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Office 365 : Quels impacts business pour les utilisateurs. Voici 5 leviers pour améliorer durablement le quotidien de vos utilisateurs et libérer tout leur potentiel business. Lorsque l’on pense « Office », les noms de Word, Powerpoint, Excel ou Outlook viennent immédiatement à l’esprit. Pourtant « Office 365 » est bien davantage que ces modules indispensables à toute entreprise. C’est un ensemble qui encourage une approche plus collaborative et agile de la productivité personnelle, et qui améliore l’efficacité personnelle et collective en fluidifiant les communications, en simplifiant les partages, en favorisant la mobilité des équipes, en rapprochant l’entreprise de ses partenaires. Voici cinq impacts business majeurs d’Office 365 sur le quotidien de vos utilisateurs… 1 - Renforcer la collaboration des équipes Avec Office 365, plusieurs collaborateurs peuvent travailler simultanément sur un même document Word, Excel ou PowerPoint.

Chacun visualise sur quelles parties les autres agissent, et voit s’afficher en temps réel les modifications. Réseaux d’entreprise, nouveau modèle de gestion des ressources. Pour survivre à ce qui restera probablement dans l’Histoire comme l’une des pires récessions que le monde ait connue, les entreprises de tous pays ont fait leur introspection. Elles ont réduit les coûts, appris à faire plus avec moins, et elles ont investi massivement dans les technologies pour rationaliser leurs opérations internes et automatiser les processus financiers et opérationnels clés.

Mais le monde fonctionne différemment aujourd’hui. Les entreprises possèdent moins d’infrastructures, d’inventaire et d’équipements de fabrication que jamais. Elles ont externalisé le maximum de processus, de la relation client à la chaîne logistique. Et une partie croissante de leur main-d’œuvre ne provient plus de leur masse salariale à temps plein. Bienvenue à l’entreprise virtuelle Le modèle en réseau Tout au long de l’Histoire, les entreprises ont tenté de capitaliser sur les progrès technologiques pour améliorer leurs performances.

La prochaine vague d’innovation. Cloud, sécurité, mobilité et Big Data, IBM va investir massivement. L’heure est au plan d’action, aux investissements pour préparer les revenus de demain. Pendant que HP s’occupe de sa scission et repart à la chasse aux acquisitions pour renforcer son entité entreprise, c’est au tour d’IBM de passer par la case prospective avec aux commandes, Viriginia Rometty. La CEO d’IBM a délivré plusieurs messages à l’occasion d’une conférence avec les investisseurs. Le premier est que la société est en phase de transition, en reconnaissant que certaines activités sont en perte de vitesse et d’autres sont en phase émergente. Les résultats financiers parlent d’eux-mêmes. En 2011, Big Blue générait plus de 106 milliards de dollars de chiffre d’affaires contre 92,8 milliards en 2014.

Et cet avenir repose sur 5 piliers de croissance selon la dirigeante, « le Cloud, les services mobiles, l’analytique et l’informatique cognitif et enfin la sécurité ». Virginia Rometty n’est par contre par revenu sur le plan de réduction d’effectifs. A lire aussi : VMware s’appuie sur vSphere 6, vSAN 6 et NSX pour le Cloud hybride. Avis d'expert; les Objets Connectés et le Cloud - Guide Informatique - Toute l'actualité informatique et des TI: News, dossiers, agenda. Une tribune libre de Yves de Montcheuil, Strategic Advisor de Restlet Les objets connectés vont faire l’actualité en 2015. Sur les 3200 exposants du Consumer Electronics Show à Las Vegas cette semaine, plus de 70% présentent un objet connecté: capteur, traqueur, équipement de la maison, système audiovisuel, accessoire automobile. En fait, même les exposants ne rentrant pas dans ces catégories fournissent du contenu numérique, ou font partie de l’écosystème : incubateurs, fab labs, investisseurs, fournisseurs de processeurs ou de plastique, et bien entendu éditeurs de logiciel.

