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Recherche et Libre-Accès

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Sjscience. Open Scholar C.I.C. – Time to let research free! L'open access expliqué aux jeunes chercheurs de ComEauLabo. ENS-Lyon. Pour-une-meilleure-visibilit%C3%A9-de-la-recherche-fran%C3%A7aise.pdf. Refdoc : le Creative Commons, solution contre la "contrefaçon étatique" La loi est dure, mais c'est la loi, et pour le service Refdoc, elle s'est appliquée justement.

Refdoc : le Creative Commons, solution contre la "contrefaçon étatique"

L'Inist (Institut de l'information scientifique et technique), filiale commerciale du CNRS, portail d'accès aux articles nommé Refdoc, et le Centre Français d'exploitation du Droit de Copie (CFC) viennent d'être condamnés pour vente illégale d'articles sur le fondement de la contrefaçon. Le collectif SavoirsCom1 propose une analyse de la situation, avec une conclusion simple : le recours maintenant inéluctable aux Creative Commons. steren.giannini, CC BY 2.0 L'INIST a été condamné dans un arrêt du 11 décembre 2013 de la Cour de cassation, dans l'affaire mettant en cause le service de fourniture de documents RefDoc. Bibliothèques universitaires : les accords entre Couperin et Elsevier. Open Access : Les bibliothèques académiques freinées par les budgets. Dans le champ des recherches scientifiques et des études en tous genres, l'Open Access, ou libre accès, a essaimé depuis le début des années 1990.

Open Access : Les bibliothèques académiques freinées par les budgets

Soucieux du savoir commun et du partage de la connaissance, des chercheurs se sont alors emparés de l'outil Internet pour publier en libre consultation le fruit de leurs recherches. Des journaux académiques en libre accès sont apparus depuis, et la question de leur prise en compte par les bibliothèques se pose. (SLUB Dresden, CC BY 2.0) Les bibliothécaires, et plus spécifiquement les personnes en poste dans des établissements académiques, ont observé avec intérêt le développement de ce mode de publication. Le Directory of Open Access Journals (DOAJ), répertoire de référence pour les publications scientifiques en Open Access, recense près de 10.000 revues académiques. En résumé, 6 points apparaissent cruciaux dans la gestion de ressources en Open Access : « Open access » doit être traduit par « accès ouvert » Depuis douze ans maintenant, notre communauté francophone traduit « open access » par « accès libre » alors que la traduction est tout simplement « accès ouvert ».

« Open access » doit être traduit par « accès ouvert »

Nous avons un terme français pour « open », qui est « ouvert ». 10 points pour tout comprendre de l'Open Access. Le mouvement de l'open access a été lancé avec une belle idée : mettre les résultats de la recherche à la disposition de tous dans des archives ouvertes et des revues ouvertes.

10 points pour tout comprendre de l'Open Access

Il conquiert maintenant le monde pour le plus grand bénéfice des auteurs, des chercheurs, des étudiants, des bibliothèques, des éditeurs, des universités et des centres de recherche. Et, tout aussi important, pour le bénéfice du grand public, quelle que soit sa formation et son parcours professionnel. Qu'est-ce exactement que l'open access ? L'open access (accès ouvert en français) est un vaste mouvement mondial visant à mettre les résultats de la recherche à la disposition de tous. Pour un accès libre et gratuit aux articles scientifiques. L'Académie des sciences propose d'élargir l'accès libre et gratuit aux travaux des chercheurs, tout en préservant la qualité des publications.

Pour un accès libre et gratuit aux articles scientifiques

Lorsque des chercheurs font une avancée ou une découverte, ils écrivent un article scientifique. Ils le soumettent alors à une ou plusieurs revues de leur choix (comme Nature, Science, PNAS, etc.). Mais ne publie pas qui veut. Les revues sélectionnent d'abord les articles qui leur semblent intéressants, puis montent un comité de lecture composé de scientifiques qui vont bénévolement évaluer la qualité du travail et réclamer certaines corrections ou précisions. Ce n'est qu'au terme de ce processus, appelé «peer-reviewing » (relecture par les pairs), que la publication est éventuellement acceptée et publiée. Re: Depuis janvier, les chercheurs en rébellion ouverte contre leurs éditeurs. Le savoir coûte cher, même à Harvard.

Il y a quelques semaines, nous évoquions ici la pétition The cost of knowledge , née d'une initiative du médaillé Fields Timothy Gowers. Rappelez-vous : celui-ci dénonçait alors avec virulence la politique commerciale d'Elsevier et le rôle du lobby dans le projet de loi Research Works Act , projet de loi allant à l'encontre des politiques d'accès libre aux résultats de la recherche.

Aujourd'hui, plus de 11000 chercheurs ont signé cette pétition, grâce à laquelle Elsevier a retiré son soutien au RWA, depuis abandonné. C'est au tour de la prestigieuse Université d'Harvard, première du classement de Shanghaï, de se joindre au mouvement et de dénoncer les pratiques tarifaires des grands éditeurs. Anatomy of open access publishing - a study of longitudinal development and internal structure. The longitudinal development of full immediate OA article volume spanning 2000 to 2011 is presented visually in Figure 2 and numerically in Table 1, where a breakdown of the total volume is provided for articles split into three different categories: online-only journals that require an article-processing charge, online-only journals that do not require an article-processing charge, and journals that still output print versions for subscribers but have all articles available OA online.

Anatomy of open access publishing - a study of longitudinal development and internal structure

It is important to point out that journals still producing a print version might also require an article-processing charge in addition to having income from subscriptions. However, such differentiation is not provided here due to the relative rarity of such journals as well as a desire to focus on these three mutually exclusive business models specifically. Harvard rejoint les universitaires pour un boycott des éditeurs. Pour dénoncer les prix exercés par les éditeurs de revues académiques, certains chercheurs veulent proposer leurs recherches en accès libre.

Harvard rejoint les universitaires pour un boycott des éditeurs

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Anna Benjamin Plus de 10 000 universitaires du monde entier ont déjà signé la pétition, "Le coût du savoir". Elle appelle au boycott de Elsevier, le géant hollandais de l'édition qui publie 2 000 revues scientifiques différentes par an. Depuis janvier, les chercheurs en rébellion ouverte contre leurs éditeurs. Nouveau modèle économique - Les revues scientifiques en libre accès. Harvard University says it can't afford journal publishers' prices.