background preloader

Actualité articles vie mort

Facebook Twitter

Peut-on définir la vie ? Par Pierre-Jean Haution Introduction C'est sous l'intitulé "Qu'est-ce que la vie ? " qu'ont été rassemblés les textes des 40 premières conférences de "L'Université de tous les savoirs". Cet intitulé, aux accents fortement platoniciens, et qui est la reprise du titre d'un ouvrage célèbre d'Erwin Schrödinger, est en outre celui de la conférence d'ouverture donnée par François Jacob. Dans cette conférence, l'éminent biologiste fait (paradoxalement) remarquer le caractère des plus appropriés de la question "Qu'est-ce que la vie ? " Posée sous cette forme, une telle question ne va pas sans ambiguïté, car le terme de "vie" comporte essentiellement deux significations qui, tout en étant intimement liées, n'en restent pas moins distinctes.

Définir la vie (entendue comme "vivant"), c'est déterminer de façon exacte ce qu'est la vie, autrement dit déterminer sa nature ou son essence. Première partie. La vie comme dernier refuge de l’idéalisme. Le vivant - Les enjeux de la notion – une première définition Le vivant peut être défini comme le règne des êtres qui possèdent les caractéristiques de la vie.

Le vivant -

Mais qu’est-ce que la vie ? De manière sommaire, on dira que c’est l’ensemble des fonctions d’un corps et des phénomènes qui s’y déroulent depuis la naissance jusqu’à la mort. Cependant, comment rendre compte de la diversité des organismes vivants ? Comment expliquer l’évolution des espèces ? La conception aristotélicienne du vivant « Il faut donc nécessairement que l’âme soit substance comme forme d’un corps naturel qui a potentiellement la vie.

Aristote a consacré une part très importante de son œuvre à la connaissance du vivant, compilant les multiples observations relatives aux différents animaux et établissant un système de classification des espèces qui demeure d’usage jusqu’au 18ème siècle. Aristote défend une conception finaliste des phénomènes du vivant. Penser le vivant à l’âge classique. Mort et finitude. L’expérience vitale de la mort. La difficulté des relations entre la vie et la mort est, du point de vue théorique, presque inévitable.

L’expérience vitale de la mort

Pour autant, elle est redoutable car, loin d’être le fruit des spéculations de quelque philosophe, elle surgit de notre expérience quotidienne, et notamment de notre expérience de la mort. C’est de cette expérience, ou plutôt de ces expériences singulières et frappantes de morts que Frédéric Worms nous invite à partir pour poser le problème des relations entre la vie et la mort. Mais plutôt que de nous arrêter à l’affect douloureux – ou indifférent – qui nous submerge lorsque nous sommes confrontés à ces événements, le philosophe nous invite à le “suspendre” pour tenter de les penser.

Nous nous heurtons alors à un contraste, une contradiction qui conduit la philosophie à développer deux positions radicalement différentes. La mort en sa négativité. Pour Hélène, Danielle et Michaël, en mémoire du 26 décembre 1995 Il n’est pas possible de ne pas lire la fin et l’anéantissement dans le phénomène de la mort.

La mort en sa négativité

Mais elle ne coïncide pas avec la destruction d’un objet ou d’un vivant quelconque, avec l’érosion d’une pierre ou l’évaporation d’une eau où toujours, après la destruction des configurations, subsistent les matériaux et où la destruction elle-même se place entre un avant et un après qui appartiennent, avec la destruction, à la même ligne du temps, au même apparaître, au même monde. Comment vivre dans la certitude de la mort? Comment vivre dans la certitude de la mort?

Comment vivre dans la certitude de la mort?

Méditation épicurienne..., La mort n'est pas un problème, encore moins un mystère, car, même quand nous le dénions, nous savons ce qu'elle est: rien. Dans le mourir, il n'est convenable ni de souhaiter ni d'espérer -car le souhait est un creux du songe et l'espérance demeure passive; contentons-nous de vouloir en finir définitivement. Philosophie. Une vue du Cimetière de Notre-Dame-des-Neiges, Montréal, le 27 mai 2012 par Cephas © Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Une réalité incontournable.

Philosophie

La vie et la mort selon la pensée chinoise. La Mort (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Mort (mythologie)

La Faucheuse est l'une des allégories de la mort La faucheuse sur les tombeaux des églises La Mort a été représentée en tant que figure anthropomorphe ou comme personnage fictif dans de nombreuses mythologies et cultures populaires. La personnification de la mort en tant qu'entité vivante, consciente et sensible, est lié à l'idée de la mort et à son poids historique et philosophique considérable. Selon les langues, elle est un personnage soit féminin, soit masculin. Il existe dans toutes les mythologies des divinités qui incarnent la Mort ou certains de ses aspects : Dans les écrits hindous connus sous le nom de Vedas, le maître des morts est appelé Yama ou Yamaraj (littéralement le seigneur de la mort).

De façon intéressante, Yama est aussi connu comme Dharmaraj ou roi du Dharma ou de la justice.