Cette orientation « objets connectés » pilote la conférence toute entière, avec les keynotes de Boo-Keun Yoon, CEO de Samsung Electronics sur l’Internet of Things ou du Dr Dieter Zetsche, Président de Daimler qui adresse le sujet de la voiture autonome. Car la connectivité est la caractéristique commune à tous ces objets connectés qui, de par leur nature, n’agissent pas de manière autonome. Cisco Live 2015: le cloud à l'honneur - Guide Informatique - Toute l'actualité informatique et des TI: News, dossiers, agenda. À l'occasion de l'événement Cisco Live Milan, Cisco s’interesse aux suites logicielles et aux services gérés dans le cloud. Cisco a annoncé quelques nouveautés :· L'expansion de Cisco Meraki, solution informatique gérée dans le cloud, à l'ensemble de l'infrastructure informatique.

Cisco passe à la gestion de la commutation, de la sécurité et de la mobilité. Par ailleurs, Meraki ne s'adresse désormais plus uniquement aux petites et moyennes entreprises (PME) mais également aux grands comptes, grâce à de nouvelles fonctionnalités spécialement conçues pour ce segment. · La disponibilité mondiale de Cisco ONE Software – un portefeuille complet de suites logicielles permettant d'accéder à de nouvelles innovations logicielles, à l'automatisation informatique, à des API ouvertes pour le développement d'applications et à des modèles de consommation flexibles.

Cisco Meraki peut être associée à la solution sur site traditionnelle de Cisco tout en intégrant un modèle informatique hybride. VCE choisit les technologies de VMware et d'EMC pour se lancer dans le cloud hybride. Le cloud hybride de VCE fonctionne comme un pool de services cloud de confiance compatibles. Pour proposer une plate-forme cloud hybride, VCE a choisi sans surprise de travailler avec VMware et EMC.

Pour rejoindre le train du cloud hybride, VCE a lancé une solution d'infrastructure convergente avec VMware et EMC. Appelée VCE Foundation for Federation Enterprise Hybrid Cloud, la solution intégrée permet d'accélérer et de simplifier le déploiement et la gestion des environnements cloud hybrides. Comme l'explique VCE, les pratiques reproductibles et standardisées de la « VCE Experience » ont été transposées dans Federation Enterprise Hybrid Cloud, offrant ainsi un niveau de convergence encore plus poussé. La solution permet également l'intégration d'autres technologies VMware et EMC, notamment NSX pour la virtualisation de réseau, vRealize pour l'administration et l'orchestration, et ViPR pour le stockage défini par logiciel.

Pour les infrastructures IT, les entreprises mettent aussi le cap sur le cloud. 33,4 milliards de dollars. C'est le montant que devrait atteindre les dépenses mondiales d'infrastructures cloud en 2015. Selon IDC, ces dépenses devraient croître de 26,4% sur l'ensemble de l'année. Les dépenses d'infrastructures cloud représentent à elles seules un tiers de l'ensemble des infrastructures IT.

Et cette part ne cesse de croître. A titre de comparaison, les investissements d'infrastructures non cloud stagnent autour de 67 milliards de dollars. Les investissements sont en croissance à la fois dans les cloud publics et dans les cloud privés. Dans les cinq prochaines années, IDC prévoit que les dépenses d'infrastructures cloud continuera de croître et leur part dans le total des dépenses d'infrastructures devrait flirter avec les 50%. Dépenses d'infrastructures cloud : +30% en Europe de l'Ouest en 2014. L’usage et le déploiement de services liés à l’internet des objets contribuent notablement au développement des infrastructures cloud.

Les achats de serveurs, de produits réseaux et de systèmes de stockage destinés aux cloud publics et privés ont atteint 26 Md$ dans le monde en 2014. HP, Dell et Cisco constituent le trio de tête de ce marché qui a progressé de 30% en Europe de l'Ouest. Le déploiement de cloud privés et publics ou leur élargissement connaissent un bel essor. Selon IDC, les dépenses mondiales liées aux infrastructures cloud ont en effet progressé de 14,4% à 8 Md$ au quatrième trimestre 2014 par rapport à la même période de l'année précédente.

