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Ces placements solidaires qui rapportent. Épargner solidaire est un acte de générosité. Cela conduit en effet à donner une partie de ses gains financiers à une association, ou à financer des entreprises et des organismes qui ne recherchent pas le profit afin qu’ils puissent exercer des missions très sociales (insertion dans le monde du travail, logement de personnes précaires…). Pendant longtemps cette épargne est restée moins rentable que les placements classiques, et était de ce fait réservée à des « militants » qui choisissaient de sacrifier une partie de leur rentabilité en échange d’un impact social. De tels produits solidaires existent toujours. Mais de plus en plus de produits offrent aujourd’hui un rendement qui n’a pas à rougir par rapport au maigre 1 % du Livret A, ou aux 2,5 % (avant frais et prélèvements sociaux) servis en moyenne par les fonds en euros de l’assurance-vie.

En voici 6, tous labellisés par l’association Finansol, qui permettent de combiner générosité et rentabilité. Le Livret A du Crédit coopératif. 10 femmes à suivre en 2015. Virginie Calmels, de la télévision à la politique Qui est-elle ? Ancienne patronne d’Endemol également passée par la direction de Canal Plus, cette quadragénaire, passionnée de politique depuis toujours, est aujourd’hui première adjointe d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux, en charge de l’économie, de l’emploi et de la croissance durable. Elle a récemment été auréolée du Prix Espoir de la femme d’Influence Politique, distinction révélant des femmes s’illustrant dans des univers encore largement masculins. Pourquoi la suivre en 2015 ? Virginie Calmels fait de plus en plus figure d’éminence grise d’Alain Juppé dans la course à la primaire UMP.

Pour certains, elle est la dauphine à la mairie de Bordeaux de l’ancien Premier Ministre. Une personnalité politique montante donc, déjà pleinement engagée dans la bataille pour 2017. @VirginieCalmels Isabelle Kocher, celle qui défriche les sentiers du CAC 40 Qui est-elle ? Pourquoi la suivre en 2015 ? Alice Zagury, chaperonne d’entrepreneurs @Alice_zag. Xavier Niel et Edgar Morin : "L'école doit apprendre à vivre" Uk.businessinsider. Paywall mobile. Manger "bio" pendant deux semaines : une famille tente l'expérience. 100 % "BIO". Pour la science, une famille suédoise a changé pendant deux semaines ses habitudes alimentaires, en ne consommant que de la nourriture "bio". Résultat : les 5 membres de la famille Palmbers (deux adultes âgés de 39 ans et 40 ans et trois enfants âgés de 3, 10 et 12 ans) ont vu leur taux de pesticides présents dans leurs urines chuter brutalement ! Une étude financée par la chaîne suédoise d'épiceries "bio" Coop et menée par un institut de recherche indépendant.

Huit pesticides trouvés dans les urines Pour cette étude, des scientifiques de l'Institut suédois de recherche environnementale ont prélevé chaque matin pendant trois semaines un échantillon d'urine de chaque membre de la famille Palmbers. Pendant la première semaine de l'expérience, la famille a gardé son alimentation habituelle. Puis les deux semaines suivantes, elle n'a consommé que des aliments "bio" (provenant de la chaîne Coop) . © Coop Si les chercheurs avaient analysé le taux de ces substances dans le sang... L’économie du partage sort de sa bulle. «On est un peu comme Internet en 1993, au moment de la création du Web. L’économie du partage a déjà donné naissance à quelques géants mondialisés dont les services grand public ont révolutionné les secteurs de l’hébergement avec Airbnb ou des transports avec Uber ou le français Blablacar.

Mais c’est un nouveau mode de fonctionnement de l’économie qui peut potentiellement "disrupter" tous les secteurs d’activité ou presque, d’où l’effervescence actuelle.» Confondateur du think tank Ouishare, qui suit et analyse les transformations de l’économie à l’ère de «consom’acteurs» devenus à la fois vendeurs et consommateurs de biens et surtout de services, Antonin Léonard estime qu’il reste encore beaucoup à inventer dans l’économie du partage. Revue des nouvelles tendances entrepreneuriales mais également sociétales et politiques qui seront mises en avant et débattues lors de la Ouishare Fest, qui débute ce mercredi à Paris. Le collaboratif version «hyperlocal» Christophe Alix.

