background preloader

La chute de Wikileaks / Boycott

Facebook Twitter

La fin de WikiLeaks. C'est par le fric que The Man a fait la peau à WikiLeaks.

La fin de WikiLeaks

Il y a 10 mois, Visa, MasterCard, Bank of America, Western Union et autres PayPal (propriété de eBay) ont annoncé qu'ils bloquaient les dons à ce regroupement d'activistes militant pour la transparence. Récemment, Julian Assange a annoncé la suspension des activités de WikiLeaks, dont il est le (controversé) visage: 95% du financement de l'organisme s'est tari. Il est indéniable que la classe politique américaine a pesé de tout son poids sur Corporate America pour qu'elle embarque dans sa paranoïa face à WikiLeaks. La manoeuvre fait l'objet d'une plainte pour violation de la concurrence auprès de la Commission européenne. «Des sites web, des administrateurs de noms de domaine, des services de paiements bancaires: ils ont tous collaboré pour étrangler WikiLeaks», note Michael Geist, professeur de droit à l'Université d'Ottawa et titulaire de la chaire de recherche du Canada en droit d'Internet et du commerce électronique.

Pour M. PR101 / 2010 / News & media releases / News and media. 01 December 2010 - Media release LYON, France - INTERPOL has made public the Red Notice, or international wanted persons alert, for WikiLeaks founder Julian Assange at the request of Swedish authorities who want to question him in connection with a number of sexual offences.

PR101 / 2010 / News & media releases / News and media

The Red Notice for the 39-year-old Australian, which was issued to law enforcement in all 188 INTERPOL member countries on 20 November, has now been made publicly available by INTERPOL following official authorization by Sweden. Wikileaks baillonné par le boycott. PayPal statement regarding WikiLeaks. PayPal bloque le financement de Wikileaks et écope d’une cyber-attaque. Nouvelle offensive du gouvernement contre WikiLeaks à l’appui d’une loi controversée sur la confidentialité des données. Les révélations du Wall Street Journal publiées le 10 octobre 2011 au sujet des décrets “secrets” émis par le gouvernement américain contre le site WikiLeaks ont relancé le débat sur l’Electronic Communications Privacy Act de 1986.

Nouvelle offensive du gouvernement contre WikiLeaks à l’appui d’une loi controversée sur la confidentialité des données

Le 4 janvier et le 15 avril 2011, le gouvernement américain a enjoint par décret les fournisseurs d’accès Google Inc. et Sonic.net Inc. à fournir les adresses IP et adresses électroniques de tous les contacts de Jacob Appelbaum depuis le 1er novembre 2009. Jacob Appelbaum, développeur de TOR, logiciel libre qui permet l’anonymat des échanges sur Internet, est aussi et surtout représentant de WikiLeaks depuis juillet 2010. C’est dans le cadre de l’enquête sur la fuite des câbles diplomatiques que le gouvernement américain a pris cette mesure ciblée contre lui. L’affaire WikiLeaks devient ainsi un banc d’essai pour l’interprétation d’une loi déjà ancienne et controversée. WikiLeaks : un décret de M. Obama pour renforcer la protection des données.