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A propos de l'ego :bouddhisme ses agrégats constitutifs de l'ego

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Skandha : agrégat constitutif de l'ego. Les 5 agrégats. L’arrêt de la souffrance La réponse est très simple.

Les 5 agrégats

C’est tellement simple que personne n’y avait songé. C’est précisément dans l’ARRÊT des agrégats que d’après lui se trouve l’ARRÊT de la souffrance. Lorsque les agrégats cessent d’apparaître, il y a la cessation de tout ce que leur apparition entraîne. C’est aussi simple que cela. Alors que certains nous disent qu’il y a quelque chose qui peut transcender la lumière du tube néon ; une lumière différente, plus colorée, plus forte, plus intense, qui traverserait les murs, qui traverserait les obstacles, Bouddha nous dit que quelle que soit l’intensité de la lumière, c’est toujours de la lumière. Certains nous enseignent qu’il y a des sons qui transcendent le son, qui sont au-delà du son. Il en va de même pour les perceptions olfactives, gustatives, tactiles et mentales.

LES CINQ AGRÉGATS - VIPASSANASANGHA BOUDDHISME RETRAITES MEDITATION VIPASSANA. LES cinq AGREGATS Extraits de discours du Vénérable U Silananda Traduits par Vipassanasangha Bouddha déclara que les cinq agrégats, qui sont en fait notre corps et notre esprit, sont un lourd fardeau.

LES CINQ AGRÉGATS - VIPASSANASANGHA BOUDDHISME RETRAITES MEDITATION VIPASSANA

Servir notre corps signifie porter un lourd fardeau. Quand nous le nourrissons et l’habillons, nous portons ce fardeau. Quand nous avons nourri et vêtu le corps, nous devons également le contenter, aussi bien physiquement que psychologiquement. Puis nous devons veiller à ce que le corps entende de beaux sons, voit de belles choses, sente de bonnes odeurs, ait un contact tactile agréable, goûte de bons mets.

L’agrégat de la matière rupakhandha dit : nourris-moi bien, sinon je vais tomber malade ou je serai faible. Sankharakhandha, l’agrégat des formations mentales, la volition est aussi un autre fardeau. C’est parce que nous ne pouvons pas porter cette lourde charge sur nos épaules que certains sont démoralisés ou que d’autres commettent des mauvaises actions. Retour à la liste des textes. Rūpa : la forme, l'objet de perception en relation avec l'organe des sens. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rūpa : la forme, l'objet de perception en relation avec l'organe des sens

Rūpa[1] (en pali et sanskrit, devanāgarī: रूप) , signifie forme, et renvoie a différents concepts de la philosophie indienne dans l'hindouisme et le bouddhisme. Il est souvent associé au nom (nāma, voir aussi nāmarūpa) comme un des deux constituants des êtres dans le Vedānta. Vedanā : sensation, modalité-du-ressenti. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vedanā : sensation, modalité-du-ressenti

Vedana (pali) est le plus souvent traduit par sensation, mais le concept bouddhique que ce mot recouvre ne correspond pas nécessairement à la compréhension occidentale de ce qu'est une sensation. Vedana dans l'enseignement bouddhique[modifier | modifier le code] La pratique de la méditation bouddhique fait souvent référence aux sensations. En particulier, le satipatthana sutta propose une technique de contemplation des sensations : vedananupassana.

"Quand un méditant, pratiquant ardemment, ne néglige pas la faculté de compréhension profonde, ce sage comprend alors pleinement les sensations. Vedana et les autres agrégats[modifier | modifier le code] Vedana est l'un des cinq "agrégats" ; il s'agit donc de l'un des cinq éléments que le bouddhisme propose - plutôt que de parler d'une personne, puisqu'il n'y a nul Soi ni quelque élément qui soit éternel. Saṃjñā : les perceptions. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saṃjñā : les perceptions

Saṃjñā ou Sañjñā (en sanskrit IAST ; devanāgarī: संज्ञा ; pāli : sañña, chinois : xiang ; japonais : sō) est un terme qui signifie « perception », « conscience » ou encore « conscience individuelle »[1]. C'est aussi le concept de perception dans la philosophie bouddhique. Saṃskāra : formations, activités volitionnelles, créatives. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saṃskāra : formations, activités volitionnelles, créatives

Le Saṃskāra (ou sanskara)[1] (sanskrit, devanāgarī: संस्कार; pāli : samkhāra ; chinois : xing ; japonais : gyō ) est un terme qui désigne dans l'hindouisme les impressions suite à une action, les tendances résiduelles subconscientes; cependant samskara a un deuxième sens, il se traduit par: cérémonie rituelle c'est-à-dire les actes religieux dans la vie du fidèle hindou[2]. Dans le bouddhisme et plus particulièrement la philosophie bouddhique, il désigne plusieurs concepts. Nature du saṃskāra karmique[modifier | modifier le code] Le samskāra désigne les actes conditionnés, et conditionnants. Dans les Yoga Sūtra de Patañjali, il qualifie l'empreinte source de modifications (vṛtti) à l'état subtil manifesté au sein du mental ou plus précisément de l'inconscient (citta ou réceptacle des impressions se trouvant à l'état subtil).

Vijñāna : la conscience, la connaissance discriminante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vijñāna : la conscience, la connaissance discriminante

Vijñāna (Sanskrit devanāgarī: विज्ञान; Pāli : vinnana) est un concept de la philosophie indienne qui signifie intellect ou connaissance discriminante[1]. Dans la Taittirīya Upaniṣad Vijñāna correspond à Vijñānamayakośa qui est la troisième enveloppe du sūkṣmaśarīra[2]. Dans le Bouddhisme, vijñāna est la connaissance discriminante, l'un des cinq agrégats (Skandha) de l'ego (ahaṃkāra). Vijñāna selon la philosophie hindoue[modifier | modifier le code] Upaniṣad[modifier | modifier le code] Vijñāna dans l'enseignement bouddhique[modifier | modifier le code] Vijñāna désigne une conscience phénoménologique. EGO dans le bouddhisme.