La France, paradis des start-ups ? "Ne dites pas à ma mère que j’ai monté ma start-up… elle me croit cadre chez Danone ! " Tel pourrait être le titre d'une nouvelle série télé à la sauce hexagonale. Si leurs aînés préféraient devenir fonctionnaires ou intégrer un groupe du Cac40, les jeunes Français sont, eux, de plus en plus séduits par l’entreprenariat. "Envie d’entreprendre" La moitié des 18-24 ans déclarent avoir "envie d’entreprendre" et 13% disent même avoir projet concret", selon le baromètre Idinvest d'avril 2015. Soit un score supérieur à celui enregistré auprès du grand public toutes générations confondues (10%). Hitech, biotech, greentech, fintech, économie numérique et collaborative ont le vent en poupe.

Une amorce de révolution culturelle ? La conjonction astrale n'a jamais été plus favorable à la création d'entreprises. On ne dit pas assez que la France est un véritable paradis pour créer une start-up technologique. " Formations, pépinières, concours... Le gouvernement met la gomme Les grands groupes dans la danse. What does leadership mean in the 21st century? The relevance for leadership? Facebook, YouTube, Twitter and their lesser cousins have proved the power of the platform. They have shown that if your average 21st century citizen is given the tools to connect and the freedom to create, they will do so with enthusiasm, and often with an originality that blindsides the so-called creative industries.

The result is a growing awareness from those who think about business structures for a living, that good leadership is no longer about ‘taking charge’ or imposing a strategic vision but about creating the platforms that allow others to flourish and create. By way of example, Frederic Laloux – the organisational theorist currently developing a cult-like following across the world – offers a telling story about his meeting with Jos de Blok. The reason is simple. De Blok’s role is to make sure Buurtzorg’s nurses are free, enabled and resourced to run their part of the organisation as they see fit. Antonin Léonard : "Un âge 2 de l'économie collaborative se dessine" Antonin Léonard au OuiShare Fest (crédit : Consumo Colaborativo / Flickr) We Demain : Le 20 mai, vous inaugurerez à Paris la troisième édition OuiShare Fest. Que nous réserve ce rassemblement des acteurs de l'économie collaborative ?

Antonin Léonard : Le programme a été co-construit avec la communauté mondiale de OuiShare, qui nous a soumis plus de 200 contributions. Il est organisé autour de douze grandes questions, telles que "économie collaborative et développement durable", "travailler avec des robots" . . . © OuiShare Le choix d'un tel titre ne témoigne-t-il pas aussi d'un certain désenchantement à l'égard de l'économie collaborative ?

Les politiques prennent-ils la mesure des enjeux ? Il s'est passé cinq ans depuis le moment où l'étudiant Antonin Léonard ouvrait un blog sur la consommation collaborative et aujourd'hui, où le mot "collaboratif" est sur toutes les langues. Journaliste à We Demain @Come_Bastin. Le Guide | Jeune Pousse, c'est l'Association qui vous donne envie d'entreprendre ! Avec les monnaies locales, une autre économie s’ébauche au cœur du capitalisme. Les monnaies locales complémentaires (MLC) viennent d’entrer timidement mais sérieusement dans l’agenda politique en France. La parution concomitante de deux rapports consacre en effet l’intérêt croissant qu’elles suscitent aujourd’hui de la part des politiques. Le premier de ces rapports, intitulé D’autres monnaies pour une nouvelle prospérité, est issu d’une mission commandée début 2014 par Cécile Duflot, alors ministre à l’Egalité des territoires et du Logement, et Benoît Hamon, à l’époque ministre délégué à l’Economie sociale et solidaire et à la Consommation.