Ce montant représente 30% (+3 points) de l'ensemble des investissements en serveurs, en systèmes de stockage et en équipements réseaux réalisés entre octobre et décembre derniers. Dans le détail, IDC précise que les achats trimestriels de solutions de ce type destinées aux cloud privés ont progressé de 18,3% à 2,9 Md$. Big Data : Google lance Cloud Dataproc en version bêta, un nouveau service pour exécuter des clusters Spark et Hadoop en 90 secondes. Google vient d'annoncer l’ajout d’un nouveau service Cloud dédié au Big Data et baptisé Cloud Dataproc. Ce dernier, actuellement en version bêta, devrait favoriser une meilleure gestion des clusters Spark et Hadoop à partir ​​de machines virtuelles. C’est un service similaire à Cloud Dataflow, car permettant aux utilisateurs d'orchestrer leurs pipelines de données sur la plateforme de Google.

Greg DeMichillie, responsable de la gestion des produits sur la plateforme Cloud de Google, affirme qu'avec ce nouveau service les utilisateurs seront en mesure d'exécuter des clusters Hadoop en moins de 90 secondes (démarrage, arrêt et redimensionnement), soit nettement plus rapide que les autres services. Cela dit, les utilisateurs pourront ainsi configurer des clusters ad-hoc en cas de besoin ; Google se chargera de l'administration de ces derniers. Source : Google Cloud Et vous ? Que pensez-vous de ce nouveau service ?

Allez-vous l'essayer ? Combien coûte une panne de datacenter ? Il y a quelques semaines, OVH a connu une panne mondiale. Si cela n’a été que quelques minutes, cette panne a coûté cher comme le montre cette étude . Au début du mois, le site a été inaccessible pendant plusieurs minutes. Un problème lié à la panne qu’a connu OVH avec ses datacenters. Ce type de coupure a forcément un impact sur notre business, mais c’est difficilement quantifiable. Pourtant, Ponemon Institue c’est penché sur la question. Cet organisme d’étude a l’habitude de réaliser un était des lieux des datacenters tous les deux ans. Pour cela, ils étudient les rapports basés sur le fonctionnement de 23 datacenters situés aux Etats-Unis . Le bureau d’étude c’est également penché sur les principales causes de ces pannes. Présentation d’OpenStack. OpenStack, vous connaissez ? Virtualisation et nuage/cloud, ça vous dit quelque chose ?

Si vous n’êtes pas un expert, vous voulez sans doute en savoir un peu plus. Cet article est fait pour vous. Nous allons rappeler ce qu’est un cloud, les différents types de clouds, et où se situe OpenStack. Ensuite, nous ferons une présentation d’OpenStack et de ses différents services. La version d’OpenStack baptisée Kilo est sortie le 30 avril 2015.

Cet article a pour but de faire une présentation assez rapide d’OpenStack et de servir de référence aux prochains articles, en particulier lors de la sortie de Mitaka en avril. NdM. : Cette dépêche est incomplète, elle a longtemps traîné en rédaction. Sommaire Les différents clouds Qu’est‐ce que le Cloud computing ? Le Cloud computing est un concept fourre‐tout. Le plus souvent il s'agit d'un service informatique extérieur à l'entreprise. Prenons un exemple pour bien comprendre : le cas d'une suite bureautique. Cloud privé vs public OpenStack Présentation Nova. OpenStack et Docker, futurs piliers de l'infrastructure IT des entreprises. Répartition du nombre de machines virtuelles tournant dans des clouds publics et privés des entreprises. (crédit : D.R.)

