. Alphéeis - Map. Les informations présentées dans ce site, actuellement en cours de construction, sont issues de travaux menés par l' . Ces travaux ont pour objectif d'une part de disposer d'une actualisée des opérations qualifiées aujourd'hui en France, réalisées ou en cours de réalisation, sur la base des informations disponibles ; d'autre part, de réaliser une analyse approfondie sur un panel d'opérations représentatif des différents usages et des différentes zones climatiques. A ce jour, la partie publique donne accès à la cartographie et à la liste des opérations identifiées.

Dix-sept détaillées d'opérations y sont également publiées. Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à ces travaux et sommes à votre disposition pour plus d'informations. A propos des critères de sélection des opérations : BBC avant déduction production PV + production locale > consommations conventionnelles(*) bâtiment livré(*) zone climatique couverture des différentes zones climatiques (France métropolitaine) secteur. Au-delà du bâtiment à énergie positive : le bâtiment intelligent.

Le Bâtiment Basse consommation, c'est bien. Le Bâtiment à Energie Positive, c'est mieux. Le combiner avec une consommation intelligente de l'énergie, c'est encore mieux ! Et c'est précisément sur ce sujet que travaille l'Institut National de l'Énergie Solaire dans le cadre du projet INCAS. Panneaux solaires photovoltaïques, chauffe-eau solaire thermique pour les besoins en eau chaude sanitaire etc… combinés à une isolation performante et une ventilation double-flux : toutes ces solutions sont bien connues pour passer d'un bâtiment basse consommation à un bâtiment à énergie positive (Bepos). Utilisation cohérente de l'énergie Pour aller au-delà de la désormais "simple" maison qui produit plus d'énergie qu'elle n'en consomme, l'INES, l'Institut National de l'Énergie Solaire, mène des recherches pour permettre une gestion intelligente de l'énergie et notamment la cohérence entre les sources de production et la consommation.

Construire passif peut-il rimer avec prix compétitif ? - Bâtiment. © Atelier Michel Jolyot Immeuble de 13 logements passifs, implanté à Bétheny, près de Reims Sur les projets passifs français, on parle de surcoût ou de surinvestissement par rapport au BBC. En Belgique, où le concept est plus répandu, le coût de construction d’un bâtiment passif peut être inférieur à celui d’un immeuble standard. Explications. Pour son premier chantier de logements collectifs à viser la labellisation « passif », Habitat 62/59 Picardie aura dépensé plus que pour ses précédents projets labélisés BBC-Effinergie. Le coût de construction (hors honoraires) des immeubles d'habitation en cours de réalisation à Béthune (62) devrait s'élever à 1400 euros HT le m². Ce surinvestissement semble se concentrer sur quelques lignes de bordereaux de prix.

En France, l'exigence du "Passif" necessite des équipements onéreux et peut coûter cher aux artisans L'importance du coût des vitrages et des VMC double flux se retrouvent également sur un projet passif implanté en Champagne-Ardenne. Pourquoi le BBC ne "marche-t-il pas"? Ce que la comparaison des labels Passivhaus et BBC nous apprend sur les faiblesses de la méthode de calcul thermique réglementaire Toutes les semaines de nouveaux retours d'expériences significatifs sur le BBC apparaissent.

Tous font le même constat : les valeurs-objectifs de consommation énergétique sont dans les faits dépassées. Comportement des locataires, température de référence, mise en oeuvre, entretien et maintenance, variations climatiques... les raisons de ce différentiel entre objectifs de consommation conventionnelle et réalité des consommations sont nombreuses et bien connues. Chaque jour, le savoir de la chaine de valeur du bâtiment progresse vers l'amélioration de ces faiblesses et vers l'obtention de performances réelles. Citons par exemple les deux articles récents du Moniteur qui se fondent sur une excellente étude d'Enertech et qui répertorient les défauts de conception, de mise en oeuvre et de gestion du chauffage d'une part et de la ventilation d'autre part.

Un nouveau siège à « énergie positive » en Picardie. Mi@ep. Les Bâtiments de demain selon CONCEPT QUALITE HABITAT ENERGIE – Part V. Les Bâtiments de demain selon CONCEPT QUALITE HABITAT ENERGIE – Part V Alors quel visage urbain pour nos bâtiments de demain… ? La Suite du CQHE, l’Appel à idées initié par le Ministère de l’Écologie en 2008 et organisée par le PUCA, Plan Urbanisme Construction Architecture, dont le but est de développer des conceptions de bâtiment résidentiels vers une démarche à très haute performance énergétique et environnementale en vue de réalisations dans le contexte du logement social ou privé. Part –5- Mini tour à très haute qualité environnementale et très basse consommation pour réconcilier le citoyen et l’habitat collectif (Tikopia) Points forts Le projet s’appuie sur une forme très caractéristique, des études de dimensionnement et d’estimation des consommations très poussées.

. ▪ la qualité d’usage ▪ la thermique (hiver et été) ▪ l’hygiène ▪ la sécurité incendie ▪ la structure. Les options urbaines allient intelligence du contexte et innovation. Fonctionnement général Une équipe concourante Enveloppe. Un immeuble-laboratoire à énergie positive en Allemagne - Recherche & développement. © J. -C.G. D’une surface totale de 1335 m2, dont 535 m2 de bureaux, cet immeuble récemment livré met en œuvre le duo « pompe à chaleur + panneaux photovoltaïque » Mené en partenariat avec plusieurs instituts scientifiques, le projet NZEB de Daikin vise à montrer que les Bepos sont réalisables dès à présent au moyen de techniques relativement courantes. « Conformément à la directive EPBD (Energy Performance of Buildings Directive), la construction de bâtiments à énergie positive sera non seulement une réalité mais une obligation dans l'Europe de 2020 », martèle Ansgar Thiemann, responsable technique au Centre de recherches pour l'environnement de Daikin à Bruxelles.

Pour anticiper la réglementation et démontrer que les techniques « sur étagère » permettent dès à présent de réaliser de tels ouvrages dans le tertiaire, cet industriel s'est lancé dans un ambitieux projet de recherche baptisé NZEB (Nearly Zero Energy Building) . © J.