Le deuxième, issu du Conseil économique, social et environnemental (CESE), embrasse plus largement le sujet des « nouvelles monnaies », incluant les MLC et les monnaies virtuelles comme le bitcoin. Reconnaissance légale Cette concomitance n’est pas fortuite même si les deux documents divergent sur l’analyse. C’est d’ailleurs cet engouement qui a provoqué l’intérêt des politiques. Mouvement mondial Une autre économie s’ébauche. L'entrepreneuriat social a de beaux jours devant lui. La quatrième édition du Forum Impact2 se tient ce jeudi à Paris pour mettre en relation candidats et financeurs de projets solidaires.

L'économie sociale et solidaire (ESS) concentre en France à l'heure actuelle quelque 13% de l'emploi cadre et 10% de l'emploi salarié (2,3 millions de postes au total), selon les dernières statistiques de l'Insee. Les projections à horizon 2020 font état de plus de 600.000 emplois à pourvoir dans cette filière, à la faveur des départs en retraite, ce qui constitue donc un vivier tout à fait important. Véritable militant de l'économie sociale et solidaire, le Comptoir de l'Innovation cherche à multiplier les vocations. Il organise ce jeudi à la Mairie de Paris, la 4è édition du Forum Impact2. A l'origine de cet évènement qui avait mobilisé l'année dernière quelque 1500 décideurs venus de 50 pays du monde entier, Nicolas Hazard, diplômé d'HEC et de Sciences Po Paris, qui rêve de bâtir l'entreprise sociale du XXIè siècle.

"Pourquoi je veux que mes enfants apprennent l'empathie avant le chinois" - Sarah Mariotte-Tirmarche, co-directrice Ashoka France. Je, 09/04/2015 Depuis que j’ai mon eu mon fils, j’ai reçu tous types de conseils à suivre concernant son éducation et ce qu’il devait apprendre pour réussir dans la vie : coder, parler anglais ou chinois, jouer aux échecs, faire de la danse, des sports d’équipe ou des arts martiaux, être bon en maths ou encore faire de la musique. Je suis enceinte de mon deuxième enfant. J'ai entamé mon huitième mois de grossesse et j’ai donc un ventre bien visible ! Chaque jour lorsque je vais au travail et que j’entre dans le métro bondé, je remarque la façon dont les gens baissent les yeux…En somme, ils se concentrent sur leurs smartphones et évitent de croiser le regard de la femme enceinte à qui ils devraient laisser leur place.

Il y a peu de gens qui me regardent et se lèvent pour me laisser leur place. Je ne sais pas si ceux-là ont appris le chinois, le judo ou s'ils sont excellents en maths, mais ce que je sais, c'est qu'ils ont tous une qualité en commun : l'empathie. Jean-Pierre Letartre : « Les entreprises qui ne sauront pas se transformer à temps sont amenées à disparaître », Transformation : mettre de l'agilité dans son organisation. Qu’est-ce que la « transformation » ? Dans la plupart des secteurs d’activité, les entreprises sont actuellement confrontées à une impérieuse nécessité de se transformer, c’est-à-dire de s’adapter et d’anticiper les changements et les ruptures qui caractérisent notre période actuelle.

Il faut transformer la relation avec les clients, transformer la relation avec les employés et, enfin, transformer la relation avec ses actionnaires. La démarche de changement est donc radicale et les entreprises qui ne sauront pas se transformer à temps sont amenées à disparaître. Le marché voit tous les jours l’apparition de nouveaux modèles qui menacent des entreprises jusque-là bien établies : on pense bien sûr à l’exemple d’Uber, mais aussi à ceux de Booking ou d’Airbnb. Autant de nouveaux entrants qui ont déstructuré, respectivement les industries du taxi ou de l’hôtellerie. Qu’est-ce qui a changé dans l’environnement des entreprises ? Comment faut-il réagir ? Propos recueillis par Cécile Desjardins. Concours Fermes d'Avenir - La Ruche Qui Dit Oui ! Et si l'économie numérique n'était pas libérale mais communiste ? - Influencia.

