background preloader

CURIOSITES

Facebook Twitter

Dennis Ritchie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ritchie. Au début des années 1970, programmeur aux Laboratoires Bell, il travaille avec Ken Thompson au développement d'Unix. Le langage B de Thompson étant trop limité pour les besoins du nouveau système, Ritchie est amené à créer sur les mêmes bases le langage C. Par la suite, avec l'aide de Brian Kernighan, il promeut le langage et rédige notamment le livre de référence The C Programming Language[2],[3]. Il reçoit conjointement avec Ken Thompson le prix Turing de l'ACM en 1983 pour leur travail sur le système Unix. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Bronxville, État de New York, Dennis Ritchie étudie la physique ainsi que les mathématiques appliquées à Harvard, y obtenant un doctorat.

C et Unix[modifier | modifier le code] Son invention du langage C et sa participation au développement d'Unix au côté de Ken Thompson ont fait de lui un pionnier de l'informatique moderne. Coluche. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Colucci. Coluche L'humoriste et son image de clown, durant les années 1970 (dessin original). Compléments Michel Colucci, dit Coluche, est un humoriste et comédien français, né le dans le 14e arrondissement de Paris et mort le à Opio (Alpes-Maritimes). Fils de Honorio Colucci (originaire d'un petit village italien de la région de Frosinone, Casalvieri) et de Simone Bouyer, il adopte le pseudonyme « Coluche » à l'âge de 26 ans, au tout début de sa carrière. Avant 1976, il occupe des rôles de second plan au cinéma avant de camper des personnages plus centraux puis de tenir le haut de l'affiche durant les années 1980, essentiellement pour des comédies.

Tour à tour provocateur ou agitateur par ses prises de position sociales, il se présente à l'élection présidentielle de 1981 avant de se retirer[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Montrouge[modifier | modifier le code] Jean-Marc Reiser. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Reiser. Jean-Marc Reiser, dit Reiser, qui a signé à ses débuts Jean-Marc Roussillon (né à Réhon en Meurthe-et-Moselle le 13 avril 1941 et mort à Paris, le 5 novembre 1983 des suites d'un cancer des os), est un auteur de bande dessinée français connu pour ses planches à l'humour féroce. Biographie[modifier | modifier le code] Parmi les principales caractéristiques de son style, on peut retenir : Son habitude de parler des gens ordinaires, de leur vie de tous les jours.

La tombe de Reiser, d'une forme peu conventionnelle, a été brocardée par Pierre Desproges (qui vouait une véritable admiration pour Reiser) dans l'un de ses sketches[réf. nécessaire]. Elle présente en fait le profil d'une aile car Reiser était un passionné d’aviation (il est l’un des pionniers du vol libre français à travers l’expérimentation des ailes delta). Œuvre[modifier | modifier le code] Albums et recueils[modifier | modifier le code] Pierre Desproges.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Desproges Pierre Desproges sur scène (1985). Pierre Desproges, né le à Pantin et mort le à Paris, est un humoriste français réputé pour son humour noir, son anticonformisme et son sens de l'absurde. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Pierre Desproges (2e personne sur la gauche) à Châlus, le 26 septembre 1958.

Issu d'une famille de commerçants de Châlus (Haute-Vienne), Pierre Desproges passe une partie de son enfance à Luang Prabang (Laos), où son père enseigne le français avant de devenir professeur à Paris[1]. L'Aurore[modifier | modifier le code] Radio et télévision[modifier | modifier le code] Il participe ensuite à plusieurs émissions de radio sur France Inter : En 1982, il collabore quelques mois au scénario de l'émission Merci Bernard sur FR3. Au début de l'année 1988, quelques semaines avant son décès, Pierre Desproges tourne une pub parodique avec Les Nuls.

Jean-Louis Fournier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Fournier. Jean-Louis Fournier peut désigner : Iles du Ponant. Oblomovisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine du terme[modifier | modifier le code] Le terme, imaginé par Gontcharov, fait référence à l'apathie légendaire d’Oblomov, le héros du roman homonyme. C'est l'un des derniers mots du roman : lorsqu'on demande à Stolz, l'ami d'Oblomov, la cause de la mort de ce dernier, celui-ci répond : « La cause... quelle cause !

L'oblomovisme ! »[2] Traduction[modifier | modifier le code] Selon Pierre Cahné, qui a préparé l'édition Gallimard, Oblomoverie correspond mieux au russe Oblomovchtchina en rendant de façon plus claire l'aspect péjoratif du terme. Influence[modifier | modifier le code] En 1859, le critique littéraire russe Nikolaï Dobrolioubov publie dans Le Contemporain une critique du roman, en particulier de son personnage principal, intitulée Qu'est-ce que l'oblomoverie ?

Pour le critique littéraire, « le roman décrit une société et trouve la clé des maux dont elle souffre[6] » . — Nikolaï Dobrolioubov, Qu'est-ce que l'oblomoverie[9] ? Planète sans visa. Sylvain Tesson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Tesson.

Sylvain Tesson est un écrivain et voyageur français né le à Paris. Biographie[modifier | modifier le code] Sylvain Tesson est aussi président de « La guilde européenne du Raid », une ONG reconnue[2]. Le voyageur[modifier | modifier le code] En 1991, il découvre l’aventure lors d’une traversée à vélo du désert central d’Islande[3], puis d’une expédition spéléologique à Bornéo[4]. Puis, en 1993-1994, il fait le tour du monde à bicyclette avec Alexandre Poussin, qu’il connaît depuis la classe de seconde au lycée Passy-Buzenval à côté de Paris[5]. Toujours avec Alexandre Poussin, en 1997, il traverse l'Himalaya à pied, 5 000 km en cinq mois du Bhoutan au Tadjikistan. En 1999-2000, il traverse également les steppes d'Asie centrale à cheval avec la photographe Priscilla Telmon, sur plus de 3 000 km depuis Alma Ata au Kazakhstan jusqu'à la mer d’Aral en Ouzbékistan).

L'écrivain[modifier | modifier le code] Essais.