Une étude menée par Rightscale en début d'année fait état d'une montée en puissance du cloud hybride. Jusqu'alors dominantes, certaines technologies très utilisées comme vSphere/vCenter de VMware dans le cloud privé ou encore Chef dans la gestion des configurations doivent faire face à la percée des stars montantes comme OpenStack et Docker. En janvier 2015, RightScale a interrogé 930 professionnels informatiques au profil technique dans des organisations pour en savoir plus en matière de leur adoption envers le cloud computing. Les résultats de son étude RightScale 2015 State of the Cloud Report montrent que 93% des organisations font tourner ou mènent actuellement des expérimentations en matière de cloud (IaaS). VMware toujours devant OpenStack Répartition des workloads d'entreprise par type de clouds.

La démarche DevOps adoptée par 66% des entreprises. OpenStack, clef de voûte du cloud Open Source - Le 03 Octobre 2014 OpenStack est-il la clef de voûte des infrastructures cloud Open Source, comme l'a été Linux, en quelque sorte, pour les systèmes d'exploitation pour serveurs et machines virtuelles ? C'est en tout cas bien parti pour que ce framework de gestion de clouds (aussi bien privés que publics) devienne la référence et le standard de fait face aux solutions propriétaires que sont Amazon Web Services, Microsoft Azure ou encore VMware.

D'ailleurs, certains acteurs comme VMware, ont décidé d'investir la Fondation OpenStack pour contrôler l'évolution du framework et travailler sur l'ouverture de leurs propres solutions avec des connecteurs dédiés. L'engouement que suscite OpenStack est, quoi qu'il en soit, énorme, et pour cause, à la base, cet ensemble normalisé et ouvert d'outils a été conçu pour rendre l'infrastructure cloud commode et pratique. Cela dit, vous le verrez à la lecture de ce dossier, OpenStack possède aussi son lot de détracteurs. Sommaire du dossier : 1. Ubuntu 15.10 simplifie l'installation d'OpenStack. Ubuntu 15.10 inclut la dernière version de la pile cloud OpenStack, Liberty. (crédit : Pierre Cante) La dernière version de la distribution Linux de Canonical est livrée avec un programme d'installation simplifié pour OpenStack, ainsi qu'un hyperviseur LXD et des capacités de réseaux virtuels pour les opérateurs de télécommunications.

S'il est une distribution Linux qui a beaucoup oeuvré pour se rapprocher d'OpenStack et de son architecture modulaire, c'est bien Ubuntu de Canonical. L'éditeur a bien montré qu'il s'impliquait pour rendre le déploiement et la gestion d'une infrastructure cloud OpenStack indolore, et c'est encore plus le cas avec la dernière version d'Ubuntu 15.10, alias Wily Werewolf. Canonical la livre avec la dernière édition d'OpenStack, Liberty, accompagnée de la première version d'un nouvel outil de déploiement et de gestion appelé OpenStack Autopilot. Les entreprises sont prêtes à investir davantage dans le Cloud. Transformation numérique oblige, les entreprises sont plus nombreuses à utiliser le Cloud pour accéder à des produits et services.

C’est le résultat d’une enquête réalisée par 451 Research pour Microsoft auprès de 1 734 décideurs IT d’entreprises en Europe, en Amérique, en Asie et Australie. Désormais, 51 % des organisations s’appuient davantage sur une infrastructure Cloud IT que sur une infrastructure physique. Et ce taux devrait atteindre 57 % en 2018. Autre enseignement du sondage (Hosting and Cloud Study 2016) : 79 % des entreprises interrogées travaillent avec plusieurs fournisseurs (29 % avec quatre ou plus). Et plus de 80 % des répondants ont un contrat annuel ou pluriannuel avec leur principal hébergeur ou fournisseur de services Cloud. 95 % des clients pensent renouveler ce contrat. 71 % des budgets dédiés au Cloud et à l’hébergement ciblent en priorité les services managés, l’hébergement d’applications et la sécurité.

Lire aussi : Oracle muscle son IaaS en rachetant Ravello Systems. Disponibilité de vOneCloud 1.8. Cloud public. Stockage en ligne : lequel choisir ? LibreOffice bientôt disponible en mode cloud. Office 365 : Quels impacts business pour les utilisateurs. Autre. Pourquoi les Français se méfient du Big Data.