La question peut paraître étrange et pourtant les starts-up et autres géants du numérique sont peut être en train de réinventer le modèle économique social en voulant récupérer la prérogatives dédiées aux états... L’histoire de la pensée économique oppose deux conceptions de l’Etat. D’un côté, les défenseurs de l’économie de marché, ou économie libérale, qui plaident en faveur d’un Etat peu interventionniste, voire réduit à un minimum de fonctions, laissant place à la concurrence, encourageant l’entreprenariat, confiant aux entreprises le soin de satisfaire les besoins des individus. De l’autre, les gardiens d’un Etat plus interventionniste, prenant à sa charge un plus grand nombre d’activités comme la santé, l’éducation, les retraites, voire certains pans de l’économie (transport, industries stratégiques...) ; un Etat régulateur, organisateur, gendarme… - elles sont au cœur de son modèle politique.

L’éducation par exemple. L’impôt est alors la clef. 1. 2. 3. 4. Comment rater une startup à 10 milliards de dollars. L’histoire est écrite par les vainqueurs. Il est toujours aisé a posteriori d’analyser les raisons du succès d’une entreprise ou celles de son échec. Il est beaucoup plus difficile de détecter les bonnes idées très tôt, lorsqu’elles ressemblent encore à de mauvaises idées. Et si les investisseurs parlent facilement de leurs réussites, ils évoquent beaucoup plus rarement les startups qu’ils ont « manquées » : celles dans lesquelles ils ont refusé d’investir et qui ont connu le succès ensuite. C’est pourquoi cet échange de mails entre Paul Graham le fondateur de Y Combinator et Fred Wilson associé chez Union Square Ventures est singulier.

Graham essaie de convaincre l’investisseur de prendre des parts dans une jeune startup au nom surprenant : AirbedandBreakfast. Nous sommes début 2009 et la startup – qui ne s’appelle pas encore Airbnb – peine à rassembler plus de 1000 utilisateurs sur sa plateforme. Paul à Fred. Fred à Paul. Paul à Fred. Fred à Paul. Fred à Paul et Airbeds team. Paywall mobile. FREEBIE.SUPPLY. Wibuzzit sur Twitter : "Nos journalistes recherchent des projets innovants ou créatifs pour reportages. Julia Reda, une Pirate au Sénat. Naissance d’un village écolo 100 % open source en France.

Naissance d’un village écolo 100 % open source en France Passer de la protestation à la transition grâce à l’open source ? Possible ! Alors que les négociations sur le changement climatique et l’épuisement des ressources naturelles semblent, au plus haut niveau, tourner en rond… Qu’à cela ne tienne, deux acteurs majeurs de l’open source ont décidé de prendre les choses en main pour accélérer la transition de manière innovante ! Si workshops de nouvelles technologies produisent des objets de consommation trop souvent déconnectés des urgences actuelles, de bonnes pratiques émergent chaque jour dans les mondes de l’innovation open-source (ou mise à disposition gratuite d’«outils» à la communauté).

Deux acteurs majeurs de l’open source ont décidés d’unir leurs forces pour concevoir un projet innovant. Un village 100% open-source. D’un côté, OuiShare, accélérateur d’idées et de projets, est une communauté internationale de pionniers de la société collaborative et open source. Start-up : ces "barbares" qui veulent changer le monde, saison 2. C’est une drôle de tribu qui s’est réunie à l’Archipel, à Paris, le 31 mars à 18h30. Dans la nef de l’église de cet ancien couvent, plus de deux cents personnes qui ne se connaissaient que pour avoir échangé des messages sur Facebook se sont enfin retrouvés en "IRL".

Traduction : "in real life", dans la vie réelle. Ils se sont eux-mêmes baptisés les "Barbares". Un drôle de nom, qui ne véhicule aucun message agressif malgré les apparences. Ici on est plutôt dans la barbarie culturelle. Pas d’armes, mais des connexions hyper rapides, grâce à Internet et aux téléphones, et une volonté enthousiaste de prendre son destin en main plutôt que de subir les mutations déclenchées par la vague numérique. "Changer le monde en deux heures" Tout le monde discute dans un bel enthousiasme. Yves Tuet, patron de Deolan (Bruno Coutier/"l'Obs") "Ce n'est pas le monde que nous voulons" Leur but n’est pas de faire le Google à la Française, l’Amazon européen, de devenir milliardaire. Expliquent-elles. Sophie Fay. 6 leçons de business que la vie m'a apprises.