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Définition

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Un Web sémantique facile - 2003-02-17. Un Web sémantique facile There is a english translation done by Steph Tout le monde parle du Web sémantique, mais concrètement des modèles de fonctionnement pratique existent-t-ils ? Je veux le croire. C'est pour cela que je ne vais pas parler de RDF, ni de WSDL qui sont toujours en cours de définition au sein du W3C. Que peut nous apprendre le contexte des carnets Web ?

Comment peut-on introduire la classification sémantique des ressources avec un minimum de peine ? Le créateur de contenu est un individu. Le monde des carnets Web est particulier et c'est de cette particularité que l'on peut tirer un avantage pour une organisation sémantique des données. Principia 1. Ces personnes n'hésiteront certainement pas à faire connaître leur contenu. Principia 2. Un créateur de contenu n'est pas un bibliothécaire Il n'est pas non plus possible de placer un bibliothécaire derrière chaque carnet Web afin d'en classifier le contenu.

Principia 3. Le créateur de contenu aime la facilité. Principia 4. Contrer les id?es re?ues sur le Web s?mantique. La médiatisation d'un nouveau concept, d'une nouvelle notion, d'une nouvelle technologie et de nouvelles perspectives s'accompagne immanquablement d'analyses plus ou moins farfelues, d'incompréhensions et d'interprétations erronnées (parfois volontairment pour profiter du buzz). Le Web sémantique n'échappe à cette tendance. A l'instar de James Hendler qui a publié sa FAQ non officielle sur le Web sémantique, je vous propose de mon côté de revenir sur quelques idées reçues sur le Web sémantique. « Le Web sémantique consiste à faire des documents XML valides par rapport à un schéma XML » Cette idée reçue, qui provient de la confusion entre RDF et XML, est alimentée par un abus de langage utilisé régulièrement par les promoteurs d'une stricte application des standards (X)HTML?

/CSS? , à savoir le recours au terme « sémantisation » pour désigner une utilisation correcte des éléments (X)HTML pour encoder les différentes portions d'information d'une page Web. MOAT : donner du sens à vos tags. La folksonomie constitue une des fonctionnalités phare du Web 2.0. Son principe est finalement très simple : permettre aux utilisateurs de décrire des ressources (billet de blog, page Web, photos, vidéos...) par des mots-clés choisis librement. Elle offre, entre autres, les avantages suivants : Améliorer la recherche d'information dans sa collection de ressources personnelles ;Constituer un vecteur de sérendipité ;Donner aux autres utilisateurs une idée du contenu de sa collection de ressources ;Faire apparaître des réseaux sociaux implicites par l'utilisation commune de tags entre différents utilisateurs. Peu à peu, les utilisateurs se sont pris au jeu et la folie du tagging s'est emparée de tous les internautes et plus simplement des afficionados du Web 2.0.

La folksonomie est devenue un formidable outil dont les possibilités semblent, d'ailleurs, encore largement sous-exploitées. Oui, mais, voilà, la folksonomie est limitée. Le principe est finalement assez simple. Web sémantique, Web de données : présentation. On désigne généralement par le terme de Web sémantique un ensemble de technologies développé par le W3C (l'un des principaux organismes de normalisation du Web) visant à faciliter l'exploitation des données structurées, notamment en permettant leur interprétation par des machines. Le Web de données (Linked Data en anglais) combine les technologies du Web sémantique avec les principes fondamentaux du Web (protocole HTTP, identifiants URI), avec pour objectif la construction d'un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables dans de nombreux contextes. Le Web sémantique Le terme de Web sémantique a été proposé par Tim Berners Lee en 2001 (« The Semantic Web », Scientific American Magazine , May 17, 2001) pour désigner une évolution du Web qui permettrait aux données disponibles (contenus, liens) d’être plus facilement utilisables et interprétables automatiquement, par des agents logiciels .

Le Web de données Autres ressources majeures : Les microformats, prochaine étape du web sémantique. Le web des données. On pourrait définir le web des données comme étant le projet de rendre le web (et les informations qu’il véhicule) aussi aisément lisible et exploitable par des ordinateurs que par des êtres humains, en faisant sauter les spécificités de structuration des données propres à chaque base de données fournissant des informations sur internet. Etant donné qu’il naît de plusieurs frustrations dans le fonctionnement du web "normal", et que sa dénomination suscite souvent des incompréhensions, peut-être est-il bon de commencer par là. Les problèmes de compréhension Pour comprendre ce qu’est le web des données, on aimerait pouvoir voir ce qu’il permet de faire. Des réalisations existent déjà, mais elles ne montrent rien que le web actuel ne soit plus ou moins déjà capable de faire.

La visibilité en est donc moindre (alors qu’à l’avènement du web 2.0, on pouvait dire : "Ouah ! Trop fort ! "). Les frustrations que le web des données est censé combler Reprenons en détail Plusieurs remarques : Remarques : ? Ma killer app pour le Web S?mantique, dans web semantique sur BioloGeek, l'avis d'un freelance passionn? par le web et son ?volution. ReadWriteWeb se demandait récemment quelle serait la Killer App du Web Sémantique, ce à quoi Tim Berners-Lee avait déjà répondu « Le Web Sémantique est la killer app ». Je n'ai pas la prétention de détenir cette killer app mais la phase de réflexion/maturation personnelle arrive à sa fin et je pense que vos avis sont importants pour progresser et arriver à un outil au plus proche de nos besoins. Faut-il avoir peur du Web Sémantique ? En guise de préambule et suite aux réactions suscitées par mon précédent article sur APML et aux réflexions que j'ai pu lire un peu partout considérant le Web Sémantique comme le nouveau Big Brother, je pense qu'il est nécessaire de faire un point sur ce qu'il en est afin de ne pas transformer l'incompréhension en moteur d'exclusion.

Le Web Sémantique ne permet « que » de donner du sens à vos données. Un exemple concret : FOAF Vous pouvez grâce à ce fichier générer une page de profil automatiquement par exemple. Le web de demain (matin) Que manque-t-il alors ? Verbatim Tim Berners-Lee. Pour finir ce week-end sous le signe du Web of data, je vous propose quelques extraits de l'excellente interview de Tim Berners-Lee dans le dernier numéro de la Recherche consacré à l'avenir d'Internet. Sur le terme Web sémantique Le terme sémantique prête un peu à confusion car la sémantique s'intéresse au sens du langage pour en déduire des constructions logiques. Du coup, certains ont pensé qu'il s'agissait d'un Web qui permettrait par exemple d'effectuer des recherches sur Internet en posant des questions sous forme de phrases, en langage naturel. Or ce n'est pas son but.

En fait, nous aurions dû l'appeler dès le départ « Web de données ». But du Web of data [...] Le fonctionnement la notion de source et de cible n'existe pas, et le lien entre les données est caractérisé afin de retrouver les données portant sur le mêmes objet, quels que soient l'ordinateur et le fichier où elles sont stockées. Sur les réticences et les freins aux développement du Web sémantique.