background preloader

Open Science

Facebook Twitter

Livre blanc loi numerique.

Données de la recherche

Commission européenne. To Share or not to Share? That is the (Research Data) Question… | The Scholarly Kitchen. While public access to research articles is a fact of life for much of the scholarly community, access to research data – while a top priority for many governments and other funders, who see it as the key to future economic growth – remains a challenge. There are many reasons for this, both practical (eg, lack of infrastructure) and professional (eg, lack of credit, getting scooped). The publishing community can and does already help with the former, for example through support for NISO, CrossRef, CODATA, and other organizations and, increasingly, the development of data sharing and management solutions. Resolving the professional issues, however, will almost certainly require action by research funders and institutions. 2,886 researchers responded (3.2%), of whom 2,255 (2.5%) were actively working on a research project or had been in the last two years.

The respondents skewed towards the Americas (52%), with 30% from Europe, Middle East & Africa, and just 18% from Asia Pacific. Tutoriels « Le libre accès aux résultats de la recherche dans le cadre (...) Formez-vous rapidement où vous voulez et quand vous voulez ! Pour accompagner les équipes de recherche qui soumettent un projet dans le cadre d’Horizon 2020, l’Inist-CNRS propose une série de tutoriels multimédias sur le libre accès aux résultats de la recherche. Objectif Mettre en pratique les obligations / recommandations émises par la Commission européenne sur le libre accès aux publications scientifiques et données de recherche produites dans le cadre des projets H 2020.

Plan Les tutoriels abordent les thèmes suivants : Un tutoriel sur les principes généraux de dépôt des publications et données de la recherche dans le cadre d’Horizon 2020 Cinq tutoriels sur la rédaction d’un DMP (Data Management Plan), c’est-à-dire plan de gestion des données Un tutoriel sur le dépôt des données de recherche dans un entrepôt Un tutoriel sur les identifiants pérennes Pour une meilleure compréhension, nous vous invitons à suivre les tutoriels dans l’ordre indiqué. Attention ! Ocw dco 20160406 id8gfintb web hd. Eunl nws 20160127 id4wp83bh web hd. Livre blanc — Une Science ouverte dans une République numérique - Les témoignages du Livre blanc : des principes convergents vers une Science ouverte.

1Le présent chapitre présente un ensemble de propositions visant à faire évoluer le droit de l’information scientifique et technique pour prendre en compte les besoins et pratiques de la communauté scientifique, sécuriser les usages de la recherche publique, rééquilibrer la protection des intérêts en présence, et ce dans l’intérêt supérieur de la Science. 2Ces propositions sont formulées à partir : 3La France doit se conformer aux valeurs et règles émergentes dans les instances et législations supranationales et étrangères, faute de quoi la Science française risque d’être marginalisée. 4L’émergence nécessaire de ce droit nouveau de la Science ouverte repose sur des concepts clés existants et des intérêts légitimes qu’il convient de préserver. 6Afin de garantir une certaine souplesse d’application des dispositions légales au regard notamment des pratiques différenciées des communautés scientifiques, il est proposé la création d’un référentiel des usages, et la création d’une norme.

Open Science. Les sciences à l’âge du libre accès | CNRS Le journal. Peu à peu, la mise à disposition gratuite de la littérature scientifique bouleverse l’accès du public à la recherche. Marin Dacos, directeur du Centre pour l’édition électronique ouverte, revient sur les enjeux de cette discrète révolution. La prochaine fois que vous verrez un lecteur penché sur un écran dans le métro, songez qu’il n’est peut-être pas absorbé par le dernier ragot concernant une star de la téléréalité, mais en train de lire un article scientifique. Pourtant, la littérature scientifique a mauvaise réputation : elle passe pour être illisible en égale proportion de sa scientificité. On demande alors souvent aux médiateurs en tous genres de simplifier, résumer et illustrer une littérature qui n’a, normalement, pour lecteur et pour destinataire que les spécialistes.

Un lectorat majoritairement non académique La littérature « chiantifique » peut-elle donc intéresser d’autres personnes que les chercheurs à blouse blanche ? La fréquentation d’OpenEdition dans le monde. Bref. How institutional repositories are already working to solve the Open Access problem. Last week, Mike Taylor discussed his concerns on institutional repositories as an adequate solution to the open access problem and asked Green OA advocates to address these problems. In response, Natalia Madjarevic, Dave Puplett, and Neil Stewart clarify the existing capabilities of institutional repositories and highlight the powerful transitional role they can play in providing greater access and benefits for individuals, institutions and disciplines.

Mike Taylor’s recent LSE Impact blog post on Green Open Access (OA) and Institutional Repositories (IRs) provoked us into a defence of IRs. IRs have been around as long at the idea of Green OA, but they have long-since transcended it, becoming important parts of efforts to drive open access, bibliography, citations and data: the A-B-C-D of Open Scholarship.

Self-deposit in a repository was not, as many repository advocates would agree, designed as a complete, permanent solution to achieving universal Open Access. 1. Two-class system 2. 3. Pourquoi tweeter quand on est chercheur. Dans un article du journal Le Monde paru en 2014 intitulé “Twitter et les chercheurs, l’exception française ?” , Sylvain Deville s’étonnait de la faible place qu’occupe l’oiseau bleu chez les chercheurs français par rapport à nos collègues anglo-saxons. Notre rapport à la communication en général serait lacunaire, pour des raisons tant culturelles qu’institutionnelles. Aujourd’hui, grâce à En Direct Du Labo, nous vous proposons de participer à changer cet état de fait en constituant la première communauté de chercheurs francophones ouverts à la communication scientifique sur Twitter!

Pourquoi utiliser Twitter lorsqu’on est un(e) chercheur(se) ? Si vous pensez que vous n’avez rien à y gagner, voici quelques raisons qui pourraient vous faire changer d’avis : Cliquer sur la photo pour agrandir Peu d’efforts d’engagement La recherche scientifique est une activité chronophage qui laisse peu de temps à la communication. Un public large et varié Une conversation, pas un cours Références : De l’Open Science au cœur de New York avec l’université Columbia. Le périple Open Science continue à New York City dans le district de l’université Columbia, qui se situe à l’ouest de la ville, au nord de Central Park. Outre un campus totalement ouvert dans la ville, l’ouverture se fait également sentir dans les actions en faveur de l’Open Science notamment avec le Center for Digital Research and Scholarship. Après avoir traversé une vaste bibliothèque délaissée par des étudiants encore en vacances, je rencontrais Amy Nurnberger et Leyla Williams, du Center for Digital Research and Scholarship (CDRS).

J’ai découvert deux femmes jeunes et dynamiques, adeptes de Twitter pour partager et diffuser les dernières actualités Open Science. Elles m’ont donné un aperçu assez complet des services qu’une université peut mettre en place en faveur de l’Open Science. Un exemple qui inspirera, je l’espère, plus d’une de nos universités françaises. Une des réussites majeures du CDRS est notamment la création de la plate-forme Academic Commons.

Open data

Open innovation.