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Peer-to-Peer Technology

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Duolingo 'incubator' aims to crowdsource language teaching. Duolingo's "incubator" courses will be free and include languages that many tools miss.

Duolingo 'incubator' aims to crowdsource language teaching

Language app Duolingo creating system for users to teach languagesThe "incubator" lets people fluent in two languages to team up on a courseA goal is to highlight obscure languages not taught as often as major onesThe tool is free to use, and contributors will not be paid Editor's note: The following article was translated from Spanish to English using Duolingo.

(CNN Espanol) -- It's relatively easy to find English, Spanish, French and German courses online. But, what if you want to learn Latin, Silbo Gomero, Mayan or Basque? Or a fictitious language such as Dothraki from "Game of Thrones" or Klingon from the "Star Trek" saga? Then it gets more complicated. However, linguistic diversity is a world heritage that's at risk of disappearing. But technology could come to the rescue.

Peer-to-Peer Energy / Smartgrid

P2P Foundation. Peer-to-Peer Education. Collaborative Economy. Tor Project. BitTorrent (protocole) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

BitTorrent (protocole)

BitTorrent est un protocole de transfert de données pair à pair (P2P) à travers un réseau informatique. Le protocole a été conçu en et mis en place à l'été 2002 par le programmeur Bram Cohen[1], et est maintenu depuis 2004[2] par la société BitTorrent Inc[3]. Le protocole BitTorrent part du constat suivant : Dans cette animation, les barres colorées sous les clients représentent des pièces ou blocs individuel du fichier distribué. Après le transfert originel depuis le « seeder », les pièces sont individuellement transférées de poste à poste (de client à client). L'apparition de BitTorrent a par exemple permis la mise à disposition de distributions GNU/Linux complètes sur DVD en lieu et place des téléchargements de simples CD. Les techniques utilisées sont : le téléchargement poste à poste depuis différents « pairs » (peer) pour un même fichier (technique dite multisourcing) et le morcellement du fichier en blocs qui le permet. Exceptions : Bittorrent s’attaque à la messagerie instantanée.

Bittorrent s’attaque à la messagerie instantanée Après avoir sorti BtSync, Bittorrent s'attaque à un gros morceau : Le Chat !

Bittorrent s’attaque à la messagerie instantanée

Rien à voir avec la lessive, je vous rassure... Quoique ce client entièrement décentralisé va permettre aux amoureux de la vie privée de ne pas laver leur linge sale en présence de la NSA. En effet, Bittorrent Chat fait la promesse d'un client de messagerie instantanée qui fonctionnera comme BtSync (en P2P) et qui permettra d'échanger des messages en temps réel. BT assure aussi que son logiciel sera compatible avec les standards SIP, donc potentiellement avec d'autres clients de messagerie instantanée... Top pour éviter tout ce qui est centralisé, même si on ne sait pas encore à quoi ce logiciel ressemblera ni s'il sortira d'abord sous Windows, Linux ou OSX mais on sait d'avance qu'il y aura une version mobile. J'ai vraiment été conquis par BTSync, du coup, j'espère être convaincu par BTChat... Vous avez aimé cet article ? L'anonymat du réseau BitTorrent mis en cause. Une équipe de chercheurs de l'Inria a démontré qu'il était possible de remonter dans de nombreux cas jusqu'à "l'utilisateur zéro", la personne qui met en ligne un fichier sur le réseau.

L'anonymat du réseau BitTorrent mis en cause

Une équipe de chercheurs de l'Inria a démontré qu'en utilisant plusieurs vulnérabilités du système d'échange de fichiers BitTorrent, il était possible d'obtenir des informations sur l'identité d'internautes qui téléchargent ou mettent en circulation des fichiers protégés par le droit d'auteur. Et ce, même en cas d'utilisation de certaines méthodes de dissimulation, censées garantir un anonymat face aux méthodes "classiques" de surveillance des réseaux P2P, telles que les pratiquent les sociétés qui fourniront à l'Hadopi les coordonées d'internautes suspectés de téléchargement illégal. L'équipe de l'Inria a donc tenté de diminuer le nombre de "faux positifs", ces adresses IP repérées mais ne correspondant en réalité pas à une personne.

Bitcoin, BitTorrent, TOR : un Internet décentralisé pour des usages centralisés ?